La Banque centrale de Bolivie a annoncé restituer au FMI un crédit contracté de manière «irrégulière» et «onéreuse» par le gouvernement «de facto» de Jeanine Anez, au pouvoir durant un an suite au coup d'Etat contre Evo Morales.
Dans La Grande Interview, Grégory Petitjean reçoit Pascal Boniface, directeur de l'Institut de Relations Internationales et Stratégiques (IRIS), sur le thème «Diego Maradona, une figure politique derrière le génie sportif».
Une semaine après son retour en Bolivie, l'ancien président Evo Morales a annoncé qu'il avait été nommé président du Movimiento Al Socialismo (MAS), le parti présidentiel. Il succède à Luis Arce, élu président du pays.
Le retour d'Evo Morales en Bolivie prend la forme d'une procession. Arrivé à pied depuis l'Argentine, où il s'était exilé, l'ancien président sillonne le pays en direction de la capitale, accueilli à chaque étape par des foules très nombreuses.
Le nouveau président de la Bolivie, et ancien ministre de l'Economie, a dressé un sombre bilan de l'année de transition : déficit, dette, chômage… Il affirme récupérer une économie en chute libre, qui nécessitera deux années de reconstruction.
Lors d'une conférence de presse à Buenos Aires, l'ancien président bolivien a déclaré espérer pouvoir regagner son pays natal dès le 9 novembre prochain après la victoire de Luis Arce lors du scrutin du 18 octobre.
Le président russe a promis au président bolivien nouvellement élu, Luis Arce, la reprise de la «coopération constructive» qui prévalait entre leurs deux pays lorsque le socialiste Evo Morales était au pouvoir.
L'Organisation des Etats américains a estimé légitime le retour au pouvoir en Bolivie du Mouvement vers le socialisme (MAS) de l'ancien chef de l'Etat Evo Morales, dont le candidat Luis Arce a remporté l'élection présidentielle avec une large avance.
Après l'élection du candidat de gauche Luis Arce au poste de président en Bolivie, Evo Morales a déclaré qu'il rentrerait «tôt ou tard» dans son pays. «Mon grand souhait est de retourner en Bolivie, dans ma région», a-t-il ajouté.
Patricia Arce, la maire bolivienne brutalement attaquée par des opposants en novembre 2019, a été élue sénateur du parti MAS d'Evo Morales. Luis Arce, du même parti, a lui été élu président.
Luis Arce, membre du parti de l'ancien dirigeant Evo Morales, a été élu président de la Bolivie. Il remporte le scrutin à 52,4% des voix, au terme d'un an de crise politique et de ce qu'Evo Morales avait qualifié de «coup d'Etat» mené par la droite.
Interpol a rejeté la demande du gouvernement bolivien par intérim d'activer l'alerte rouge contre l'ex-président Morales, accusé par ses détracteurs de «sédition et terrorisme». Interpol a jugé que ce crime supposé avait une «composante politique».
La présidente de facto de Bolivie a annoncé son retrait de la course à la présidentielle un mois avant le scrutin dans le but d'empêcher une victoire du candidat de la gauche, Luis Arce, dauphin du président Evo Morales, contraint à l'exil.
Le gouvernement provisoire bolivien instrumentalise le système judiciaire pour persécuter Evo Morales, ses alliés et ses partisans, dénonce Human Rights Watch dans un rapport. En novembre 2019, l'ONG s'était montrée plus timorée sur le coup d'Etat.
La présidente par intérim de la Bolivie a affirmé que le Bureau du procureur général de son pays avait présenté une plainte pour crimes contre l'humanité, devant la CPI, contre l'ex-chef d'Etat Evo Morales. Celui-ci a réagi à l'annonce.
Evo Morales est accusé d'être responsable de l'installation de barrages routiers ayant bloqué des convois médicaux. L'actuel gouvernement fait ces accusations, qualifiées de «provocation» par l'ancien président, à quelques mois des élections.
Chef d'entreprise multimilliardaire aux trois nationalités, dont la citoyenneté américaine, Elon Musk est un habitué des extravagances. Dernière sortie fracassante en date, un tweet dans lequel il s'est exprimé sur la situation politique en Bolivie.
Quelque 4 000 personnes ont manifesté dans la capitale bolivienne contre les politiques menées par la présidente par intérim Jeanine Anez et son gouvernement. Ils dénoncent les inégalités sociales et réclament des élections générales immédiates.
En novembre 2019, le président bolivien Evo Morales était poussé à la démission par des allégations de fraude électorale. Sept mois plus tard, les «preuves» sont réduites à peau de chagrin et ce récit médiatique apparaît de plus en plus fragilisé.
Deux statisticiens du Massachusetts institute of technology (MIT) viennent de confirmer dans une étude qu'il n'y a aucune preuve de fraude lors de l'élection présidentielle bolivienne du 20 octobre 2019.