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Alors que les élus de Gironde réclament davantage de moyens, notamment aériens, pour lutter contre les incendies, le président du Sénat, Gérard Larcher, qui s'est rendu sur place, a estimé que la réponse devait être européenne.
Le président du Sénat a provoqué l'ire de l'exécutif en affirmant que la légitimité d'Emmanuel Macron se poserait en cas de réélection, alors que celui-ci ne fait pas campagne. Des propos jugés «irresponsables» par le ministre Julien Denormandie.
Le candidat de Reconquête! a déclaré qu'il lui manquait «50 parrainages» pour pouvoir se présenter à la présidentielle. Anne Hidalgo (PS) et Sandrine Rousseau (EELV) ont estimé pour leur part qu'il n'était pas nécessaire de l'aider à les obtenir.
Le président du Sénat Gérard Larcher a annoncé qu'une commission d'enquête de la chambre haute allait «vérifier l'adéquation entre le pass vaccinal et la réalité de la pandémie».
Des personnalités de droite comme de gauche ont vivement commenté les incidents survenus lors du meeting d'Eric Zemmour. Si certains dénoncent la présence des militants de SOS Racisme, d'autres fustigent la responsabilité du candidat.
Le parti de droite, s'il dispose d'un solide ancrage local, est en train de transformer les élections régionales en vitrine des désaccords qui minent le mouvement depuis plusieurs années, en particulier sur la stratégie à adopter entre LREM et le RN.
Les présidents du Sénat et de l'Assemblée nationale dénoncent vigoureusement la méthode de Jean Castex visant à créer une commission pour réécrire l'article 24 de la loi Sécurité globale. Jean Castex assure qu'elle n'aura pas ce rôle-là.
Le Sénat dominé par l'opposition de droite a voté à l'unanimité le 30 juin la création d'une commission d'enquête sur la gestion de la crise sanitaire du Covid-19, s'ajoutant à celle de l'Assemblée nationale.
Crise en Ukraine, question criméenne ou encore expansion de l'OTAN : des sénateurs français et russes ont exprimé «sans langue de bois» leurs analyses et attentes dans l'objectif d'«aller plus vite et plus loin dans la relation franco-russe».
Le Conseil constitutionnel a validé, ce 11 mai, la loi prolongeant l'état d'urgence sanitaire et organisant le déconfinement. Mais il a censuré des éléments liés à l'isolement des malades et au traçage.
Ayant largement retoqué le projet de loi gouvernemental, les sénateurs ont validé la prorogation de l'état d'urgence sanitaire jusqu'au 10 juillet. Néanmoins, les discussions à l'Assemblée nationale autour du texte s'annoncent mouvementées.
Le gouvernement n'écarte pas le recours à une application qui avertirait sur leurs portables les utilisateurs qui ont croisé une personne infectée. Politiques et défenseurs des libertés alertent sur la mise en œuvre d’un tel suivi numérique.
Edouard Philippe a rappelé que la tenue du premier tour le 15 mars, en pleine épidémie, avait été l'objet d'une concertation avec les forces politiques. Mais la plupart des partis d'opposition dénoncent un mensonge du gouvernement et de la majorité.
Après la diffusion de vidéos privées de l'ex-candidat LREM à la mairie de Paris, des politiques ont fait part de leur volonté de mettre fin à l'anonymat sur les réseaux sociaux. Et ce, bien que cet acte délictueux ait été revendiqué par un activiste.
LR, le PCF, le PS et DLF saisissent le Conseil d'Etat pour qu'il se penche sur la circulaire Castaner demandant aux préfets de dispenser de donner une nuance politique aux listes des communes de moins de 9 000 habitants, contre 1 000 habitants avant.
Sur Europe 1, le président LR du Sénat a appelé les syndicats à cesser la grève. Selon lui, la contestation contre la réforme des retraites n'a plus lieu d'être depuis que le Premier ministre a fait savoir qu'il était prêt à abandonner l'âge pivot.
Gérard Larcher, président du Sénat, s'est expliqué au micro de Franceinfo, ce 18 décembre, à propos de l'adaptation du «régime avantageux» de retraite des sénateurs. Il a également exprimé son agacement lié aux «procès d'intention».
Dans un entretien au Parisien, le président du Sénat critique la bipolarisation de la politique française autour de Marine Le Pen et Emmanuel Macron. Il y voit un «danger pour la démocratie».
Le 15 juin, Gérard Larcher a reçu Nikolaï Fedorov, premier vice-président de la chambre haute du parlement russe. A l'issue de leur entretien, il a plaidé pour un dialogue entre la France et la Russie afin de «rapprocher les points de vues».
Thierry Mariani, eurodéputé RN, a rappelé, sur le plateau de BFMTV, que, pour lui, l'ennemi de la France n'était pas la Russie mais bien l'islamisme. L'ancien ministre revient sur le devant de la scène afin de relancer son mouvement Droite populaire.