BRAS DE FER

Le patron du groupe LVMH Bernard Arnault a annoncé que lui et sa famille verseraient une aide de 10 millions d’euros aux Restos du cœur. D’autres donateurs ont suivi le mouvement, vivement critiqué par la gauche insoumise.
Le parquet de Paris a ouvert une enquête le 29 juin au sujet des fausses accusations envers Raquel Garrido et Alexis Corbière, mis en cause par un article du Point alléguant qu'une femme de ménage sans papiers était exploitée par le couple.
Aziz Zemouri, auteur de l'article qui a mis en cause le couple d'élus LFI avant d'être retiré, a déposé plainte pour «abus de confiance» contre Jean-Christophe Lagarde et le policier Noam Anouar. Celui-ci a rejeté les accusations du journaliste.
A gauche comme à droite, plusieurs personnalités politiques critiquent le déplacement à Kiev du président de la République. Il lui est notamment reproché un opportunisme électoraliste à quelques jours du second tour des élections législatives.
Après les critiques déclenchées par sa candidature, le journaliste et militant a finalement annoncé qu'il se retirait de la course en raison d'une «tempête d'attaques sans précédent». Jean-Luc Mélenchon a dénoncé un acharnement à son encontre.
Dans une interview, le député et membre de la Commission de la Défense nationale et des forces armées, a donné des précisions sur le matériel français envoyé à l'Ukraine. Il a par la suite affirmé que l'information était publique.
Le député LFI Alexis Corbière et son épouse Raquel Garrido se sont tous deux indignés de la révélation de vidéos dans lesquelles des sympathisants d'extrême droite tirent sur des simulacres de cibles, dont des «antifas et des gauchistes».
Après un échange tendu lors de l'émission «Face à Baba» entre Stanislas Rigault et Alexis Corbière, la compagne de celui-ci, l'avocate Raquel Garrido s'en est vivement prise au jeune militant pro-Zemmour, l'insultant copieusement, selon une vidéo.
Des personnalités de droite comme de gauche ont vivement commenté les incidents survenus lors du meeting d'Eric Zemmour. Si certains dénoncent la présence des militants de SOS Racisme, d'autres fustigent la responsabilité du candidat.
Un an après la décapitation de Samuel Paty, le député insoumis Alexis Corbière a provoqué un tollé après s'être interrogé, le 15 octobre, sur le bien-fondé du choix consistant à montrer Charlie Hebdo à un jeune public.
Dans une tribune adressée au président français, des députés, sénateurs et maires des partis LFI, PC, PS ou EELV dénoncent l'«usage excessif et disproportionné de la force», et les «atteintes graves aux droits humains» du pouvoir colombien.
25 ressortissants algériens sont toujours bloqués à l'aéroport de Roissy pour ce qui devait initialement être une simple escale entre Londres et Alger. Le député Alexis Corbière a interpellé le gouvernement français sur leur situation.
Plusieurs responsables politiques ont dénoncé le «salut nazi» présumé d'un partisan du mouvement identitaire menacé de dissolution, durant la manifestation du 20 février. Mais une vidéo de la scène montre un geste sans connotation politique évidente.
Le débat autour du projet de loi contre le «séparatisme» s'est tendu entre les membres de La France insoumise et la majorité. Au cœur des divergences, un amendement défendu par Alexis Corbière qui l'a opposé à Jean-Michel Blanquer sur la laïcité.
Si les Français attendent chaque jour les annonces gouvernementales, les oppositions tentent d'exister pour livrer leurs réponses face à la crise. Une mission délicate. Alexis Corbière, Patrick Kanner et Lydia Guirous nous livrent leur point de vue.
Mis en cause pour avoir omis de déclarer plusieurs postes dans sa déclaration d'intérêts, Jean-Paul Delevoye a présenté sa démission à Emmanuel Macron, ce 16 décembre, ce que le chef de l'Etat a accepté. La classe politique n'a pas tardé à réagir.
Répliquant devant les caméras, place d'Italie à Paris, à une femme au lendemain de l'acte 53 des Gilets jaunes, le préfet de police Didier Lallement lui a dit qu'ils ne se trouvaient «pas dans le même camp». Médias et politiques réagissent.
Le député insoumis Alexis Corbière a demandé au gouvernement d'interpeller Facebook sur des restrictions imposées à des pages de syndicats de cheminots survenues après le débrayage surprise de la semaine précédente.
Le chef de file de LFI et cinq proches comparaissent devant le tribunal de Bobigny pour «actes d'intimidation envers un magistrat et un dépositaire de l'autorité publique, rébellion et provocation». Un rassemblement de soutien y est organisé.
De la perquisition des locaux de LFI, on avait surtout retenu une phrase de Jean-Luc Mélenchon : «La République c'est moi !» Mais Quotidien a finalement diffusé l'intégralité de la vidéo, montrant une attitude plus nuancée de l'homme politique.