Les déclarations clés de la campagne des européennes

Quelle image les candidats aux européennes du 26 mai 2019 cherchent-ils à donner d'eux-mêmes et de leur projet ? Que veulent-ils que vous reteniez d'eux ? Réponse avec les déclarations les plus emblématiques tirées des différentes listes.
Matteo Salvini (vice-président du Conseil des ministres et ministre de l'Intérieur italien) :
«Une nouvelle Europe est née et je suis fier que la Ligue fasse partie de cette nouvelle Renaissance européenne»
Matteo Salvini (La Ligue)
«Une nouvelle Europe est née. Je suis fier que La Ligue participe à cette renaissance européenne»
Yannick Jadot (EELV)
«C'est une vague verte européenne dont nous sommes les acteurs.»
Marine Le Pen (RN)
«Vous savez quoi, Monsieur Wauquiez ? J'espère qu'un jour vous aurez la possibilité de faire un débat au second tour de la présidentielle»
#Débat des #européennes : #Wauquiez et Le Pen s'accrochent, les autres candidats s'amusent (VIDEO)#LePen#EuropéennesRT
— RT France (@RTenfrancais) 23 mai 2019
➡️ https://t.co/o5qDkJkIJBpic.twitter.com/l3UrZHpxFoRaphaël Glucksmann (liste Place publique-PS-Nouvelle donne)
«Faire des cadeaux aux plus riches, supprimer l'ISF, installer la flat tax, c'est pas trop cher. Mais l'égalité salariale entre hommes et femmes, subitement ça devient trop cher !»
Nicolas Dupont-Aignan (DLF)
«Allez voter ou arrêtez de vous plaindre et allez à l'échafaud [...] Ca ne sert à rien de manifester sous la pluie et le vent toute l'année et ensuite de ne pas voter, ce serait contradictoire.»
François Asselineau (UPR)
«Il faut 28 accords gouvernementaux et 28 accords de parlement [c'est-à-dire] 56 accords pour modifier les traités [européens].»
.@UPR_Asselineau : « Il faut 28 accords gouvernementaux, 28 accords de parlement, c'est-à-dire 56 accords pour modifier les traités 🇪🇺. Les pays
— Fabienne Vaulot (@FabienneVaulot) 21 mai 2019
de l'Est, du Nord de l'Europe, le 🇱🇺, 🇲🇹, 🇨🇾 le refuseront ! »#LaGrandeConfrontation#EnsemblePourLeFrexit#Européennes2019pic.twitter.com/S8W0N4TlylRenaud Camus (La Ligne claire) :
«On peut dire ce qu’on veut aux journalistes, ça ne sert absolument à rien, ils repartent avec les idées qu'ils amènent.»
On peut dire ce qu’on veut aux journalistes, ça ne sert absolument à rien, ils repartent avec les idées qu'ils amènent. D’ailleurs, la preuve, cette équipe-là, je lui avais expliqué très longuement comment ne pas se tromper de Plieux, eh bien elle est allée tout droit à l’autre… https://t.co/2ujR3vuPK1
— Renaud Camus (@RenaudCamus) 21 mai 2019Nicolas Dupont-Aignan (Debout la France) :
«Il faut s’attaquer à un tabou : le contrôle des naissances en Afrique comme l’a fait en son temps la Chine pour réussir sa transition économique.»
Emmanuel Macron :
«Si, en tant que chef de l’Etat, je laisse se disloquer l'Europe qui a construit la paix, qui a apporté de la prospérité, j'aurais une responsabilité devant l'histoire»