VIDEO

Des centaines de personnes ont manifesté dans le sud du Liban contre la présence dans les eaux contestées avec Israël d'un navire qui doit exploiter du gaz pour l'Etat hébreu, rapporte l'AFP.
Les vols vers et en provenance de l'aéroport international de Damas ont été suspendus ce 10 juin, quelques heures après un raid israélien qui a endommagé l'une des pistes.
Les partis chiites ont perdu la majorité au parlement libanais lors des élections législatives du 15 mai. Fait inédit : des mouvements réformateurs et laïcs issus des protestations de 2019 ont fait leur entrée dans l’Hémicycle.
Peu après le lancement de plus de 10 projectiles par le mouvement chiite en direction de l'Etat hébreu en réaction à des frappes aériennes israéliennes sur le sud du Liban, Tsahal a répliqué en menant de nouvelles frappes sur le territoire libanais.
L'aviation israélienne a revendiqué l'attaque de «sites de lancement et des infrastructures terroristes au Liban, d'où des roquettes ont été tirées». Ses dernières frappes aériennes connues sur ce pays voisin remontaient à 2014.
Depuis le début de leurs carrières ces deux mastodontes du Moyen-Orient se livrent un bras de fer impitoyable. Menaces, accusations et insultes : leurs relations ne font que se dégrader, mettant leurs Etats au bord de la confrontation directe.
Chassé par la rue en 2019, l’ancien Premier ministre Saad Hariri revient à ce poste pour sortir le pays d’une grave crise économique et sociale. A-t-il des chances d’y parvenir sur fond de pressions depuis l’étranger et de troubles à l’intérieur ?
Hassan Nasrallah est revenu sur les démarches françaises au Liban dans un discours télévisé au cours duquel il a dit soutenir l'initiative de Paris en faveur d'un nouveau gouvernement, mais rejeté le ton et le mode opératoire employés.
Dans un discours préenregistré diffusé à l'Assemblée générale de l'ONU, Benjamin Netanyahou a accusé le Hezbollah de détenir un entrepôt d'armes secret à Beyrouth à côté de dépôts d'hydrocarbures. L'organisation chiite a démenti ces accusations.
La France a douté des accusations américaines selon lesquelles le Hezbollah aurait stocké sur son sol et celui de plusieurs autres pays européens «d’énormes quantités de nitrate d'ammonium», substance à l'origine de la récente explosion à Beyrouth.
Lors de sa visite au Liban, Emmanuel Macron a violemment apostrophé le journaliste Georges Malbrunot, spécialiste du Moyen-Orient, l'accusant d'avoir agi de manière «irresponsable pour la France».
En réponse aux tirs du Hezbollah vers des soldats israéliens, «des hélicoptères de combat et des avions [israéliens] ont frappé des postes du Hezbollah» au Liban, selon Tsahal. Quelques jours auparavant, le Hezbollah avait abattu un drone israélien.
Le mouvement libanais chiite a annoncé avoir abattu un drone israélien non loin de la frontière israélienne, dans le sud du Liban. L'armée israélienne a dans le même temps fait savoir qu'elle avait perdu un drone en territoire libanais.
Des responsables politiques étasuniens envisageraient des sanctions contre des responsables liés au Hezbollah, pour que le parti chiite, soutenu par l'Iran, n'ait pas la main sur le futur gouvernement libanais.
L'armée israélienne a déclaré avoir déjoué «une tentative d'infiltration d'une cellule terroriste» à la frontière avec le Liban. Le Hezbollah a démenti avoir participé à l'accrochage.
Jean-Yves Le Drian est au Liban pour une visite de deux jours dans ce pays plongé dans une grave crise économique. Le chef de la diplomatie française y a tenu une conférence de presse à Beyrouth, où les autorités espèrent des aides internationales.
Le ministre iranien a déclaré vouloir poursuivre sa coopération économique avec Damas et ce en dépit de l'entrée en vigueur de la loi César. Il a dénoncé un interventionnisme américain qui engendre selon lui des «ravages sur le peuple syrien».
Des centaines de Libanais ont manifesté à Beyrouth, le 6 juin, pour faire entendre leur colère à l'égard du gouvernement et du marasme économique, mais aussi pour appeler au désarmement du Hezbollah. Des heurts ont éclaté en marge de la mobilisation.
L'agence Sana a fait état de plusieurs raids de l'armée israélienne contre une cible militaire en Syrie. Elle a annoncé des «dégâts matériels sans pertes humaines» alors que l'OSDH, ONG controversée, a évoqué la mort de neuf soldats.
Alors que le Liban fait face à une importante crise financière, le chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah, s'est montré réceptif à une aide du FMI, à condition que celle-ci soit dénuée d'intentions d'ingérence étrangère.