BRAS DE FER

Le rapport rendu ce 15 juin par une commission d'enquête parlementaire conclut à la culpabilité de l'ex-Premier ministre britannique dans l'affaire du «partygate».
Le Premier ministre britannique Liz Truss a annoncé le 20 octobre dernier sa démission, après à peine six semaines. La sanction d'un projet fiscal ultra-libéral, particulièrement explosif dans un contexte de forte inflation.
Confronté à une vague de critiques et d'alertes sur la situation économique du Royaume-Uni, le ministre des Finances a annoncé renoncer à une diminution de la fiscalité pour les Britanniques les plus aisés.
L'ancienne chef de la diplomatie du Royaume-Uni, tenante d'une ligne dure à l'égard de Moscou, s'est dernièrement distinguée par ses multiples déclarations polémiques voire ses bourdes. Un avant-goût du mandat de cette admiratrice de la Dame de fer ?
Liz Truss a été élue par les conservateurs britanniques pour devenir Premier ministre et succéder à Boris Johnson, a annoncé le parti majoritaire au Royaume-Uni. Elle s'impose largement (57%) face à son ancien collègue des Finances Rishi Sunak.
Le président français a réagi aux propos de la candidate au poste de Premier ministre, qui a refusé de dire si elle le considérait comme «ami ou ennemi» de son pays. Pour Emmanuel Macron, les deux pays sont alliés, quels que soient leurs dirigeants.
L'ancien ministre britannique des Finances Rishi Sunak reste en tête dans la course pour succéder à Boris Johnson au 10 Downing Street, à l'issue d'un nouveau vote des députés conservateurs qui voit la lutte pour la deuxième place se resserrer.
Cinq candidats conservateurs restent à ce jour en lice pour succéder à Boris Johnson à Downing Street. Parmi eux : l'ex-ministre des Finances défendant un «bon sens thatchérien», une figure de la campagne pro-Brexit et une candidate «anti-woke».
En annonçant sa démission de la tête des Tories, Boris Johnson a ouvert la voie à sa succession au poste de chef du gouvernement. Huit candidats se sont déclarés à ce jour, dont l'ex-ministre des Finances Rishi Sunak, donné en tête dans un sondage.
La députée conservatrice Andrea Jenkyns, qui a récemment annoncé son entrée au gouvernement britannique, a été filmée alors qu'elle adressait un doigt d'honneur à certains de ses détracteurs venus la huer devant le 10 Downing Street.
Le Premier ministre britannique Boris Johnson a annoncé sa démission du parti conservateur mais a indiqué qu'il resterait au pouvoir jusqu'à ce que soit désigné son successeur.
L'ambassadeur du Royaume-Uni à Moscou a été convoquée ce 30 juin au ministère russe des Affaires étrangères qui a protesté auprès d'elle contre les propos «grossiers» du Premier ministre Boris Johnson sur le président Vladimir Poutine.
Lors d'une conférence de presse le 29 juin à Achgabat, Vladimir Poutine a commenté un échange survenu plus tôt entre des dirigeants du G7 sur le fait d'exhiber leurs «pectoraux» pour «montrer» qu'ils sont «plus forts» que le président russe.
Rattrapé par le scandale des fêtes à Downing Street pendant les confinements, le «partygate», Boris Johnson a finalement réussi à conserver son poste de Premier ministre en remportant un vote de défiance initié au sein de sa formation politique.
Les déclarations du ministre de l'Intérieur mettant en avant une fraude massive de billets des supporters de Liverpool pour expliquer le chaos constaté autour du stade de France le 28 mai ont suscité de vives critiques outre-Manche.
Le ministre de l'Intérieur a maintenu que le chaos de la soirée du 28 mai s'expliquait notamment par une fraude «massive et industrielle» de la part des fans de Liverpool. Boris Johnson s'est dit «extrêmement déçu» par le sort qui leur a été réservé.
Londres reconnaît avoir fourni des armes à Kiev capables d'atteindre le territoire russe, et estime que sa responsabilité ne serait pas engagée en cas de frappes. Moscou a répliqué qu'une «réponse proportionnée» serait déclenchée le cas échéant.
Enlisé dans le scandale des fêtes clandestines à Downing Street pendant les confinements, Boris Johnson est désormais visé par une enquête parlementaire, déclenchée par les députés, afin de déterminer s'il les a trompés dans cette affaire.
Les organisateurs du célèbre tournoi de tennis ont annoncé exclure les joueurs russes et biélorusses de la compétition. Le Kremlin a immédiatement protesté contre un tel bannissement.
Le Premier ministre britannique a présenté ses excuses devant le Parlement après s'être vu infliger une amende pour avoir enfreint les restrictions anti-Covid. Sans toutefois convaincre l'opposition qui a à nouveau réclamé sa démission.