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Depuis les rives de la mer Noire, le ministre russe des Affaires étrangères a souligné l'inefficacité du mécanisme européen destiné à contourner les sanctions américaines visant l’Iran, qui n’a encore permis aucune transaction.
Après de longues négociations entre le gouvernement syrien, l'opposition et l'ONU, la mise en place d'un Comité constitutionnel pour la Syrie a été rendue publique. Il aura pour mission de rédiger une Constitution mais sa tâche s'annonce déjà ardue.
La commissaire Federica Mogherini a annoncé un programme européen visant à promouvoir la religion dans les débats politiques nationaux. L'UE financera les échanges à hauteur de 1,5 million d'euros. La laïcité française risque d'être mise à mal.
Figures emblématiques du mouvement de contestation, Joshua Wong et Agnes Chow ont été arrêtés avant d'être libérés sous caution. Pékin a en outre interdit la manifestation qui devait se tenir le 31 août et que les organisateurs ont préféré annuler.
Dans une déclaration publiée ce 17 août, le chef de la diplomatie européenne Federica Mogherini a appelé les différentes parties à dialoguer afin de résoudre la crise en cours à Hong Kong.
Déjà frappée par la justice des Etats-Unis la banque française est confrontée à une plainte d’exilés cubains. Ils s’appuient sur les dispositions d’une loi de sanctions adoptée sous Bill Clinton et réactivée par Donald Trump.
Les récentes nominations au sein des hautes instances de l’UE illustrent un phénomène bien plus large, pointe Pierre Lévy, du mensuel Ruptures : la consanguinité des élites mondialisées, totalement coupées des peuples.
Au lendemain de la nomination d'Ursula von der Leyen, de Charles Michel, de Christine Lagarde et de Josep Borrell aux postes clé de l'Union Européenne, Pierre Lévy présente son analyse de l'état de l'Union qui tourne une nouvelle page.
Le Kremlin a balayé les accusations américaines visant l'Iran, après les attaques perpétrées contre deux pétroliers en mer d'Oman, les comparant aux fausses preuves présentées par Colin Powell en 2003 à l'ONU pour justifier l'invasion de l'Irak.
Bruxelles, qui avait rapidement emboîté le pas aux Etats-Unis et plusieurs de ses alliés en reconnaissant à son tour Juan Guaido, président autoproclamé du Venezuela, demeure opposée à une intervention militaire.
La mise en place d'un Fonds commun de créances au niveau européen pourrait voir le jour dans les prochaines semaines. Une telle solution permettrait aux entreprises européennes de continuer à commercer avec l'Iran malgré les sanctions américaines.
Dans une interview, le président ukrainien a appelé l'OTAN, et plus spécifiquement Berlin, à déployer des navires en mer d'Azov. La Russie a pour sa part fait savoir qu'elle ne souhaitait pas voir d'«intermédiaire» intervenir dans cette crise.
Si Riyad a reconnu la mort du journaliste Jamal Khashoggi, la France et l'Allemagne ne semblent pas se satisfaire des premières explications officielles saoudiennes. Les deux pays et l'UE veulent une enquête approfondie sur les causes de son décès.
Pour continuer à faire des affaires en Iran tout en échappant aux sanctions américaines, les Européens vont créer une chambre de compensation, qui leur permettra de se faire payer directement en pétrole, sans avoir à passer par le dollar.
Les entreprises européennes installées en Iran se retrouvent coincées dans un véritable étau : si elles décident de respecter les sanctions mises en place par les Etats-Unis, elles s'exposent en retour à des sanctions de l'Union européenne.
L'Italie conditionne le débarquement de migrants dans ses ports à un partage de prise en charge avec les autres Etats de l'Union européenne. Plusieurs pays de l'Union européenne y voient une sorte de chantage.
Le ministre de l'Economie et des Finances français a retrouvé ses homologues européens. Ils ont adressé un courrier aux Etats-Unis leur demandant d'épargner les entreprises européennes qui souhaiteraient maintenir leurs activités en Iran.
Pour la première fois depuis 60 ans Cuba ne sera pas dirigé par un membre de la dynastie Castro. L’île révolutionnaire se retrouve à la croisée des chemins. Tentera-elle de se rapprocher avec Washington ou misera-t-elle sur ses alliés traditionnels ?
Le président français a souligné l'unité sur la question du nucléaire iranien de Paris, Londres et Berlin qui soutiennent l'accord signé avec Téhéran en 2015. Il a toutefois rappelé qu'il souhaitait obtenir un accord plus large.
La décision de Donald Trump de sortir de l'accord sur le nucléaire iranien a eu pour conséquence d'ouvrir un fossé entre les Etats-Unis et l'Union européenne, inquiète de ne plus pouvoir commercer librement avec l'Iran.