CRISE EN ARMENIE

L’ancien président équatorien Rafael Correa revient à l’antenne de RT avec une série d’émissions-débats sur les coups d’Etat en Amérique latine. Seront invités des dirigeants mondiaux ayant dû faire face à un renversement du pouvoir dans leur pays.
Des centaines de personnes ont rendu hommage le 11 août à Quito à Fernando Villavicencio, un des favoris de la présidentielle en Equateur, tué par balles à la fin d'un meeting électoral.
Le candidat à la présidentielle en Equateur Fernando Villavicencio, deuxième dans les sondages, a été assassiné par balles à la fin d'un meeting électoral le 9 août au soir à Quito, a annoncé le président équatorien Guillermo Lasso.
Onze pays d’Amérique latine, économiquement parmi les plus importants et ayant pour la plupart un gouvernement de gauche, ont annoncé la création d’une structure pour réduire les barrières douanières et logistiques afin de faire baisser les prix.
130 personnes accusées d'être impliquées dans l'assaut contre les lieux de pouvoir à Brasilia ont bénéficié d'une libération provisoire. Le juge de la Cour suprême a estimé qu'ils pouvaient répondre de leurs actes en étant en liberté surveillée.
Six soldats se sont noyés, emportés par une rivière, alors qu'ils tentaient de fuir des manifestants antigouvernementaux qui les menaçaient dans la région de Puno, dans le sud du Pérou, a annoncé le ministère de la Défense.
Pour les dix ans de la mort de l'ancien président vénézuélien Hugo Chavez, des milliers de personnes lui ont rendu hommage au Cuartel de la Montana, sorte de sanctuaire où repose son corps.
L'Argentine a notifié au Royaume-Uni sa décision de suspendre un accord de coopération concernant les îles Malouines, archipel dont la souveraineté est revendiquée par les deux pays. Les autorités britanniques ont déploré une «décision décevante».
Dans un communiqué commun, les gouvernements de l'Argentine, du Brésil, du Chili et du Mexique expriment leur «profonde inquiétude» devant la décision du gouvernement israélien de «légaliser» de nouvelles colonies en Cisjordanie.
Amnesty International a présenté à la présidente du Pérou, Dina Boluarte, des preuves que des agents des forces de l'ordre ont fait un usage meurtrier de la force dans leur répression des manifestants qui réclament sa démission depuis décembre 2022.
Un manifestant est mort le 28 janvier dan la capitale péruvienne lors de violents affrontements avec la police, dans un nouvel épisode de violences qui ont fait au moins 48 morts depuis décembre.
Décidé à relancer l'intégration régionale tous azimuts, le président du Brésil Lula Da Silva a estimé qu'il était «urgent et hautement indispensable» que le Mercosur conclue un accord de libre-échange avec l'Union européenne.
Les tensions ne faiblissent pas au Pérou. La mobilisation se poursuit dans la capitale ainsi que dans les campagnes. Une motion de vacance a été déposée contre la présidente pour dénoncer sa gestion des forces de l'ordre.
Une haute responsable de l'armée américaine a assuré que son pays souhaitait fournir des équipements militaires à des pays d'Amérique latine pour que ces derniers envoient du matériel russe à l'Ukraine. Le Kremlin a réagi.
Après être venus par leurs propres moyens des quatre coins du Pérou, des milliers de manifestants ont marché à Lima pour demander la démission de la présidente Dina Boluarte, le retour de Pedro Castillo et l'organisation de nouvelles élections.
Au milieu d'une vaste affaire de corruption présumée impliquant son beau-frère, le président équatorien Guillermo Lasso exige la démission de tous les dirigeants des entreprises publiques du pays, dont la compagnie nationale pétrolière Petroecuador.
Des Péruviens, souvent de condition modeste, ont décidé de marcher sur la capitale Lima pour exiger le retour du président Pedro Castillo, la démission de son successeur Dina Boluarte et la tenue de nouvelles élections.
Le parquet péruvien a annoncé l'ouverture d'une enquête préliminaire contre la présidente Dina Boluarte pour «crimes présumés de génocide» après la répression des manifestations qui a fait 40 morts depuis début décembre 2022.
Le président mexicain Andres Manuel Lopez Obrador a demandé à Joe Biden d'en «terminer avec l'oubli, l'abandon, le dédain envers l'Amérique latine et les Caraïbes» et d'ouvrir une nouvelle étape égalitaire dans les relations interaméricaines.
L'ambassade du Venezuela à Washington ferme ses portes. Son personnel était jusqu'alors composé de partisans de Juan Guaido, dont la légitimité vient d'être une nouvelle fois remise en cause au sein même de l'opposition vénézuélienne.