Il y a un an jour pour jour, deux immeubles de la rue d'Aubagne à Marseille s'effondraient, entraînant la mort de huit personnes. L'insalubrité de certaines habitations est pourtant toujours pointée du doigt, et la municipalité désignée coupable.
Le Trésor américain a placé, ce 4 novembre, neuf proches de l'ayatollah Ali Khamenei sur liste noire. Une décision qui intervient alors que l'Iran célèbre le 40e anniversaire de la prise d'otages de l'ambassade américaine à Téhéran.
Le 37e vendredi de mobilisation coïncide ce 1er novembre avec le 65e anniversaire du déclenchement de la guerre d'indépendance contre la puissance coloniale française. Les manifestants comptent marcher en nombre pour une «nouvelle indépendance».
Le ministre russe de la Défense a déclaré lors de sa rencontre avec son homologue française Florence Parly que la Russie serait heureuse d'accueillir cette dernière en compagnie de militaires français pour les 75 ans de la victoire sur le nazisme.
La commémoration des 80 ans de l'invasion de la Pologne par l'Allemagne nazie a donné lieu à de nouvelles tensions diplomatiques entre Moscou et Varsovie sur fond d'histoire et de géopolitique. La Russie a rappelé son rôle dans la chute du nazisme.
Lors d'une soirée organisée par l'ambassade du Kosovo, une œuvre comprenant un appel à la prière islamique a retenti dans la cathédrale Saint-Louis des Invalides, provoquant la colère de certains membres de la communauté catholique.
Lors des commémorations du 75e anniversaire du débarquement allié, Emmanuel Macron a lu la dernière lettre du résistant fusillé Henri Fertet. Des internautes se sont émus que tous les passages abordant la religion aient été omis.
Dans un contexte diplomatique délicat, la France commémore le débarquement allié du 6 juin 1944, en présence d'Emmanuel Macron, Donald Trump, Theresa May et quelque 500 vétérans dans une Normandie déjà en fête depuis la veille.
Alors que Donald Trump, Emmanuel Macron et plusieurs dirigeants participeront au volet français des commémorations du débarquement le 6 juin, côté russe, seul un représentant de l'ambassade sera présent.
Royalistes de l'Action française et catholiques traditionnalistes de Civitas et d'autres groupes nationalistes ont défilé le 12 mai à Paris pour célébrer la figure de Jeanne d'Arc.
Ce 9 mai, la Russie célèbre le 74e anniversaire de la victoire sur l'Allemagne nazie. L'URSS, dont la Russie est l'héritière, a subi les plus grosses pertes humaines de la Seconde Guerre mondiale avec plus de 27 millions de victimes.
Le président de la République a été la cible de sifflets et de slogans appelant à sa démission lors des commémorations du 8 Mai. Le préfet de Paris avait pourtant interdit les manifestations et mis en place un dispositif drastique de sécurité.
Créée en 2015 par des Russes, Ukrainiens et Français, la Marche des immortels commémore les sacrifices de la Russie et des autres pays de l'Union soviétique lors de la Seconde Guerre mondiale.
L'incident diplomatique n'était pas loin. Lors des commémorations au mémorial du génocide rwandais à Kigali, Jean-Claude Juncker a mal maîtrisé la trajectoire de son flambeau, qui a failli toucher la main du président Paul Kagame.
La Serbie commémore les frappes aériennes de l'OTAN qui avaient contraint Belgrade à retirer ses troupes du Kosovo en 1999. Sans l'aval des Nations unies, l'intervention de l'Alliance atlantique avait constitué une première contre un Etat souverain.
17 ans après la loi mémorielle promulguée en 2001, Emmanuel Macron a annoncé le 5 février que la France allait faire du 24 avril une «journée nationale de commémoration du génocide arménien».
A l'occasion du 74e anniversaire de la libération d'Auschwitz, la ministre chargée des Affaires européennes s'est livrée à une comparaison entre l'étoile jaune, stigmate des juifs sous le régime nazi, qu'elle a opposée aux étoiles du drapeau de l'UE.
En pleine cérémonie d'hommage aux victimes de l'attentat de Charlie Hebdo, le ministre de l'Intérieur a été fermement interpellé par une journaliste, se présentant comme voisine de Wolinski et estimant qu'il lui était impossible de faire son travail.
Une banderole opposant la France de l'époque de la Grande guerre (1914-1918) à la France actuelle «qui n'existe plus» a été déployée par les supporters serbes du club Étoile rouge lors d'une rencontre avec le PSG à Belgrade.
Alors que le président français Emmanuel Macron termine ce 11 novembre son «itinérance mémorielle», l'essayiste André Bercoff revient sur les couacs qui ont émaillé son parcours : un festival de «Je t’aime, moi non plus», estime-t-il.