Sur RT France, suivez les dernières actualités, déclarations et discours du chef de la diplomatie européenne Josep Borrell, Haut représentant de l'Union européenne pour les affaires étrangères et la politique de sécurité.
BRAS DE FER

Alors que l’Union européenne planche sur un nouveau soutien financier de 20 milliards d'euros à l’effort de guerre ukrainien, le chef de la diplomatie hongroise regrette que les 27 s’enlisent dans une logique de guerre.
Dans une lettre à Josep Borrell, le chef de la diplomatie libanaise demande une discussion sur le retour des réfugiés syriens. Alors que Beyrouth exige le retour des déplacés, l'Union européenne juge que les conditions ne sont pas réunies.
L'UE doit «clarifier» sa position concernant ses relations avec Pékin, a demandé le patron de la diplomatie chinoise Wang Wenbin lors d'une rencontre avec le chef de la politique étrangère européenne, Josep Borrell.
Le chef de la diplomatie européenne a déclaré que le G7 avait décidé de «préparer le terrain» à l’envoi d’avions de combat en Ukraine, exprimant son espoir que Kiev puisse bientôt en recevoir. Moscou a mis en garde contre la poursuite de l’escalade.
Depuis Florence, le chef de la diplomatie de l'UE a justifié l’utilisation des fonds européens au profit de l’armement de l’Ukraine, concédant qu’un tel soutien se faisait au détriment d’investissements plus utiles «au bien-être» des Européens.
La diplomatie tunisienne a réagi aux propos de Joseph Borrell, lequel redoute un «effondrement» du pays qui entraînerait «des flux migratoires» vers l'Union européenne. Tunis critique des propos «sélectifs» et «disproportionnés».
Le chef de la diplomatie russe a fustigé l’attitude des Européens, prêts à sacrifier les intérêts et le bien-être de leurs propres citoyens, et annoncé que son pays n’entreprendrait plus de projet commun avec les Vingt-Sept.
Lors d'une allocution devant de futurs diplomates, Josep Borell a employé une métaphore controversée, voyant dans l'UE un jardin où règneraient la liberté et la prospérité, menacé «d'invasion» par une jungle extérieure.
Le vice-président de la Commission européenne a assuré que si Moscou utilisait des armes nucléaires contre l'Ukraine, la réponse militaire de l'OTAN ne serait pas nucléaire, mais si puissante que l'armée russe serait «anéantie».
Confrontés aux résultats validant largement l'adhésion à la Russie des quatre territoires consultés, les pays occidentaux dénoncent un vote «manipulé». Moscou a défendu la légalité du scrutin, mettant en avant la présence d'observateurs indépendants.
Josep Borrell déplore que certains Européens souhaitent précipiter le conflit en Ukraine à son terme en stoppant l'aide de l'UE à Kiev, du fait de son coût important pour les sociétés européennes. Il dénonce «une mentalité qui doit être dépassée».
La gare de Tchaplino a été touchée le 24 août par une frappe russe. Alors que la Russie affirme que ses tirs ont visé des troupes ukrainiennes faisant route vers le Donbass, Kiev et Bruxelles dénoncent une attaque délibérée contre des civils.
L'Iran a accueilli de manière positive le projet de compromis présenté par l'Union européenne fin juillet, estimant qu'il était de nature à relancer les négociations autour de son programme nucléaire, gelées depuis plusieurs mois.
Josep Borrell s'est prononcé en faveur du don des actifs russes gelés dans la foulée de l'intervention en Ukraine pour la reconstruction du pays. La Russie avait dénoncé un «vol» après que près de 300 milliards d'euros d'actifs ont été saisis.
Le chef de la diplomatie européenne a proposé de porter à 1,5 milliard d'euros l'effort de financement des 27 visant à fournir des armes à l'Ukraine. Un accord des Etats membres est requis pour valider cette hausse.
S'il a fermement dénoncé l'offensive militaire lancée par Vladimir Poutine en Ukraine, le chef de la diplomatie européenne a reconnu que l'Occident avait «perdu des opportunités» d'un rapprochement avec la Russie.
Le chef de la diplomatie européenne a annoncé que des Etats membres de l'Union européenne étaient disposés à fournir des avions de combat «que les Ukrainiens peuvent piloter» aux forces armées de Kiev.
La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a déclaré ce 27 février que les médias RT et Sputnik allaient être «interdits» de l'Union européenne. Mais une telle mesure sera-t-elle conforme aux législations nationales ?
Le haut représentant de l'UE pour les affaires étrangères et la politique de sécurité, Josep Borell, a annoncé que de nouvelles sanctions seraient adoptées contre la Russie après la reconnaissance par Moscou des républiques autoproclamées du Donbass.
«Nous savons très bien quel est le degré des menaces et la façon dont il faut réagir», a prévenu le chef de la diplomatie de l'UE, après la décision américaine de rappeler les familles de diplomates en poste à Kiev.
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