François Asselineau (UPR)
Le président de l’UPR François Asselineau décrypte l’actualité sur RT France : la rencontre entre Donald Trump et Emmanuel Macron lors du 27e sommet de l’OTAN et, sur le plan national, la grande grève du 5 décembre contre la réforme des retraites.
Magali Forestier reçoit Patrick Mennucci, conseiller municipal de Marseille (PS) et Aurélie Gros, conseillère régionale d'Île-de-France ainsi que François Asselineau, président de l’UPR et Patricia Gouault, professeur des écoles.
Refusant la perspective du Brexit, cette région britannique soulève de nouveau la question de son indépendance vis-à-vis du Royaume-Uni. Comment ces aspirations indépendantistes se manifestent-elles ?
Le philosophe Michel Onfray a reconnu dans une conférence soutenir les thèses de François Asselineau pour sa critique de l'Union européenne. Quelques heures plus tard, il a affirmé être victime de récupération politique de la part de l'UPR.
Interrogé par un sympathisant de l'UPR, le parti de François Asselineau, le philosophe Michel Onfray a reconnu soutenir les thèses du chantre du Frexit car «il dit la vérité» et explique «comment fonctionne l'empire Maastrichtien».
La galaxie des eurocritiques, attachés à l’Etat-nation, est étoffée de clubs, partis, mouvements, associations, courants qui peinent à s'unir. Clivage gauche/droite, querelles d'égo : les motifs de désaccords sont nombreux. RT France décrypte.
Quelle image les candidats aux européennes du 26 mai 2019 cherchent-ils à donner d'eux-mêmes et de leur projet ? Que veulent-ils que vous reteniez d'eux ? Réponse avec les déclarations les plus emblématiques tirées des différentes listes.
Division des forces pro-Frexit, opinion française globalement défavorable à une sortie de la France de l'UE : le projet mené par l'UPR et les Patriotes a du plomb dans l'aile alors que Bruxelles subit des critiques de toute part. Un paradoxe ?
La tête de liste des Patriotes aux élections européennes a confirmé avoir proposé à François Asselineau de faire liste commune moyennant une contribution financière. L'UPR rétorque que Florian Philippot a simplement cherché à sauver sa place d'élu.
Les sondages sont au beau fixe et Marine Le Pen se réjouit de sa tournée européenne. Mais dans un paysage politique renouvelé, le RN joue sa crédibilité face à Emmanuel Macron – et il n'a plus le monopole de l'euroscepticisme ou de la radicalité.
Invité de France Inter, le président des Patriotes, Florian Philippot, a plaidé pour un rapprochement avec le parti de François Asselineau, l'UPR, en vue des élections européennes. Avec comme argument de donner plus de poids à l'option Frexit.
Le premier débat entre les têtes de liste aux élections européenne s'est tenu le 4 avril. L’occasion pour les 12 candidats d’apporter un objet représentatif de leur vision de l'Europe et par extension de leur programme politique.
Le Conseil d'Etat a finalement donné tort au tribunal administratif de Paris, qui avait ordonné à France Télévisions d'inviter les candidats de Génération.s, de l'UPR et des Patriotes pour un débat sur France 2 en vue des élections européennes.
Pour la justice, la décision de France 2 de ne pas convier les leaders de l’UPR, de Génération.s et des Patriotes au débat du 4 avril, est susceptible de porter «une atteinte grave» à l’expression des différents «courants de pensée et d’opinion».
Pas convaincu par le Grand débat national, à l'instar d'une majorité de Français, le fondateur de l'UPR, François Asselineau, a estimé sur l'antenne de RT France qu'il s'agissait d'une «gigantesque tartuferie».
56 000 euros : c'est ce qu'aurait coûté l'introduction de l'euro à chaque Français depuis vingt ans. Ce sont en tout cas les données avancées par une étude du Centre de politique européenne (CEP), un think tank libéral allemand.
Un nouveau traité franco-allemand, celui d'Aix-la-Chapelle, complètera le 22 janvier celui dit de l'Elysée, signé en 1963 entre le Général de Gaulle et Konrad Adenauer. De nombreues personnalités politiques, plutôt à droite, l'ont pris pour cible.
A la veille de l'ouverture du grand débat national d'Emmanuel Macron, le président de l'UPR, François Asselineau, a déploré la tentative du chef de l'Etat de «noyer le poisson» en évitant une série de questions, notamment liées à l'Union européenne.
Le pacte onusien sur les migrations a été approuvé à Marrakech ce 10 décembre par quelque 150 pays, dont la France. Des élus républicains, le Rassemblement national, Debout la France et l'UPR ont condamné cette décision.
Frédéric Taddeï reçoit François Asselineau, président de l’UPR, Fabien Chevalier, président de Sauvons l'Europe, Olivier Delorme, écrivain et historien ainsi qu'Yves Gernigon, président du Parti Fédéraliste Européen
François Asselineau (UPR)