SIDERANT

Polit’Mag avec Gamal Abina, co-fondateur du mouvement des Droits Civiques, Alexis Poulin, co-fondateur du Monde Moderne, Badis Khenissa, expert en relations internationales et spécialiste du monde arabe et Farid Dms Debah, analyste politique.
Benjamin Netanyahou a officiellement reconnu la souveraineté du Maroc sur la région du Sahara occidental. Depuis la normalisation de leurs relations, Rabat et Israël n'ont de cesse de renforcer leur partenariat, notamment dans son volet militaire.
La direction de la chaîne d'information en continu a lancé des investigations quant aux sources utilisées par l'un de ses présentateurs pour un sujet concernant le Maroc, n'excluant pas une tentative d'ingérence. L'intéressé est dispensé d'activité.
La Tunisie a annoncé ce 27 août le rappel de son ambassadeur au Maroc, au lendemain d'une décision similaire des autorités marocaines après l'accueil à Tunis du chef des indépendantistes sahraouis du Front Polisario.
Le soutien espagnol faveur de la position marocaine au Sahara occidental constitue une «violation de [ses] obligations juridique, morale et politique», estime Alger qui, en conséquence, a décidé de suspendre le traité de coopération avec Madrid.
L'Espagne a annoncé qu'elle soutenait la solution proposée par le Maroc au sujet de la souveraineté du Sahara occidental. Le président algérien à déploré ce soutien et a rappelé son ambassadeur.
L'Algérie conditionne le retour de son ambassadeur à Madrid à «des clarifications» du gouvernement espagnol sur son récent revirement en faveur de la position marocaine sur la question du Sahara occidental.
Le groupe pétro-gazier public algérien Sonatrach a annoncé qu'il n'écartait pas de revoir les prix du gaz avec son client espagnol. Cette annonce survient après un coup de froid entre Alger et Madrid sur la question du Sahara occidental.
Dans un communiqué, la présidence algérienne évoque un «bombardement barbare» et accuse les forces marocaines présentes au Sahara Occidental. Alger précise que l'assassinat de trois de ses ressortissants «ne restera pas impuni».
Le secrétaire général de l'ONU a nommé un émissaire pour le Sahara occidental : l'Italien Staffan de Mistura. Son prédécesseur avait démissionné en mai 2019 après avoir relancé des discussions infructueuses entre le Maroc et le Front Polisario.
Dans un arrêt rendu le 29 septembre, le tribunal de l'UE a annulé deux accords avec le Maroc à la suite d'un recours déposé par le Front Polisario. La diplomatie marocaine et l'UE se sont toutefois engagées à poursuivre leurs relations commerciales.
Historiquement complexes, leurs relations viennent encore de se dégrader, faisant apparaître des risques supplémentaires pour la région. Quel est l’état des lieux dans cette confrontation opposant deux pays voisins du nord de l’Afrique ?
Les «accusations» algériennes contre Israël dans le cadre de la grave crise entre l'Algérie et le Maroc sont «infondées et sans intérêt», a réagi une source diplomatique israélienne, appelant Alger à «se focaliser» sur ses «problèmes» économiques.
Le ton monte entre l'Algérie et le Maroc, qui a récemment affirmé son soutien au «droit à l’autodétermination du peuple kabyle», après une remarque de la diplomatie algérienne sur le Sahara occidental.
«Pas de changement» : la diplomatie américaine a annoncé qu'elle n'avait pas l'intention de revenir sur la décision controversée de Donald Trump de reconnaître la souveraineté du Maroc sur le Sahara occidental.
Estimant que l'Allemagne avait multiplié les actions hostiles à son égard, notamment sur la question du Sahara occidental, le Maroc a annoncé rappeler son ambassadrice à Berlin. Une décision que la capitale européenne a qualifié de surprenante.
Le secrétaire d'Etat Clément Beaune a dit «regretter» la décision de LREM d'ouvrir un comité dans une ville du Sahara occidental contrôlée par le Maroc. Le territoire est revendiqué par le Polisario, qui réclame l'autodétermination, tout comme Alger.
Dans cet épisode de La Source, Alain Juillet revient sur le Sahara occidental, territoire récemment placé sous la souveraineté du Maroc après la signature des accords d’Abraham, menés par les Etats-Unis et signés en septembre 2020.
Dans une lettre au nouveau président américain, les parlementaires algériens des deux chambres ont demandé l'annulation de la décision de Donald Trump de reconnaître la souveraineté du Maroc sur le Sahara occidentale.
Moins de deux semaines après le rapprochement organisé par les Etats-Unis, la visite d'une délégation israélienne au Maroc arrivée par le premier vol direct entre les deux pays s'est soldée par la signature de plusieurs accords de coopération.