SIDERANT

Dans la nuit du 24 au 25 septembre, cinq policiers, ont été blessés après un refus d'obtempérer alors qu'ils intervenaient pour mettre fin à un rodéo urbain à Anglet. Le conducteur qui était à bord d'un véhicule volé est toujours recherché.
Pour le juge d'instruction, les deux suspects accusés d'avoir tué un chauffeur de bus à Bayonne en juillet 2020 doivent comparaître devant une «cour criminelle» et non un jury d'assises. Le parquet a fait immédiatement appel de cette décision.
Le préfet des Pyrénées-Atlantiques a saisi le procureur de la République après un match de rugby entre Biarritz et Bayonne. Les mesures sanitaires n'ont pas été respectées, le Biarritz Olympique risque des sanctions financières et administratives.
Arrêté après le décès de Philippe Monguillot, un chauffeur lynché le 5 juillet dans son bus à Bayonne, un des suspects qui avait été relâché le 6 novembre a été de nouveau interpellé et incarcéré pour des violences aggravées commises sur une femme.
S'estimant aussi essentiels que les autres, plusieurs centaines de commerçants ont exprimé leur contestation, ce 4 novembre à Bayonne, pour protester contre leur fermeture durant ce confinement et à l'approche de Noël.
Le 20 juillet, des centaines de personnes sont venues honorer la mémoire de Philippe Monguillot, tué après avoir demandé, au volant de son bus, le ticket d’un passager et exigé le port du masque pour d'autres.
Présenté, notamment par Marine Le Pen, comme l'un des agresseurs du conducteur de bus à Bayonne, un homme ne faisant pas partie des accusés du meurtre de Philippe Monguillot a porté plainte après que son visage a fait le tour de la toile.
Des personnalités politiques françaises ont exprimé leur colère après l'annonce de la mort du conducteur de bus de Bayonne violemment agressé dans l'exercice de ses fonctions. A droite, ils étaient toutefois plus nombreux à réagir qu'à gauche.
A Bayonne, 6 000 personnes tout de blanc vêtues ont défilé dans les rues pour faire part de leur soutien aux proches de Philippe Monguillot, un chauffeur de bus en état de mort cérébrale après une violente agression.
Quatre personnes sont mises en examen après l'agression d'un chauffeur de bus à Bayonne. Choqués, des collègues de la victime - actuellement en état de mort cérébrale - ont fait valoir leur droit de retrait. Ils ont reçu le soutien d'élus locaux.
Si le parquet antiterroriste s'est saisi de l'enquête de l'attaque de la préfecture de police, il ne l'a pas fait pour celle de la mosquée de Bayonne. Pourtant, selon France Inter, la piste terroriste n'est plus privilégiée dans la première affaire.
Le suspect de l'attaque contre la mosquée de Bayonne qui a fait deux blessés graves, a une «altération partielle» du discernement, selon une expertise psychiatrique. Il a été mis en examen et placé en détention provisoire.
A l'issue de l'audition du suspect de l'attaque de Bayonne, qui a fait deux blessés graves, le procureur a fait savoir que le mis en cause voulait «venger la destruction de la cathédrale de Paris». Il a ajouté que son état psychique interrogeait.
Les représentants de la classe politique française, de LFI au RN en passant par la majorité et la droite, ont condamné fermement l’attaque contre une mosquée à Bayonne, ayant fait deux blessés. Et ont exprimé leur lecture politique des faits.
Un individu a ouvert le feu sur deux individus devant la mosquée de Bayonne, après avoir tenté d'en incendier la porte. Deux blessés graves sont à déplorer. Le suspect, un ancien candidat du FN en 2015, a été interpellé à proximité de son domicile.
Exclus de Biarritz où se déroulait le sommet du G7, plusieurs centaines de personnes sont venues manifester à Bayonne. Face à une forte présence policière, ils ont déambulé dans les rues de la ville, avant que quelques heurts n'éclatent.
Les commerçants de Biarritz et des alentours ne profiteront pas du sommet du G7. Du fait des mesures de sécurité extrêmes et de possibles débordements, une très large majorité des commerces ont préféré fermer boutique.
Après la remise aux autorités d’une liste de caches d’armes, l’organisation armée séparatiste basque (ETA) appelle à un rassemblement festif ce samedi 8 avril, à Bayonne.
Plusieurs milliers de personnes ont manifesté à Bayonne (Pyrénées-Atlantiques) le 17 décembre après l’interpellation, la veille, dans une opération franco-espagnole contre l’ETA de civils affirmant avoir voulu «détruire» des armes de l'organisation.
Une double détonation a retenti dans la zone indistrielle St-Etienne de Bayonne. D'après des sources locales, une partie de la zone est évacuée. Certains sont toujours bloqués dans la zone ne peuvent pas sortir et sont confinés dans leurs bureaux.