SIDERANT

Le secrétaire général du Parti communiste a été vivement pris à partie lors de la Fête de l'Humanité. Son débat avec Edouard Philippe a été interrompu, Sandrine Rousseau l'a tancé puis il a été conspué par le public.
En déplacement en Nouvelle-Calédonie, le président français a évoqué pour la première fois ce 25 juillet la question de l’élection présidentielle de 2027 en présentant avantageusement son ancien Premier ministre Edouard Philippe.
Dans le cadre des deux informations judiciaires ouvertes par le PNF sur le financement des campagnes présidentielles de Macron en 2017 et 2022, les domiciles d’anciens et d’actuels dirigeants du cabinet de conseil américain ont été perquisitionnés.
Les comptes de campagne des candidats présidentiels ont été approuvés par la commission nationale, mais certains ont reçu des sanctions. Notamment Emmanuel Macron pour utilisation du compte de l'Elysée et Eric Zemmour pour son émission sur CNews.
Retour sur les moments les plus significatifs de l'année, marquée avant tout par l'opération militaire russe en Ukraine, mais aussi par plusieurs élections d'importance, en Europe et dans les Amériques, ainsi que par le Mondial de football au Qatar.
Polit'Mag avec notre éditorialiste Eric Revel, notre chroniqueur François Cocq ainsi que Michel Fayad, analyste politique et financier.
Lors d'un déplacement, le chef de l'Etat a affiché sa sérénité concernant les investigations sur ses comptes de campagne de 2017 et de 2022. Il a jugé ne pas être au «cœur de l'enquête» et dénoncé des «attaques politiques».
Après l'ouverture d'enquêtes sur le rôle des cabinets de conseil dans les campagnes présidentielles, Jordan Bardella a pointé l'existence d'une proximité entre Emmanuel Macron et des entités américaines ayant bénéficié de marchés publics en France.
Le PNF a ouvert deux informations judiciaires fin octobre, l'une «sur les conditions d'intervention de cabinets de conseils dans les campagnes électorales de 2017 et 2022», l'autre sur des soupçons de «favoritisme» les concernant.
Jair Bolsonaro conteste la victoire à la présidentielle de son rival Lula. Pointant du doigt des «dysfonctionnements» sur 280 000 urnes électroniques, le président sortant du Brésil a déposé un recours au tribunal supérieur électoral.
Le leader de LFI a laissé entendre qu'il ne se présenterait pas une quatrième fois à l'élection présidentielle, préférant désormais se consacrer au «travail intellectuel». Il a prévenu qu'il s'opposerait à toute «guerre civile» au sein du mouvement.
Selon une étude de la fondation, le RN a vu son audience s'élargir, bénéficiant de la fin du «front républicain». Le parti suscite cependant encore l'inquiétude des électeurs. La raison ? Une éventuelle sortie de l'euro s'il parvenait au pouvoir.
Fragilisé par les législatives, le chef de l'Etat a renoué avec l'interview du 14 Juillet en donnant un cap pour le début de son second mandat. Il est également revenu sur son action controversée en faveur d'Uber alors qu'il était ministre.
L'ancienne candidate LR à la présidentielle a fait savoir qu'elle avait réuni les 5,1 millions d'euros qui lui manquaient afin de rembourser les frais de sa campagne électorale. Son appel aux dons lui a rapporté 3,3 millions d'euros.
Avocat au barreau de Paris, Jean-François Marchi décrypte les enjeux des élections législatives qui ont lieu au sortir de la présidentielle : un scrutin crucial, notamment pour le rayonnement international de la France.
La candidate LR malheureuse à la présidentielle, qui a lancé un appel aux dons pour combler le trou financier laissé par sa lourde défaite, a refusé la contribution de Nicolas Sarkozy, qui ne lui avait jamais apporté son soutien pendant la campagne.
Le député européen François-Xavier Bellamy a appelé Nicolas Sarkozy à clarifier sa position vis-à-vis des Républicains, mais aussi d'Emmanuel Macron, en vue de reconstruire la droite suite de la défaite de Valérie Pécresse à la présidentielle.
Après avoir annoncé souscrire aux principaux points d'un programme partagé, les socialistes ont interrompu les discussions avec les Insoumis, au motif que ceux-ci ne garantiraient pas la pluralité au sein d'une éventuelle coalition de gauche.
Opposés à l'accord avec les Insoumis, plusieurs personnalités socialistes, dont François Hollande, ont vertement critiqué la perspective d'une alliance avec Jean-Luc Mélenchon. Olivier Faure a suggéré aux opposants de quitter le parti socialiste.
Le Conseil constitutionnel a fait état d'«irrégularités» dans 48 bureaux de vote lors du second tour de la présidentielle. Quelque 20 000 suffrages (soit 0,06% des exprimés) ont été annulés, ne remettant pas en cause le résultat du scrutin.