Indignées par le récent attentat commis envers un professeur dans les Yvelines, trois militantes féministes ont été arrêtées en flagrand délit de collage d'une caricature de Mahomet à Toulouse dans le but d'exercer leur «droit au blasphème».
Une dizaine de militantes féministes d'associations de lutte pour l'IVG et les droits des femmes se sont rassemblées devant le Panthéon à Paris pour demander l'entrée dans le célèbre monument de Gisèle Halimi, décédée le 28 juillet à 93 ans, .
Chaïma, 19 ans, a été retrouvée morte, violée, et brûlée près d'Alger, par le même homme qui avait tenté de la violer quatre ans auparavant. L'affaire suscite une vive émotion dans le pays.
invitée du Grand Jury RTL-Le Figaro-LCI, la ministre de la Culture, Roselyne Bachelot a fustigé l'écriture inclusive, jugée comme une «démarche élitiste» et d'une «complexité incroyable».
Mya, 19 ans, explique dans une vidéo publiée sur Instagram avoir été victime d'un déchaînement de violence. Selon son récit, elle promenait son chien au milieu de la nuit à Nîmes, lorsqu'elle s'est fait insulter puis agresser par trois individus.
Le patron du Tour de France a fait savoir que, désormais, il y aurait une hôtesse et un hôte autour des champions sur les podiums de la compétition, jugeant sexiste la célèbre tradition des «miss».
Dans La Grande Interview, Sophie Normand-Couturier reçoit Anne Soupa, bibliste et présidente du Comité de la jupe, sur le thème suivant : «Vent de féminisme sur l'Eglise».
Répondant aux critiques émises par des féministes, Marlène Schiappa a maintenu qu'un étranger coupable de violences sexuelles et sexistes doit, selon elle, «cesser d'être accueilli en France».
Dans le sillage des actions qui se sont multipliées depuis l'arrivée de Gérald Darmanin au ministère de l'Intérieur, des militantes féministes lui ont réservé un accueil plutôt frais lors de son déplacement à Nantes.
Florian Philippot, président des Patriotes, et Georges Kuzmanovic, président de République souveraine, reviennent sur la nomination des ministres de la Justice et de l’Intérieur, déjà pointés du doigt, notamment par des militantes féministes.
L'un est visé par une enquête pour viol présumé, l'autre est connu pour des prises de position impopulaires dans le cadre de sa mission d'avocat : Gérald Darmanin et Eric Dupond-Moretti sont dans le viseur des féministes qui manifestent de nouveau.
Le nouveau ministre de l'Intérieur, dont la nomination a été vivement critiquée, suscitant même des manifestations féministes, s'est exprimé sur l'accusation de viol dont il fait l'objet. Il souligne avoir droit à la présomption d'innocence.
Opposées à la nomination de Gérald Darmanin au ministère de l'Intérieur, quelques dizaines de militantes féministes ont tenté une action coup de poing près de la place Beauvau. Les forces de l'ordre ont dû les repousser.
Les interventions des forces de l'ordre pour violences conjugales ont augmenté de 30% durant le confinement. Que penser des nouvelles mesures pour les femmes battues ? Un point avec 2 spécialistes de la lutte contre les violences faites aux femmes.
Une colistière LFI aux municipales aurait relayé une image de façade d'école parisienne émaillée d'un tag féministe. Sous le graffiti figurait une plaque commémorative en hommage à des enfants déportés. Valeurs actuelles évoque même une profanation.
Une centaine de militantes de la Manif pour tous, opposées à l'ouverture de la PMA «sans père» et à la GPA se sont rassemblées, ce 8 mars, devant l'Assemblée nationale, à l'occasion de la journée internationale des droits des femmes.
Un groupe de militantes hostile à l'immigration, le collectif Némésis, a été attaqué par des individus vêtus de noir se réclamant des «antifas», en marge de la manifestation pour les droits des femmes à Paris, ce 8 mars.
A l'occasion de la Journée internationale des droits des femmes, ce 8 mars, de nombreuses actions et manifestations ont été organisées par diverses associations féministes, à Paris et dans diverses villes de France.
Des heurts ont éclaté le soir du 7 mars entre forces de l’ordre et manifestants en marge d’une «marche féministe» à proximité de la place de la République. Le ministre de l’Intérieur a demandé un rapport sur ces incidents à la préfecture de police.
Une douzaine de Femen se sont enchaînées le jour de la Saint-Valentin aux lampadaires du Pont des Arts à Paris pour dénoncer les féminicides justifiés par l'amour de leurs auteurs. Images.