BRAS DE FER

L'essayiste, inventeur de l'expression «grand remplacement», a été invité sur CNews le 31 octobre. Ses détracteurs se sont indignés qu'une chaîne télévisée lui donne la parole, alors que ses partisans ont apprécié le fait qu'il s'exprime en personne.
Un récent sondage assure que «plus de six Français sur 10 estiment que le phénomène du "grand remplacement" va se produire». Eric Zemmour et certains membres du Rassemblement national y voient une confirmation de leurs discours sur l'immigration.
Le théoricien du «grand remplacement» annonce qu'il désavoue sa liste (qu'il ne peut toutefois pas retirer) pour les européennes. Il dit avoir eu connaissance d'une photo de sa colistière, Fiorina Lignier, traçant une croix gammée dans le sable.
Du RN à la Ligne claire menée par Renaud Camus en passant par les royalistes, plusieurs listes se distinguent par leur opposition très nette aux politiques migratoires développées à l'échelon européen. Toutefois, leurs propositions sont variées.
Quelle image les candidats aux européennes du 26 mai 2019 cherchent-ils à donner d'eux-mêmes et de leur projet ? Que veulent-ils que vous reteniez d'eux ? Réponse avec les déclarations les plus emblématiques tirées des différentes listes.
En France, la campagne officielle pour les élections européennes a été lancée. A quelques jours d'un scrutin à l'issue toujours incertaine, les récents sondages placent le RN et LREM dans un mouchoir de poche avant la dernière ligne droite.
Nagib Azergui, fondateur de l’Union des démocrates musulmans français, a usé ce 12 mai d’une formule controversée pour exprimer son souhait de voir sa formation sortir victorieuse des urnes lors prochaines élections municipales de 2020.
La jeune étudiante de 20 ans, éborgnée par un projectile qu'elle attribue aux forces de l'ordre le 8 décembre lors d'une manifestation des Gilets jaunes, figure en deuxième place sur la liste identitaire portée par Renaud Camus aux européennes.
Le chef du Parti de la liberté autrichien (FPÖ), qui partage le pouvoir en Autriche avec le conservateur Sebastian Kurz, a affirmé sans ambages que son parti était en première ligne contre les «changements de population».