Encore une ! Trump et Macron échangent une poignée de main interminable sur les Champs-Elysées
A l'issue du défilé militaire du 14 juillet à Paris, Emmanuel Macron et Donald Trump ont échangé une poignée de main particulièrement chaleureuse de près de 30 secondes.
Décidément, Emmanuel Macron et Donald Trump mériteraient un titre de champion en... poignées de main. Dans cette discipline, les deux chefs d'Etat s'avèrent en effet être de véritables experts.
Alors qu'ils descendaient les Champs-Élysées en compagnie de leurs épouses respectives à l'issue du défilé du 14 juillet à Paris, les présidents français et américain se sont arrêtés un instant pour se livrer à une amicale et (très) longue poignée de main. Celle-ci a duré près de 30 secondes, les deux dirigeants continuant de discuter, sans se lâcher pour autant.
The farewell handshake between President Trump and French President Emmanuel Macron lasted about 25 seconds https://t.co/8CfUqfRZ8zpic.twitter.com/ddfJiJDv1i
— CNN (@CNN) 14 juillet 2017
Visiblement très heureux de sa présence à cet événement, qu'il avait qualifié en avance de «spectaculaire», le président américain a même serré les mains d'Emmanuel Macron et de son épouse Brigitte en même temps.
La veille, Donald Trump avait déjà étonné par son étrange poignée de main échangée avec Brigitte Macron, qu'il a vigoureusement tirée vers lui par l'avant-bras pour la saluer, alors que le couple présidentiel américain était accueilli aux Invalides.
On se souvient également de la fameuse première poignée de main échangée entre Emmanuel Macron et Donald Trump le 25 mai dernier à Bruxelles. Le président français avait alors fermement tenu la main de son homologue, refusant de la lâcher, ce que certains avaient perçus comme une démonstration de force.
Malaise autour de la première poignée de main entre Donald Trump et Emmanuel Macron (IMAGES) https://t.co/FO3V8VBV8ppic.twitter.com/FU2tCPmGJL
— RT France (@RTenfrancais) 26 mai 2017
«Ce n’[était] pas innocent, ce n’est pas l’alpha et l’oméga d’une politique mais un moment de vérité», avait confié quelques jours plus tard le chef de l'Etat au Journal du Dimanche...