17 ans après la loi mémorielle promulguée en 2001, Emmanuel Macron a annoncé le 5 février que la France allait faire du 24 avril une «journée nationale de commémoration du génocide arménien».
A l'occasion du 74e anniversaire de la libération d'Auschwitz, la ministre chargée des Affaires européennes s'est livrée à une comparaison entre l'étoile jaune, stigmate des juifs sous le régime nazi, qu'elle a opposée aux étoiles du drapeau de l'UE.
En pleine cérémonie d'hommage aux victimes de l'attentat de Charlie Hebdo, le ministre de l'Intérieur a été fermement interpellé par une journaliste, se présentant comme voisine de Wolinski et estimant qu'il lui était impossible de faire son travail.
Une banderole opposant la France de l'époque de la Grande guerre (1914-1918) à la France actuelle «qui n'existe plus» a été déployée par les supporters serbes du club Étoile rouge lors d'une rencontre avec le PSG à Belgrade.
Alors que le président français Emmanuel Macron termine ce 11 novembre son «itinérance mémorielle», l'essayiste André Bercoff revient sur les couacs qui ont émaillé son parcours : un festival de «Je t’aime, moi non plus», estime-t-il.
Le président français a affirmé vouloir «bâtir l'autonomie» défensive de l'Europe de manière prioritaire. Selon lui, si les pays européens augmentent leur budget militaire, ce n'est pas pour acheter des armes américaines.
Habituées aux happening seins nus, les Femen se sont fait remarquer juste avant le début des commémorations de la fin de la Première Guerre mondiale à Paris, forçant la sécurité au passage du convoi du président américain.
Multipliant les symboles, le couple franco-allemand a eu à cœur de montrer son unité à l'occasion d'une cérémonie pour le centenaire de l'armistice de 1918. Malgré leurs efforts, Emmanuel Macron et Angela Merkel ont parfois manqué de spontanéité.
Le 11 novembre 2018, des dizaines de chefs d'Etat se retrouvent à Paris pour commémorer l'armistice de la Première Guerre mondiale. 100 ans plus tard, où en est le monde ? Le journaliste Denis Tillinac apporte des éléments de réponse.
Vladimir Poutine, Donald Trump, Angela Merkel, Recep Tayyip Erdogan, Justin Trudeau, Benjamin Netanyahou, Mohammed VI : près de 70 chefs d'Etat et de gouvernement sont réunis à Paris pour célébrer le centenaire de l'Armistice de la Grande guerre.
Serait-ce la crainte de défaire les brushings du couple présidentiel qui a conduit à l'annulation du déplacement de Donald et Melania Trump au cimetière américain de Bois Belleau ? La Maison-Blanche invoque des raisons «logistiques».
Suite à un échange de piques par déclarations interposées, Emmanuel Macron et Donald Trump ont eu un échange plus apaisé ce 10 novembre à l'Elysée. Le président français assurant être d'accord sur la nécessité du partage des charges de l'OTAN.
Selon France info, une note confidentielle de la direction du renseignement de la préfecture de Paris craint la présence de plusieurs centaines de personnes «à haute potentialité violente» pour la visite du président américain le 11 novembre.
Le 5 novembre, Donald Trump a déclaré qu'il n'était «pas sûr» de pouvoir rencontrer son homologue russe à Paris lors des commémorations du 11 Novembre, tandis que le porte-parole du président russe, Dmitri Peskov, a affirmé le contraire.
Les représentants de six pays se sont retrouvés le 3 novembre à la nécropole nationale de Chestres, dans les Ardennes, pour honorer le sacrifice des belligérants durant la Grande Guerre. 246 Russes ont perdu la vie sur ces terres.
Installées pour commémorer l'armistice de la Première Guerre mondiale, des centaines de silhouettes de jeunes soldats ont été dégradées. La mairie a préféré les retirer pour les placer au Pavillon Vendôme et à l’hôtel de ville.
Le chef d'Etat russe a fait savoir au conseiller américain à la sécurité John Bolton qu'il apprécierait de s'entretenir à nouveau en tête à tête avec le président des Etats-Unis, par exemple à Paris. Ce dernier serait favorable à une telle rencontre.
Le Kremlin a confirmé ce 16 octobre la venue du président russe Vladimir Poutine à Paris pour les commémorations du 11 novembre.
D'après une enquête, les Français seraient de moins en moins attachés à leur régime de gouvernement. A gauche comme à droite, plusieurs personnes pointent l'essoufflement de la Ve République 60 ans après sa fondation par le général de Gaulle.
Une procession nocturne a réuni à Ekatérinbourg près de 100 000 personnes pour commémorer le centenaire de l'assassinat par les bolchéviques du dernier tsar Nicolas II et des membres de sa famille après son abdication.