EN CONTINU

Lors du débat sur BFMTV qui l’opposait à Jordan Bardella, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a eu une façon originale de défendre le recul de l’âge du départ à la retraite à 65 ans en s’appuyant sur… la fiche de pension de sa mère.
Philippe Martinez, secrétaire général de la CGT, a renvoyé dos à dos le 13 avril les deux candidats à la présidentielle, Emmanuel Macron et Marine Le Pen, sur leurs propositions respectives de réforme du régime des retraites.
Gabriel Attal a indiqué sur RTL qu'Emmanuel Macron proposerait un allongement progressif de l'âge de départ à la retraite à 65 ans, un minimum de retraite à 1 100 euros pour les carrières complètes et la suppression des principaux régimes spéciaux.
Frédéric Taddeï reçoit Michel Billé, Valérie Dauge, Damien le Guay et Élise Richard.
Les syndicats sont toujours mobilisés sur la question des retraites. Début novembre, Emmanuel Macron confirmait qu’il n’y aurait pas de réforme le temps de la pandémie, mais le projet n’est pas enterré pour autant. Alors à quoi peut-on s’attendre ?
Des milliers de retraités ont manifesté leur colère dans les rues parisiennes. Ils estiment avoir été oubliés par Emmanuel Macron et ont dénoncé le projet de reforme des retraites. RT France fait le point sur cette mobilisation.
La ministre espagnole des Finances et le commissaire européen à l'économie ont signé un document prévoyant de modifier le calcul des retraites en Espagne, conformément à des engagements pris par Madrid dans le cadre du plan de relance européen.
Le président français a de nouveau recours au format de l'allocution solennelle, sans contradicteurs, pour évoquer les mesures sanitaires contre le risque de cinquième vague de Covid-19, mais aussi pour faire le point sur la fin de son quinquennat.
Au-delà de l'idéologie qu'elle sert, l'affirmation d'Emmanuel Macron selon laquelle les Français travaillent moins que leurs voisins européens se base sur une statistique unique que RT France a recoupée avec d'autres données.
En présentant le plan d’investissement France 2030, le président français a de nouveau affirmé qu’on travaillait moins en France qu’ailleurs. Un point de vue discutable qui ne semble s’exprimer que pour légitimer un report du départ à la retraite.
Le financement du système des retraites devrait occuper une place importante dans le débat politique d’ici la prochaine élection présidentielle. Mais est-ce par défaut ou parce que c’est réellement nécessaire, et pose-t-on les bonnes questions ?
Comment rembourser la dette ? L’ex-Premier ministre Edouard Philippe, qui va créer son propre parti, a une idée. Et il l’a confiée au magazine Challenges : repousser l'âge de départ à la retraite à 65, 66 ou 67 ans.
Interrogé lors de la Fête de l'Humanité, le porte-parole du gouvernement a déclaré qu'il était «possible qu'il y ait sur certaines parties du projet des mesures qui soient prises d'ici la fin du quinquennat», évoquant «plusieurs conditions».
Que retenir des aspects économiques de la dernière allocution d’Emmanuel Macron ? Le chef de l’Etat s’est livré à un nouvel exercice d’autosatisfaction sur sa gestion des conséquences du Covid sur l’économie et a relancé ses projets de réforme.
Emmanuel Macron recevait le 6 juillet les partenaires sociaux à l’Elysée pour discuter du dossier explosif de la réforme des retraites. Mais la mise en place de ce projet est-elle nécessaire avant l'élection présidentielle ?
Le président de l'Assemblée nationale Richard Ferrand (LREM) a estimé qu'enterrer ou se précipiter sur la réforme des retraites serait une «folie», suggérant de reporter le projet au début du «deuxième quinquennat d'Emmanuel Macron».
Le ministre de l'Economie Bruno Le Maire s'est dit favorable à ce que le gouvernement repousse l'âge de départ à la retraite – sans toutefois préciser cet âge – estimant qu'il ne faut pas «remettre à demain ce qu'on peut faire aujourd'hui».
La réforme des retraites est-elle de retour dans l'agenda de l'exécutif ? Face à la crise sanitaire et ses conséquences économiques et sociales, est-elle une priorité ? Jacques Myard (LR) et Jean-Louis Bricout (PS) en débattent sur RT France.
Le dirigeant de la CGT a réagi aux prises de position ambiguës du président de la République sur la réforme des retraites et à celles, plus franches, de membres du gouvernement.
Le ministre de l'Economie a déclaré qu'il était nécessaire de «poursuivre les réformes structurelles», sans donner de calendrier pour la mise en place d'un nouveau système de retraite. Emmanuel Macron avait lui-même relancé le sujet le 3 juin.