François Asselineau (UPR)
Deux jours après son placement en garde à vue pour des accusations de harcèlement et d'agressions sexuelles, le président de l'UPR a été mis en examen. Selon son avocat, le chef de parti dénonce catégoriquement ces accusations.
Le président de l'UPR et candidat à la présidentielle, François Asselineau, a été placé en garde à vue ce 3 février pour harcèlement moral, harcèlement sexuel et agressions sexuelles, selon le Parquet de Paris cité par l'AFP.
François Asselineau a été réélu haut la main à la tête du parti pro-Frexit lors d'un congrès virtuel convoqué après des accusations et une enquête pour «harcèlement sexuel» et «agression sexuelle». Plusieurs cadres du parti ont annoncé leur départ.
A l'initiative de l'UPR de François Asselineau, une soirée a été organisée à Paris, le 31 janvier, pour fêter le Brexit. Joie et espoir étaient au rendez-vous pour de nombreux invités issus de bords politiques différents.
Ce 29 janvier François Asselineau, président de l’Union populaire républicaine (UPR) était l’invité de L’Info avec Stéphanie De Muru.
Magali Forestier reçoit Aurélie Gros, présidente de La France Vraiment, Lydia Guirous, essayiste et membre du bureau politique LR, ainsi que Gaëtan Dussausaye, membre du conseil national du RN, et Jean-Philippe Tanguy, porte-parole de DLF
Le leader de DLF plaide pour une primaire incluant de nombreux candidats «patriotes» en 2021 – globalement de droite. Objectif : désigner un candidat unique en vue de la présidentielle. Pour l'heure, seul Florian Philippot y a répondu favorablement.
Le président de l’UPR François Asselineau décrypte l’actualité sur RT France : la rencontre entre Donald Trump et Emmanuel Macron lors du 27e sommet de l’OTAN et, sur le plan national, la grande grève du 5 décembre contre la réforme des retraites.
Magali Forestier reçoit Patrick Mennucci, conseiller municipal de Marseille (PS) et Aurélie Gros, conseillère régionale d'Île-de-France ainsi que François Asselineau, président de l’UPR et Patricia Gouault, professeur des écoles.
Refusant la perspective du Brexit, cette région britannique soulève de nouveau la question de son indépendance vis-à-vis du Royaume-Uni. Comment ces aspirations indépendantistes se manifestent-elles ?
Le philosophe Michel Onfray a reconnu dans une conférence soutenir les thèses de François Asselineau pour sa critique de l'Union européenne. Quelques heures plus tard, il a affirmé être victime de récupération politique de la part de l'UPR.
Interrogé par un sympathisant de l'UPR, le parti de François Asselineau, le philosophe Michel Onfray a reconnu soutenir les thèses du chantre du Frexit car «il dit la vérité» et explique «comment fonctionne l'empire Maastrichtien».
La galaxie des eurocritiques, attachés à l’Etat-nation, est étoffée de clubs, partis, mouvements, associations, courants qui peinent à s'unir. Clivage gauche/droite, querelles d'égo : les motifs de désaccords sont nombreux. RT France décrypte.
Quelle image les candidats aux européennes du 26 mai 2019 cherchent-ils à donner d'eux-mêmes et de leur projet ? Que veulent-ils que vous reteniez d'eux ? Réponse avec les déclarations les plus emblématiques tirées des différentes listes.
Division des forces pro-Frexit, opinion française globalement défavorable à une sortie de la France de l'UE : le projet mené par l'UPR et les Patriotes a du plomb dans l'aile alors que Bruxelles subit des critiques de toute part. Un paradoxe ?
La tête de liste des Patriotes aux élections européennes a confirmé avoir proposé à François Asselineau de faire liste commune moyennant une contribution financière. L'UPR rétorque que Florian Philippot a simplement cherché à sauver sa place d'élu.
Les sondages sont au beau fixe et Marine Le Pen se réjouit de sa tournée européenne. Mais dans un paysage politique renouvelé, le RN joue sa crédibilité face à Emmanuel Macron – et il n'a plus le monopole de l'euroscepticisme ou de la radicalité.
Invité de France Inter, le président des Patriotes, Florian Philippot, a plaidé pour un rapprochement avec le parti de François Asselineau, l'UPR, en vue des élections européennes. Avec comme argument de donner plus de poids à l'option Frexit.
Le premier débat entre les têtes de liste aux élections européenne s'est tenu le 4 avril. L’occasion pour les 12 candidats d’apporter un objet représentatif de leur vision de l'Europe et par extension de leur programme politique.
Le Conseil d'Etat a finalement donné tort au tribunal administratif de Paris, qui avait ordonné à France Télévisions d'inviter les candidats de Génération.s, de l'UPR et des Patriotes pour un débat sur France 2 en vue des élections européennes.
François Asselineau (UPR)