Un rapport du Groupe d'Etats contre la corruption (Greco), un organe du Conseil de l'Europe, appelle l'Allemagne à s'améliorer sur certains points dont la prévention des conflits d'intérêts susceptibles de toucher les membres du gouvernement fédéral.
Des juges d'instruction vont reprendre les investigations visant le secrétaire général de l’Elysée, Alexis Kohler, soupçonné de conflits d'intérêts en raison de ses liens avec l'armateur italo-suisse MSC.
Personnalités politiques et médiatiques ainsi qu'hommes de loi ont réagi à la dernière révélation sur l'affaire Alexis Kohler, mettant notamment en avant une attestation le dédouanant des suspicions le visant et rédigée en 2019 par Emmanuel Macron.
Mis en cause pour prise illégale d'intérêts lorsqu'il était directeur de cabinet d'Emmanuel Macron, alors ministre des Finances, le secrétaire général de l'Elysée a bénéficié d'un classement sans suite de l'enquête le visant. Merci président ?
Mediapart a révélé qu'Olivier Dussopt avait reçu de la Saur en 2017 deux lithographies, avant la signature d'un contrat entre le groupe et la ville dont il était maire. Il affirme qu'il ignorait la valeur de ces biens – quelque 2 000 euros chacun.
A l'instar de Gilead, les «Big Pharmas» désignent les sociétés privées de l'industrie pharmaceutique. Et celles-ci sont plus que jamais mobilisées en temps de pandémie. Mais pourquoi leur rôle suscite-t-il tant d'interrogations ?
Après une première action à son encontre classée sans suite, Alexis Kohler doit faire face à de nouvelles accusations de conflit d’intérêts en raison de ses liens avec MSC. Anticor a déposé une plainte auprès du doyen des juges d'instruction.
Un groupe de Gilets jaunes se présentant comme les «Gilets jaunes constituants» a dévoilé un document du club Le Siècle, dans lequel sont mentionnés l'ensemble des membres, réunis en février. De nombreuses personnalités y figurent.
Le maire de Montpellier, Philippe Saurel, a communiqué, le 25 janvier, son intention de porter plainte contre la ministre de la Justice, Nicole Belloubet, pour «prise illégale d'intérêt». Il dénonce des accointances familiales et politiques.
Dans un article paru le 3 janvier, Marianne a mis en cause la ministre de la Transition écologique et solidaire pour n'avoir pas déclaré un poste d’administratrice chez IDG. Néanmoins, la HATVP aurait donné raison à l'ancienne PDG de la RATP.
Muriel Pénicaud n'aura même pas eu le temps de siéger au Conseil d'administration du Forum de Davos où son nom apparaissait depuis peu. La HATVP ayant rendu un avis négatif sur ce nouveau mandat, la ministre a dû y renoncer.
Nouveau couac pour Monsieur Retraites. Le magazine Capital relève que Jean-Paul Delevoye siège depuis 2016 au conseil d’administration de la Fondation SNCF. Une entreprise qui se place pourtant au cœur de la réforme explosive des retraites.
Après le camouflet Sylvie Goulard, Emmanuel Macron a proposé Thierry Breton à la Commission. Cet ex-ministre pro-privatisation, chef d'entreprise, europhile et libéral devrait passer sans encombre l'audition des eurodéputés. A moins que...
Dans une interview accordée au Télégramme, le président de l'Assemblée nationale a confirmé qu'il ne démissionnerait pas après sa mise en examen. Il s'est dit «serein et déterminé», insistant sur le fait qu'un «mis en examen n’est coupable de rien».
Richard Ferrand a fait savoir qu'il resterait président de l'Assemblée après sa mise en examen. Or, d'anciennes déclarations de l'intéressé et d'autres membres du camp Macron, datant de 2017, semblent s'inscrire en porte-à-faux avec cette décision.
Selon la porte-parole du gouvernement, le président de la République conserve «toute sa confiance» en Richard Ferrand, après que celui-ci a été mis en examen pour «prise illégale d'intérêts» dans l'affaire des Mutuelles de Bretagne.
L'enquête ouverte en juin contre le secrétaire général de l'Elysée Alexis Kohler sur un éventuel conflit d'intérêts entre ses postes dans la fonction publique et ses liens familiaux avec l'armateur italo-suisse MSC a été classée sans suite.
Le rapport d'un haut-fonctionnaire indépendant accuse le Premier ministre canadien d'avoir fait pression sur la ministre de la Justice pour qu'elle intercède en faveur d'une société québécoise. Justin Trudeau assume et invoque des «erreurs».
Anticor a déposé une troisième plainte pour «faux et usage de faux» et «omission substantielle de ses intérêts» contre le secrétaire de l’Elysée Alexis Kohler. Le vice-président de l'organisation, Eric Alt, en explique les raisons sur RT France.
Après les révélations de Mediapart sur la vente de 36 Rafale à l'Inde en 2016 sur fond de présumé conflit d'intérêts, François Hollande s'est expliqué. Michel Raimbaud, ancien ambassadeur de France, revient sur la polémique pour RT France.