SIDERANT

Deux jugements ont été rendus dans deux affaires opposant RT France à Benjamin Griveaux d’une part, et à Charlie Hebdo d’autre part. Ces deux jugements ne se prononcent pas sur le caractère diffamatoire des propos et ne sont pas définitifs.
Hayat Boumeddiene est visée par une nouvelle enquête pour «association de malfaiteurs terroristes criminelle». Présumée morte, elle serait en fait bel et bien en vie selon le témoignage d'une femme récemment rentrée de la zone irako-syrienne.
L'affaire Mila ne fait définitivement pas l'unanimité. Un sondage Ifop pour Charlie Hebdo vient de le confirmer : 50% des Français se prononcent pour le droit au blasphème contre 50% contre.
Magali Forestier reçoit Lydia Guirous, membre du bureau politique Les Républicains, Georges Kuzmanovic, fondateur de République Souveraine, ainsi que François-Bernard Huyghes, directeur de recherche à l'IRIS, et Christophe Thevenet, Avocat.
Anthony Bem, avocat, et Béatrice Brugère, membre du syndicat FO Magistrat et ancienne juge antiterroriste, échangent au sujet de la menace terroriste en France, cinq ans après l’attentat contre Charlie Hebdo.
La veuve de Tignous, Chloé Verlhac, publie un livre à l'occasion des cinq ans de l'attentat de Charlie Hebdo. Elle revient sur l'homme derrière le dessinateur du journal satirique et appelle à ne céder ni à la haine, ni à la peur.
Thierry Burkhard, chef d'état-major de l'Armée de terre française, a fait savoir son «indignation» après la mise en ligne, par l'hebdomadaire satirique Charlie Hebdo, de plusieurs dessins parodiques sur la mort de treize militaires français au Mali.
Charlie Hebdo a une fois encore créé des remous sur Twitter, en diffusant le 29 octobre une Une indiquant : «La République islamique en marche». Un Emmanuel Macron souriant y apparaît devant des femmes voilées, déclarant : «Ce n'est pas mon affaire».
Le gouvernement a déchu de sa nationalité française Fayçal Aït Messoud, 23 ans, condamné en mars 2018 à quatre ans de prison pour avoir tenté de gagner la Syrie quelques jours après les attaques contre l'hebdomadaire Charlie-Hebdo en janvier 2015.
Une nouvelle couverture choc du magazine satirique Charlie hebdo, moquant la coupe du monde de football féminin ne passe pas auprès d'une partie du public.
Au lendemain de l'incendie qui a ravagé une partie de Notre-Dame, l'hebdomadaire satirique a ironisé à propos du calendrier de réformes que doit proposer l'exécutif. Le visage du président s'étale en couverture, coiffé d'une cathédrale en feu.
Un tweet humoristique d'un adolescent à propos d'une photographie de la Mecque a mis le feu aux poudres sur Twitter. Plusieurs personnalités politiques, notamment du gouvernement, ont exprimé leur soutien.
«Mettre un Gilet jaune, c'est revêtir la honte» : le journaliste Philippe Val a violemment critiqué les Gilets jaunes, estimant que le mouvement n'était désormais plus composé que d'individus des deux extrêmes rapprochés par un antisémitisme commun.
14 personnes suspectées d'avoir contribué à l'organisation des attentats de Charlie Hebdo, de Montrouge et de l'Hyper Cacher seront sous peu jugées aux assises. Trois des accusés sont visés par un mandat d'arrêt, dont la compagne d'Amédy Coulibaly.
Danièle Obono, députée La France Insoumise, s'exprime dans «Répondez, les Français Veulent Savoir !».
Si différents signaux laissaient envisager une accalmie sur le front du terrorisme islamiste en France, décembre 2018 a été riche en rebondissements ; alors que la France honore les morts de Charlie Hebdo, la menace semble à nouveau bien réelle.
En pleine cérémonie d'hommage aux victimes de l'attentat de Charlie Hebdo, le ministre de l'Intérieur a été fermement interpellé par une journaliste, se présentant comme voisine de Wolinski et estimant qu'il lui était impossible de faire son travail.
Le 7 janvier 2015, deux terroristes islamistes entraient dans les locaux de Charlie Hebdo, assassinant 11 personnes dont huit membres de la rédaction. Quatre ans plus tard, les journalistes rescapés restent sous haute protection.
Quatre ans après l'attentat contre Charlie Hebdo, «beaucoup se sont déjà lassés» des combats du journal satirique : amer, l'hebdomadaire dresse, dans un numéro commémoratif, le portrait sombre d'une société française «anti-Lumières».
Arrêté à Djibouti le 16 décembre, Peter Cherif a été déféré au parquet de Paris pour effectuer une peine de cinq ans de prison prononcée à son encontre en 2011. Il a en outre été mis en examen dans le cadre d'une nouvelle information judiciaire.