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Sans nommer directement Israël, le chef du corps des Gardiens a affirmé que les «sionistes» étaient responsables de la mort du colonel Sayyad Khodaï, abattu par des motards le 22 mai dans l'est de la capitale iranienne.
Téhéran a annoncé avoir arrêté trois individus en cheville avec les services de renseignement israéliens, qui auraient été impliqués dans la publication d'informations et de documents confidentiels.
Publiée le 12 janvier, la vidéo montre l'ancien président américain Donald Trump sur le terrain de golf de Mar-a-Lago, pris pour cible dans une attaque de drone pour venger l'assassinat du général Qassem Soleimani en Irak, en janvier 2020.
La rivalité entre deux figures historiques du Moyen-Orient, l’ancien président irakien et le fondateur de la République islamique d’Iran, a bouleversé le paysage géopolitique régional à l'époque et son écho se fait entendre à travers les décennies.
Après la victoire du conservateur Ebrahim Raïssi lors de la présidentielle en Iran, les réactions se multiplient. Israël a exprimé une «grave inquiétude» alors que la Russie a appelé à «une coopération bilatérale constructive».
Mahmoud Ahmadinejad a officiellement déposé sa candidature pour le scrutin présidentiel à venir. Déjà refoulé par le Conseil des gardiens de la Constitution en 2017, il a annoncé qu'il boycotterait l'élection si sa démarche n'était pas acceptée.
Depuis le début de leurs carrières ces deux mastodontes du Moyen-Orient se livrent un bras de fer impitoyable. Menaces, accusations et insultes : leurs relations ne font que se dégrader, mettant leurs Etats au bord de la confrontation directe.
Ali Khamenei s'est exprimé à propos de la présidentielle américaine sur les réseaux sociaux. L'ayatollah a évoqué un «spectacle» alors que le scrutin n'a toujours pas livré son verdict.
Pour rétablir «pratiquement toutes» les sanctions contre l'Iran, Donald Trump veut utiliser le «snapback», un mécanisme prévu par l'accord de 2015 sur le nucléaire iranien. Alors même les Etats-Unis ont quitté unilatéralement cet accord.
Le guide suprême d'Iran, Ali Khamenei, a catégoriquement rejeté l'idée de discuter de ses programmes balistique et nucléaire avec Washington pour ouvrir d'éventuelles négociations : «il n'est pas logique de se soumettre aux demandes de l'agresseur.»
Le président Rohani a décidé la levée imminente du confinement avec la réouverture des commerces «à bas risque» pour maintenir une économie menacée d'effondrement. Les sanctions américaines ne permettent pas une gestion sereine de la crise en Iran.
40 ans après la fin de leurs relations diplomatiques, l'Iran et les Etats-Unis entretiennent leur rivalité. Cependant, en pleine épidémie de coronavirus, les mesures de rétorsions économiques appliquées contre la République islamique sont contestées.
Brian Hook a averti le nouveau chef de la force al-Qods, Ismael Ghani, qu'il connaîtrait le même sort que son prédécesseur s'il s'en prenait aux intérêts américains. Et ce alors que la situation régionale demeure explosive.
Ali Khamenei a tenu à la mosquée Mosalla un discours dans lequel il est revenu sur l'assassinat du général Soleimani par les Etats-Unis. Il a également abordé le cas du crash du Boeing ukrainien et les négociations avec l'Europe sur le nucléaire.
Dans une allocution à Washington, Donald Trump a annoncé qu'aucun Américain ni Irakien n'avait été touché par les attaques iraniennes contre deux bases militaires en Irak. Selon lui, l'Iran «semble reculer».
Après l'intervention américaine en Irak, la situation ne cesse de se tendre entre les Etats-Unis et l'Iran. Donald Trump a menacé la République islamique de représailles violentes en cas de riposte, alors que les cérémonies d’hommage se poursuivent.
Répondant à Donald Trump, qui a accusé l'Iran d'être derrière les récents événements antiaméricains en Irak, le Guide suprême iranien a conseillé à Washington de chercher la source de la contestation dans ses propres «crimes».
Le chef des Gardiens de la révolution a averti les Etats-Unis, l'Arabie saoudite et Israël de ne pas franchir «les lignes rouges». Washington et ses alliés sont accusés par Téhéran d'être à l'origine de la récente vague de manifestations en Iran.
Hassan Rohani et Ali Khamenei ont qualifié les manifestations qu'a connues l'Iran ces derniers jours de «complot» diligenté par Israël et les Etats-Unis. Des sympathisants du gouvernement ont entamé des rassemblements à travers le pays.
Alors qu'un rapprochement entre Téhéran et Washington a constitué un enjeu clé des discussions du G7, les dirigeants iraniens ont rappelé que des négociations n'étaient possibles qu'en échange de la levée des sanctions qui pèsent sur le pays.