L'avocat Fabrice Di Vizio a affirmé au Parisien que Didier Raoult l'avait mandaté pour déposer un recours au Conseil d’Etat et une plainte au pénal contre l'ANSM qui a refusé de généraliser un traitement à base d'hydroxychloroquine.
Le président vénézuélien Nicolas Maduro a annoncé que l'Institut vénézuélien de recherche scientifique avait conçu «un médicament qui annihile 100% du coronavirus» sans provoquer d'effets secondaires. Le remède est soumis à la certification de l'OMS.
Le géant pharmaceutique français Sanofi a annoncé que l'essai clinique de son médicament Kevzara, codéveloppé avec le laboratoire Regeneron, contre les formes sévères de Covid-19 n'avait pas donné de résultats concluants.
Les études sur la potentielle efficacité de la chloroquine dans la lutte contre le coronavirus se multiplient et se contredisent souvent. Mais pourquoi le débat autour de ce médicament se poursuit-il encore avec autant de vigueur ?
L'Agence nationale du médicament assure que la France s'est dotée de «doses suffisantes» de l'antiviral remdesivir, une semaine après que les Etats-Unis ont annoncé avoir acquis 92% de toute la production du laboratoire Gilead.
C'est une première dans le dossier de la Dépakine : la justice a reconnu la responsabilité de l'Etat, de Sanofi et de médecins dans les effets dévastateurs de l'antiépileptique. L'Etat devra indemniser des familles d’enfants gravement handicapés.
Pays le plus endeuillé de la planète avec 127 322 morts, les Etats-Unis ont récemment acheté le stock mondial de remdesivir, l'antiviral des laboratoires américains Gilead qui pourrait accélérer la guérison des patients atteints du Covid-19.
Le géant pharmaceutique Gilead, qui cristallise des critiques depuis le début de l'épidémie de Covid-19, a fixé le prix de son antiviral remdesivir à 390 dollars par doses aux Etats-Unis et dans les pays développés.
Les hôpitaux russes commencent à recevoir le premier médicament, enregistré sous le nom d'Avifavir, validé pour traiter les patients souffrant du nouveau coronavirus. Les spécialistes espèrent que ce nouveau traitement se révèlera efficace.
Les autorités sanitaires congolaises ont annoncé quatre décès dus à la fièvre Ebola dans le quartier de Mbandaka situé au nord-ouest du pays, à 600 km de la capitale. Le ministre de la Santé a annoncé l'envoi de médicaments et de vaccins.
Le ministère russe de la Santé a annoncé qu'il n'interdirait pas l'hydroxychloroquine, considérée par certains comme potentiellement dangereuse. Le médicament a été suspendu pour le traitement du Covid-19 en France, en Italie et en Belgique.
Dans un rapport d'enquêtes, deux ONG reprochent à la Commission européenne de laisser l'industrie pharmaceutique contrôler des fonds publics de recherche. Avant la crise, les Big pharmas auraient écarté la recherche de vaccins contre les coronavirus.
Après la polémique sur une commercialisation du futur vaccin en priorité sur le territoire américain, Sanofi a précisé que si l'UE était aussi «efficace» que les Etats-Unis dans son soutien au laboratoire, elle pourrait aussi bénéficier du remède.
L'efficacité contre le Covid-19 d'un breuvage à base de plantes développé par un institut malgache ne fait pas l'unanimité. Face aux critiques, le président malgache dénonce une discrimination quant à l'origine africaine de la décoction.
A l'instar de Gilead, les «Big Pharmas» désignent les sociétés privées de l'industrie pharmaceutique. Et celles-ci sont plus que jamais mobilisées en temps de pandémie. Mais pourquoi leur rôle suscite-t-il tant d'interrogations ?
Créé pour lutter contre Ebola, le remdesivir aurait aidé des malades en état grave à se rétablir 31% plus vite, selon les premiers résultats cliniques. Soutenus par Washington, les laboratoires Gilead défendent leur molécule. Entre espoir et doutes.
Le ministère des Armées a reconnu avoir acheté de la chloroquine en Chine pour constituer un stock si jamais ce traitement, dont l'efficacité contre le coronavirus fait débat dans le monde, était finalement validé par les autorités sanitaires.
Andry Rajoelina, le président malgache, prône l'utilisation d'une tisane à base de plantes pour lutter contre le Covid-19. L'infusion aurait des vertus préventives et curatives. Le déconfinement partiel a même été décrété depuis le 22 avril.
Si en France le débat fait rage, d'autres pays n'ont pas hésité à opter pour la chloroquine. Par choix ou par dépit, un nombre croissant d'Etats préconise l'utilisation de cet antipaludique dans le traitement du Covid-19. Tour d'horizon.
Selon une information des Echos, le professeur marseillais Didier Raoult a dévoilé en exclusivité au président français sa nouvelle étude, estimant à 91% l'efficacité de son traitement à base d'hydroxychloroquine contre le Covid-19.