Pyongyang
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A l'approche d'une importante parade militaire, l'armée nord-coréenne a déclaré qu'elle allait étendre et intensifier ses exercices militaires en vue de «la préparation à la guerre», selon les médias publics.
D'après le média NK News, les habitants de la capitale nord-coréenne ont été confinés et doivent se soumettre à des prises de température. Le Covid-19, que le pays a affirmé avoir «vaincu» en août 2022, n'est pas mentionné.
La Corée du Sud a accusé Pyongyang d'avoir fait voler «plusieurs» drones à la frontière. Séoul a déployé des hélicoptères de combat ainsi que des avions de chasse, et procédé à des coups de semonce.
L’Agence centrale de presse coréenne (KCNA) a fait savoir le 16 décembre que la Corée du Nord avait testé avec succès «un moteur à combustible solide de forte poussée» avec l'objectif de développer une nouvelle arme stratégique.
La Corée du Nord a poursuivi ses tests de lancements de missiles, avec deux nouveaux tirs le 12 octobre, selon les médias nord-coréens. Les tirs, qui ont parcouru 2 000 km au-dessus de la mer Jaune, ont été supervisés par Kim Jong Un.
Le 6 octobre, la Corée du Nord a lancé deux nouveaux missiles balistiques vers la mer du Japon. Pyongyang justifie ses essais comme une «juste mesure de rétorsion» face aux exercices miliaires conjoints entre Seoul et Washington dans la région.
Benoît Quennedey, haut fonctionnaire, a bénéficié d'un non-lieu pour l'accusation de «trahison» dont il faisait l'objet depuis 2018. Il était soupçonné d'intelligence avec une puissance étrangère, en l'occurrence la Corée du Nord.
Pyongyang a affirmé avoir effectué avec succès des tirs d'essai d'un nouveau missile de croisière longue portée, se félicitant de disposer de cette «arme de dissuasion». Le Pentagone s'inquiète quant aux «menaces» sur la communauté internationale.
Alors que les relations semblaient au point mort entre les deux Corées, les canaux de communication vont être rétablies après treize mois de suspension, a annoncé l'agence de presse nord-coréenne KCNA le 27 juillet.
Le Conseil européen a annoncé des sanctions contre le ministre nord-coréen en charge de la sécurité d'Etat, le ministre de la sécurité publique et le bureau du procureur général central. Pyongyang dénonce «une provocation politique méprisable».
Du fait de méthodes décriées aussi bien dans le domaine nucléaire que sur le plan des droits de l'homme, Pyongyang fait face à une hostilité ouverte sur la scène internationale, qui semble imprégner la couverture médiatique étrangère du pays.
Pyongyang annonce officiellement son premier cas suspecté de coronavirus et déclenche l'urgence maximale sur son territoire. Le porteur du virus serait un ancien transfuge venu à la nage de la Corée du Sud, et mis en cause dans une affaire de viol.
Près de deux semaines après sa dernière apparition filmée, la Corée du Sud affirme que Kim Jong-un est vivant et en bonne santé, contredisant ainsi les récentes spéculations sur la mort du dirigeant nord-coréen.
Pour la deuxième fois en dix jours, des braconniers nord-coréens ont été détenus en mer du Japon par des garde-frontières russes qui leur ont confisqué plus de 30 000 calamars pêchés illégalement, a fait savoir le FSB.
En amont de l'Assemblée générale de l'ONU, le chef de la diplomatie russe a évoqué les grandes lignes de la politique internationale de Moscou. Il prône le multilatéralisme et dénonce le «révisionnisme» de l'Occident en matière de sécurité.
En mer du Japon, quatre garde-frontières russes ont été blessés lors d’une attaque menée par des braconniers de Corée du Nord, selon le service de presse du Service fédéral de sécurité (FSB). 161 Nord-Coréens ont été arrêtés lors de cet incident.
Selon des informations du Wall Street Journal, il existerait «un lien» entre l'agence de renseignement américaine et le demi-frère du dirigeant nord-coréen, dont l'assassinat en 2017 avait fait le tour du monde.
Pour les célébrations de son 70e anniversaire, la Corée du Nord a invité un nombre sans précédent de journalistes étrangers et les a autorisés à garder leurs smartphones. RT se rend derrière le rideau de bambous !
Selon l'armée sud-coréenne, Pyongyang aurait effectué des tirs ce 9 mai, alors que l'émissaire américain pour la Corée du Nord venait d'arriver à Séoul.
Kim Jong-un est arrivé à Vladivostok, dans l'Extrême-Orient russe, à bord de son train blindé, en vue d'une rencontre avec Vladimir Poutine. Le reporter de RT France Kyrill Kotikov est sur place pour couvrir ce premier sommet entre les deux hommes.
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