SIDERANT

Tariq Ramadan s'est livré, en musique, à une longue diatribe contre des cibles qu'il ne nomme pas... mais dont on comprend rapidement les identités. Il affirme dédier son texte à «toutes les femmes et à tous les hommes qui ont subi la colonisation».
L'élu RN Julien Odoul vient d'être condamné à verser 10 000 euros à Tariq Ramadan qu'il avait qualifié sans ambages de «violeur» en juillet. La juge des référés a estimé qu'il s'agissait d'une atteinte à la présomption d'innocence.
Tariq Ramadan affronte désormais cinq mises en examen pour viols : les juges d'instruction ont retenu les faits de 2013-2014 que dénonce Mounia Rabbouj, celle qui avait contraint l'islamologue controversé à avouer des relations extraconjugales.
Qui aura les faveurs des plateformes érigées en censeurs de la liberté d'expression par la loi Avia et les Marcheurs : Zemmour et son sens permanent de l'esprit critique ou Tariq Ramadan et ses disciples communautaristes ?
Tariq Ramadan a été de nouveau mis en examen dans deux affaires où il est accusé de viol. Et plus précisément de «viol moral» si l'on en croit le témoignage de l'une des accusatrices. L'avocat de l'islamologue dénonce une affaire «grotesque».
Les éléments recueillis par la brigade criminelle sur la quatrième plainte contre Tariq Ramadan pour viol ne corroborent pas la version de la plaignante, selon Le Monde. La défense de l'islamologue dénonce un parti pris du parquet.
La plaignante fondait sa requête sur l'article de loi interdisant de diffuser des «renseignements concernant l'identité d'une victime d'une agression ou d'une atteinte sexuelle». Le juge a préféré privilégier la liberté d'expression de Tariq Ramadan.
S'exprimant pour la première fois dans les médias depuis ses mises en examen, Tariq Ramadan a clamé son innocence, disant être «victime d'une injustice». L'islamologue s'est dit déterminé et est apparu confiant quant au verdict de la justice.
Nouvel épisode dans l'affaire Tariq Ramadan ? Une nouvelle plainte a été déposée en France à l'encontre de l'islamologue, pour «viol en réunion», des faits qui remonteraient à 2014. Ces accusations pourraient mettre à mal sa liberté conditionnelle.
Donald Trump envisage de placer les Frères musulmans sur la liste noire américaine des «organisations terroristes». La faisabilité et la pertinence d'une telle mesure sont déjà contestées en haut lieu au sein de l'administration américaine.
Christian Chesnot et Georges Malbrunot révèlent dans un nouveau livre qu'une ONG liée à l'émirat offre un salaire mensuel de 35 000 euros à l'islamologue Tariq Ramadan, et a participé au financement du premier lycée musulman de France.
L'islamologue Tariq Ramadan, toujours mis en examen pour deux viols, s'est rendu sans y être invité à une réunion publique sur les violences infligées aux femmes, en banlieue parisienne, suscitant l'indignation des participants.
La cour d'appel de Paris a décidé ce 14 mars de maintenir les deux mises en examen de l'intellectuel suisse Tariq Ramadan. Accusé de viols par deux femmes, il avait été remis en liberté conditionnelle le 15 novembre après neuf mois d'incarcération.
Dans l'émission Les Terriens du Dimanche, le chroniqueur et élu parisien Pierre Liscia a refusé de serrer la main de Rachid Nekkaz, l'accusant de cautionner «toutes les dérives de l’islamisme radical en France». Ce dernier a refusé de lui répondre.
Toujours mis en examen pour des faits présumés de viol, mais libre sous contrôle judiciaire, le célèbre islamologue suisse Tariq Ramadan porte plainte pour «dénonciation calomnieuse» contre trois femmes qui l'ont accusé de les avoir violées.
Dans le cadre de son enquête sur les accusations de viol visant Tariq Ramadan, la justice a fouillé son matériel informatique. Les enquêteurs ont ainsi pu mettre la main sur de nombreuses photos ainsi que sur son historique de recherches internet.
Tariq Ramadan obtient sa mise en liberté sous conditions, neuf mois après son incarcération pour viol. Les juges de la cour d'appel de Paris ont rendu leur décision ce 15 novembre après avoir examiné le recours déposé par l'avocat de l'islamologue.
Plusieurs centaines de SMS versés au dossier ont poussé Tariq Ramadan à reconnaître le 22 octobre des relations sexuelles «consenties» avec ses deux accusatrices. Les messages des plaignantes accréditent également cette thèse.
Présenté devant le juge d'instruction à sa demande, Tariq Ramadan a reconnu avoir eu des relations sexuelles «consenties» avec les deux plaignantes qui l'accusent de viols. Des aveux inédits depuis sa mise en examen et son incarcération le 2 février.
L’analyse du contenu de l’ordinateur de Tariq Ramadan et du téléphone de sa victime a parlé, révélant des éléments accablants pour l'islamologue. Les juges d'instruction ont donc refusé de lui accorder la remise en liberté qu'il réclamait.