Alors que commencent les négociations annuelles avec la grande distribution pour fixer les prix d’achat des produits agricoles, les producteurs de lait considèrent que la loi Alimentation n’est toujours pas appliquée.
Georges Kuzmanovic, fondateur de République souveraine, revient pour RT France sur les propos d'Emmanuel Macron au sujet de l'indépendance agricole et sanitaire française, domaine frappé de plein fouet par la crise du Covid-19.
Le ministre de l'Agriculture Didier Guillaume a appelé les français qui «n'ont plus d'activité» en raison de la crise du Covid-19, à «rejoindre la grande armée de l'agriculture française», en quête de main-d'œuvre.
Les agriculteurs ont décidé de manifester leur mécontentement ce 27 novembre. Plus de 1 000 tracteurs doivent converger vers Paris. D'autres actions, comme des blocages d'autoroutes, sont prévues partout en France.
Depuis l’annulation de l’arrêté anti-pesticides du maire de Langouët en Bretagne, de nombreux élus ont décidé de suivre son exemple. A six mois des municipales, les agriculteurs vont-ils devenir des boucs-émissaires ?
Des agriculteurs de Haute-Saône se sont attaqués à la permanence de la députée LREM de la première circonscription de Haute-Saône Barbara Bessot-Ballot pour son vote en faveur du Ceta deux jours auparavant.
A moins de deux semaines des élections parlementaires européennes, le premier syndicat agricole a invité les candidats des six listes placées en tête par les sondages à présenter leurs programmes et à répondre à leurs questions.
Les agriculteurs se mobilisent dans toute la France depuis le 11 décembre. Des tracteurs ont été garés devant certaines préfectures, créant des blocages ou déversant pommes de terre ou betteraves, pour protester contre le matraquage fiscal.
Opposés à la hausse des taxes agricoles, des agriculteurs ont déversé des tonnes de pierres devant la préfecture d'Eure-et-Loir à Chartres. La FNSEA, de son côté, appelle à une manifestation la semaine prochaine.
En visite au Salon de l’agriculture, le Premier ministre Edouard Philippe a été bien accueilli par les producteurs des régions, avant de se faire huer à la sortie par un groupe d’élus FN de l’Yonne, qui ont critiqué «le massacre des agriculteurs».
Le président français redouble d'efforts pour séduire les exploitants agricoles. Alors que s'ouvre le salon de l'agriculture, le discours très «start-up» d'Emmanuel Macron parviendra-t-il à convaincre le monde agricole, loin de lui être acquis ?
Les agriculteurs ont mené des opérations de blocage et des actions coup de poing à travers toute la France le 21 février pour protester contre l'accord UE-Mercosur et les prix d'achat proposés par la grande distribution.
En décidant d'exclure de nombreuses communes des zones défavorisées pour satisfaire aux critères de Bruxelles, le gouvernement a déclenché la colère des agriculteurs. D'abord dans le sud du pays, les blocages se multiplient désormais dans le centre.
Les producteurs de lait et les éleveurs de bovins, confrontés à des difficultés économiques, pourront bénéficier de subsides de la part de l'Etat. Durant l'été 2016, les éleveurs laitiers se sont mobilisés pour ne plus vendre leur lait à perte.
Afin d'obtenir de la part des pouvoirs publics des solutions aux problèmes touchant leur profession, les agriculteurs ont décider d'user de «modes d’action qui ne viendront pas perturber nos concitoyens».
La récente proposition de loi visant à instaurer un plat végétarien alternatif dans les cantines scolaires a fait frémir le lobby de la filière viande, Interbev, qui a envoyé une lettre aux élus français pour leur demander leur soutien.
La profession agricole est en colère et tient à le faire savoir à Paris où sont attendus 1365 tracteurs. La Confédération paysanne ne s'associe pas à ce mouvement lancé par la FNSEA, et dénonce «le populisme» de son président Xavier Beulin.
Les éleveurs du Gers ont voulu montrer leur colère, hier soir. Ils ont contrôlé de nombreux camions de viande, et ont saisi plus de 20 tonnes de marchandise.
Les éleveurs vont libérer les accès à Lyon aux environs de 16h ce jeudi en vue de la venue sur place de Xavier Beulin président de la FNSEA. Parallèlement, d'autres bloquent toujours l'accès au Mont-Saint-Michel.