RIPOSTE

Réagissant à la menace du groupe d'annuler sa venue au festival des Déferlantes à Perpignan, du fait que la ville est dirigée par le RN, le président du parti a dénoncé un comportement «irrespectueux», y compris à l'égard des fans.
Après l'ouverture d'enquêtes sur le rôle des cabinets de conseil dans les campagnes présidentielles, Jordan Bardella a pointé l'existence d'une proximité entre Emmanuel Macron et des entités américaines ayant bénéficié de marchés publics en France.
Polit'Mag avec nos éditorialistes Eric Revel et Didier Maïsto, notre chroniqueur François Cocq, ainsi que notre invité Jean-Frédéric Poisson, président de VIA.
L'eurodéputé Jordan Bardella a largement remporté son duel avec le maire de Perpignan Louis Aliot pour prendre la tête du Rassemblement national. Il a été élu ce 5 novembre avec près de 85% des voix.
L'ancien candidat souverainiste à la présidentielle Nicolas Dupont-Aignan a de nouveau appelé à une union des droites et des souverainistes, qui associerait des figures du Rassemblement national, de Reconquête! ou encore des Républicains.
Comme le rapporte Ouest-France, 150 à 200 personnes ont manifesté à Bruz, non loin de Rennes, où Jordan Bardella, président par intérim du Rassemblement national, se rend dans le cadre de sa campagne pour briguer la présidence de son parti.
Huit députés Renaissance réclament une commission d'enquête sur notamment d'éventuels «financements russes» de partis. Le RN a appelé à ce qu'elle «soit étendue à l’ensemble des partis politiques et à l’ensemble des ingérences potentielles».
Accusé par la majorité présidentielle d'avoir un lien de subordination vis-à-vis du pouvoir russe, le RN assure «ne rien avoir à dissimuler aux Français» et propose une commission d'enquête sur les financements étrangers de tous les partis.
Selon l'éditorialiste Jean-Michel Aphatie, plusieurs personnalités ayant douté de l'efficacité des sanctions occidentales visant la Russie ne seraient autre que des «traîtres à la France». Le chroniqueur vise des politiques de droite et de gauche.
Dans une tribune, le candidat à la présidence du RN souhaite que la proposition de loi constitutionnelle déposée par le député macroniste Sacha Houlié donne lieu à un vote, y voyant l'opportunité d'ouvrir un débat plus large sur l'immigration.
«Jusqu’à quand allons-nous laisser notre jeunesse se faire tuer ?» A l'instar de Marine Le Pen et du RN, plusieurs personnalités de Reconquête ! appellent le gouvernement à réagir après la mort de trois jeunes hommes par arme blanche à Angers.
Intervenant lors d'un débat sur BFMTV, Jordan Bardella et Clémentine Autain se sont frontalement opposés sur la question du burkini, le premier dénonçant une complaisance avec l’islamisme et la seconde une posture «rétrograde» de l’extrême-droite.
Lors du débat sur BFMTV qui l’opposait à Jordan Bardella, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a eu une façon originale de défendre le recul de l’âge du départ à la retraite à 65 ans en s’appuyant sur… la fiche de pension de sa mère.
Au cours d'un débat l'opposant à Gérald Darmanin, le président du RN a abordé le port de signes religieux dans l'espace public, évoquant la possibilité de porter la kippa pour les juifs, tout en qualifiant le voile de «contestation de l'égalité».
Invité sur France Inter le 11 avril, Jordan Bardella a souligné que les candidats malheureux au premier tour de l'élection présidentielle n'étaient pas légitimes pour donner des consignes de vote à leurs électeurs.
Après Eric Zemmour, c'est au tour de Jordan Bardella de demander à l'Etat de «sévir» contre les auteurs d'agressions de militants de Reconquête ! ou du Rassemblement national, en adressant un courrier à Gérald Darmanin publié sur Twitter.
Invité pour un débat à l'IEP de Bordeaux, le président du Rassemblement national a été bloqué par des étudiants et militants scandant des slogans antiracistes. Il a dû rebrousser chemin tout en évoquant «une poignée d'antifas hirsutes».
Jordan Bardella a annoncé ce 2 février sa mise en examen pour ses propos concernant la ville de Trappes qu'il avait qualifiée de «République islamique». Il accuse la justice française de vouloir le censurer.
Le discours du chef de l'Etat au Parlement européen a fait réagir des élus de tous bords. Jordan Bardella l'a par exemple accusé de vouloir «effacer les nations d'Europe», et Yannick Jadot l'a qualifié de «président de l'inaction climatique».
Sur RTL, Jordan Bardella a défendu la «liberté vaccinale» concernant la vaccination des 5-11 ans. Sans prendre position, il a affirmé que des médecins jugeaient préférable pour les enfants de se constituer une «immunité naturelle».