Face aux nouveaux dirigeants libyens, Emmanuel Macron a reconnu que la France avait une responsabilité dans le chaos qui règne dans le pays depuis l'intervention de l'OTAN en 2011, qui a conduit à la chute de Mouammar Kadhafi.
Jean de Maillard, ancien magistrat et Yves d'Amécourt, conseiller régional Nouvelle-Aquitaine, débattaient du jugement à l’encontre de l’ancien président de la république Nicolas Sarkozy dans l’affaire dite des «écoutes».
Le tribunal correctionnel de Paris a condamné ce 1er mars Nicolas Sarkozy dans l'affaire des «écoutes». L'ancien président écope d'une peine de trois ans de prison dont un an ferme.
L'accusation a requis une peine d'un an d'emprisonnement avec sursis et de 50 000 euros d'amende contre Edouard Balladur, et de deux ans avec sursis et 100 000 euros d'amende contre François Léotard, pour leur implication dans l'affaire Karachi.
Une enquête a été ouverte sur un possible «trafic d'influence» lié aux activités de conseil de l'ancien président comme avocat du groupe Reso-Garantia. La justice cherche à déterminer s'il a agi en consultant, ce qui serait légal, ou en lobbyiste.
Ségolène Royal, ancienne ministre de l’Environnement, s'exprime dans «Répondez, les Français Veulent Savoir !».
Le poste de Cécilia Attias comme assistante parlementaire de la suppléante de Nicolas Sarkozy en 2002 était-il un emploi fictif ? C'est en tout cas ce que laisse entendre une enquête du Canard enchaîné publiée ce 13 janvier.
Le parquet national financier a requis ce 8 décembre quatre ans de prison, dont deux avec sursis, à l'encontre de l'ancien président de la République Nicolas Sarkozy, jugé pour corruption et trafic d'influence dans l'affaire dite des «écoutes».
Quelques semaines après avoir retiré ses accusations contre Nicolas Sarkozy, l'homme d'affaires franco-libanais Takieddine a été arrêté après l'émission d'une notice par Interpol.
Dans La Grande Interview, Jean-Marc Sylvestre reçoit Henri Guaino, essayiste et ancien conseiller spécial de Nicolas Sarkozy, sur le thème : «A quoi sert le gaullisme aujourd'hui ?».
Coup de théâtre dans l'enquête sur des soupçons de financement libyen de la campagne présidentielle 2007 : Ziad Takieddine, l'un des principaux témoins à charge contre Nicolas Sarkozy, a retiré ses accusations.
Dans le cadre de l'enquête sur le financement libyen présumé de sa campagne de 2007, Nicolas Sarkozy a été inculpé pour association de malfaiteurs. Déjà mis en examen en 2018 dans cette affaire, il estime son innocence «bafouée».
Policiers en colère ? Les organisations syndicales rencontrent Gérald Darmanin puis Emmanuel Macron les 13 et 15 octobre et le ministre annonce sa volonté d'interdire la vente en ligne des mortiers d'artifices après l'attaque d'un commissariat.
La cour d'appel de Paris a rejeté ce 24 septembre l'essentiel des recours déposés par le camp Sarkozy, qui contestait l'enquête sur des soupçons de financement libyen de sa campagne présidentielle de 2007, a appris l'AFP de sources concordantes.
Interrogé en séance de dédicaces sur la polémique durant laquelle il été accusé d'avoir dressé un parallèle entre «singe» et «nègre», Nicolas Sarkozy a dit n'avoir «aucun commentaire à faire», préférant «élever le débat».
Nicolas Sarkozy s'est heurté au silence gêné de ses interlocuteurs dans l'émission Quotidien. Il s'est en effet retrouvé livré à lui-même lors d'une digression au cours de laquelle il a dressé un parallèle entre «singe» et «nègre».
Frédéric Taddeï reçoit Gil Mihaely, Dominique Trinquand, Stéphane Rials, et Anne Morelli.
Quel rôle jouent les présidents de la République au terme de leur mandat ? Conservent-ils un lien avec le peuple et la nation, ou se contentent-ils de critiquer ou de conseiller leurs successeurs ? Stéphane Rozès, président du CAP, répond.
L'ancien chef de l'Etat Nicolas Sarkozy a volé au secours du microbiologiste marseillais Didier Raoult, qui fait l'objet d'une plainte déposée auprès de l’Ordre des médecins par la Société de pathologie infectieuse de langue française.
Avec la promesse d'une procédure simplifiée sur le papier, l'amende forfaitaire pour détention de produits stupéfiants deviendra-t-elle un nouvel outil du quotidien pour les fonctionnaires ou est-ce une simple mesure d'«affichage» ?