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Le militant africain a publié la vidéo de son entretien qu'a choisi de ne pas diffuser LCP. Viscéralement attaché à la souveraineté des pays africains, il y critique des élites africaines «mafieuses» et précise sa vision des relations avec la Russie.
Réagissant au second volet de la superproduction des studios Marvel Black Panther, le ministre français des Armées a dénoncé «une représentation mensongère et trompeuse» de l'action de l'armée française en Afrique.
Désigné par Paris comme la cause de ses déboires en Afrique, Moscou récuse les accusations françaises d’ingérence et renvoie les Européens à leurs fautes sur le continent africain et à leur vision manichéenne de la politique internationale.
Polit'Mag avec nos chroniqueurs Stéphane Tiki et François Cocq, notre éditorialiste Didier Maïsto et Mustapha Marrouchi, maire adjoint de Massy (Essonne).
Plusieurs centaines de personnes ont manifesté pacifiquement ce 18 septembre dans les rues de la capitale nigérienne Niamey, pour protester notamment contre la force française Barkhane. Certains protestataires brandissaient des drapeaux russes.
Arrêtés le 15 septembre au centre-ville de Bamako en train de prendre des photographies, deux Français, soupçonnés dans un premier temps d'espionnage, ont été libérés après des vérifications par les autorités maliennes.
Une manifestation contre l'opération Barkhane au Niger ayant été interdite par les autorités, les organisateurs ont annoncé le lancement d'une pétition en ligne qualifiant l'armée française de «force maléfique» et exigeant leur départ du pays.
Le ministère français des Armées a annoncé le départ des derniers soldats français de la force Barkhane, présente au Mali depuis neuf ans, alors que les relations demeurent tendues entre Paris et Bamako.
Dans un contexte de relations exécrables entre la France et les militaires au pouvoir au Mali, des manifestants ont défilé à Gao pour réclamer le départ définitif des militaires français de Barkhane dans les 72h.
Le calendrier était attendu, le voilà confirmé : Paris a annoncé la fin de la task force Takuba au Mali, une agrégation de forces spéciales européennes, victime collatérale des tensions avec les colonels au pouvoir à Bamako.
L'armée française a indiqué qu'elle avait mis la main sur un important chef djihadiste dans une zone frontalière du Mali. La force Barkhane doit le transférer, après interrogatoire, aux autorités maliennes.
Le résultat de l’opération militaire française Barkhane, lancée en 2014, fait débat, tandis que le Mali cherche désormais de nouveaux partenaires internationaux. Décryptage avec notre journaliste Antoine Cléraux.
Les enquêtes conduites par Paris et Niamey n'ont pas permis de faire la lumière sur la mort de trois manifestants au passage d'un convoi de la force Barkhane fin 2021, Le Niger juge néanmoins que les tirs venaient «probablement» de soldats français.
Le pouvoir malien a fait savoir que la force antidjihadiste française Barkhane n'avait plus de base légale pour opérer dans le pays, après la dénonciation par Bamako des accords de coopération militaire. L'UE regrette cette décision.
Le porte-parole du gouvernement malien, le colonel Abdoulaye Maïga, a annoncé que le Mali rompait les accords de défense signés avec la France, dans un contexte tendu. Les autorités dénoncent des «atteintes flagrantes» à la souveraineté nationale.
L'armée française a officiellement remis aux forces armées maliennes (FAMa) les clés de la base de Gossi, dans le nord du Mali, étape majeure du départ de la force anti-djihadiste Barkhane du pays, selon l'état-major français.
Quelques centaines de personnes se sont réunies le 19 février place de l'Indépendance, dans le centre de Bamako, pour fêter le retrait militaire de la France au Mali, annoncé par Emmanuel Macron deux jours plus tôt.
Les autorités maliennes ont qualifié le désengagement français de «violation flagrante» des accords entre les deux pays. Emmanuel Macron a répondu que la France se retirerait «en bon ordre» et ne transigerait pas sur la sécurité de ses soldats.
Après l'officialisation du retrait des troupes françaises du Mali par Emmanuel Macron, l'opposition a commenté la décision du chef de l'Etat dénonçant, entre autres, un «gâchis» ou un «désastre» ou bien encore le maintien de la «Françafrique».
Présentes au Mali dans le cadre de la Minusma et de deux missions (EUTM et EUCAP), l'ONU et l'UE n'ont pas encore pris de décision quant à la poursuite de leurs activités dans le pays après le retrait des troupes françaises.