BRAS DE FER

Les organisateurs de la Primaire populaire, gagnée par Christiane Taubira qui finalement ne sera pas candidate, avaient redirigé leur soutien à Jean-Luc Mélenchon, pourtant troisième du vote derrière Yannick Jadot. Une décision dont ils s'excusent.
Cruellement mise en lumière par la pandémie, la désindustrialisation du pays a fait l'objet d'une attention renouvelée de la part du gouvernement, qui se targue d'avoir inversé la tendance. Qu'en est-il et que proposent les rivaux d'Emmanuel Macron ?
Les décisions de la Russie dans le dossier ukrainien ont suscité des commentaires dans la classe politique : certains appellent à des sanctions, d'autres, plus mesurés, rejettent cette solution et appellent à de nouveaux traités sur les frontières.
Le président du Parti radical de gauche, Guillaume Lacroix, a annoncé le 14 février que son parti se mettait «en retrait» de la candidature de Christiane Taubira, tout en niant l'existence d'une rupture entre son parti et l'ancienne garde des Sceaux.
Des discussions tenues entre les équipes de Yannick Jadot et celles de Christiane Taubira ont froissé Sandrine Rousseau. Celle-ci aurait en effet été tenue à l'écart. Les deux écologistes se sont répondus sèchement par médias interposés.
Ex-collègue de Christiane Taubira au gouvernement, Manuel Valls a jugé que cette dernière incarnait le «wokisme» et «les errements de la gauche». Il a critiqué ses «revirements idéologiques» et son «ambiguïté vis-à-vis des principes républicains».
La candidate à la présidentielle est apparue en difficulté pendant son oral au sujet du logement. Sur les réseaux, plusieurs internautes ont évoqué un «naufrage» de l'ex-ministre. Elle a obtenu le soutien du communiste Fabien Roussel.
«Je ne suis pas concerné, c'est leur affaire», a déclaré le candidat de la France insoumise sur France 5, après la désignation de Christiane Taubira comme candidate privilégiée par les électeurs de la «primaire populaire».
Victorieuse de la «Primaire populaire», Christiane Taubira semble en lice pour la présidentielle. Mais ce scrutin, qui n'est pas reconnu par Anne Hidalgo, Yannick Jadot ou Jean-Luc Mélenchon, a surtout mis en lumière les divisions de la gauche.
Organisée par des citoyens, la primaire populaire a livré son verdict : Christiane Taubira en sort vainqueur devant Yannick Jadot. Ce dernier, comme Anne Hidalgo et Jean-Luc Mélenchon, avait indiqué qu'il ne prendrait pas en compte le résultat.
Anne Hidalgo et Christiane Taubira ont ciblé Valérie Pécresse mais aussi leur rival à gauche pour la présidentielle, Jean-Luc Mélenchon, reprochant à la première sa «porosité [...] avec l'extrême droite» et au deuxième ses débats avec Eric Zemmour.
La candidate à la présidentielle a tenu à clarifier sa position sur la vaccination après avoir tenu des propos jugés ambigus quelques mois plus tôt. Selon elle, le pass vaccinal entré en vigueur le 24 janvier, est «une obligation vaccinale».
Dans le cadre d'une rencontre avec des lycéens diffusée sur France 3, l'ancien président de la République a glissé qu'il prendrait prochainement la parole. En évoquant la faiblesse de la gauche, il a entretenu le flou sur une éventuelle candidature.
Nouvelle candidature au sein d'une gauche plus que jamais divisée. L'ancienne ministre Christiane Taubira a officialisé ce 15 janvier sa candidature à l'élection présidentielle, affirmant vouloir répondre «aux colères face aux injustices sociales».
Christiane Taubira, ancienne garde des Sceaux – et collègue d'Emmanuel Macron sous la présidence Hollande –, a annoncé ce 15 janvier sa candidature à l'élection présidentielle, 20 ans après celle de 2002. Avec pour objectif d'unir une gauche divisée.
Christiane Taubira, candidate supposée à l'élection présidentielle, a déclaré le 9 janvier qu'elle se conformerait aux résultats de la Primaire populaire prévue les 27 et 30 janvier, invitant les candidats de gauche «à en faire autant».
Un groupe de militants et de personnalités de gauche, dont l'eurodéputé Pierre Larrouturou, ont annoncé qu'ils cesseraient de s'alimenter à partir du 7 janvier pour exhorter les candidats de leur camp à s'unir.
Si Anne Hidalgo promeut une union de la gauche, elle refuse néanmoins de céder sa place si Christiane Taubira se présente officiellement pour la présidentielle de 2022. La primaire est l'unique solution selon le maire de Paris.
Christiane Taubira a annoncé «envisager» une candidature à l'Elysée le 17 décembre. Une proposition accueillie froidement par Jean-Luc Mélenchon ou Yannick Jadot. Arnaud Montebourg ne semble pas fermé sur la démarche de l'ancienne garde des Sceaux.
L'ancienne garde des Sceaux a fait savoir qu'elle donnait une «dernière chance» à l'«union» de son camp politique, mais qu'elle envisageait de se présenter à la présidentielle. Elle devrait annoncer une décision définitive mi-janvier.