Afin de lutter contre d'éventuelles incursions américaines sur son sol, Nicolas Maduro a mis en place un «commando d'opérations spéciales», qui aura «la capacité d'agir en n'importe quel endroit du pays sans délai 24 heures sur 24».
Nicolas Maduro a vivement critiqué les sanctions annoncées par les Etats-Unis contre l'Iran et son propre pays, à l'occasion du 75e anniversaire de l'ONU. Le même jour, Donald Trump a accru unilatéralement la pression sur l'Iran et le Venezuela.
Pour Caracas, le rapport publié par une mission de l'ONU, selon lequel Nicolas Maduro et ses ministres seraient impliqués dans de «possibles crimes contre l'humanité», relève d'«une mission fantôme» diligentée par Washington.
Dans une intervention télévisée, Nicolas Maduro a annoncé la capture sur le sol vénézuélien d'un «marine qui servait dans les bases de la CIA en Irak […] en train d'espionner les raffineries d'Amuay et de Cardón».
Le Venezuela a gracié une centaine de politiques et législateurs de l'opposition à l'approche des élections législatives, a déclaré le ministre de l'Information Jorge Rodriguez.
Ce commerce illégal mais lucratif ne cesse de croître malgré les efforts internationaux et se retrouve parfois au centre de la lutte géopolitique. Comment la guerre contre le trafic de drogue impacte-t-elle les relations internationales ?
Le Venezuela a officialisé son souhait de produire sur son territoire le vaccin «Spoutnik V» contre le coronavirus, développé par la Russie, et participer ainsi à la phase III, dernière étape des essais cliniques.
Tandis que Moscou s'inquiète de l'implication des pays occidentaux dans la crise que traverse la Biélorussie, l'UE prend fait et cause pour une lutte pour «la liberté et la démocratie» et contre Loukachenko. Au risque d'un scénario à l'ukrainienne ?
Les 2 ex-soldats étasuniens arrêtés en mai lors d'une incursion maritime en territoire vénézuélien qui visait à renverser Nicolas Maduro ont été condamnés à 20 ans de prison. Le procureur général a annoncé qu'ils avaient «avoué» les faits reprochés.
Elliott Abrams a estimé que les élections législatives vénézuéliennes prévues en décembre prochain seraient «frauduleuses», annonçant que Washington réitérerait son soutien à Juan Guaido, quelle que soit l'issue du scrutin.
Le Venezuela est secoué par une nouvelle crise politique alors que des partis d'opposition, unis derrière Juan Guaido, ont décidé de boycotter les élections législatives prévues le 6 décembre.
Un homme a été tué lors d'une manifestation contre la pénurie d'essence dans une ville de l'est du Venezuela, qui a donné lieu à de violents affrontements avec l'armée, a annoncé 26 juillet le procureur général.
Le Venezuela a rejeté en bloc un rapport de l'ONU pointant l'affaiblissement de l'indépendance de son système judiciaire. Selon la diplomatie vénézuélienne, ce rapport s'inscrit dans le cadre de la déstabilisation voulue par Washington.
L'armée de l'air vénézuélienne a annoncé le 7 juillet avoir neutralisé un «narco-avion immatriculé aux Etats-Unis», entré dans l'espace aérien vénézuélien. Le gouvernement, par la voix du ministre de la défense, s'en est félicité.
La justice britannique a tranché en faveur de Juan Guaido, en tant que représentant du Venezuela, dans l'affaire de l'or vénézuélien conservé au Royaume-Uni. La Banque centrale du Venezuela, qui qualifie la décision d'«absurde», va faire appel.
Deux jours après l'annonce par Nicolas Maduro de l'expulsion de l'ambassadrice de l'UE du territoire vénézuélien, les diplomaties vénézuélienne et européenne ont publié un communiqué commun annonçant que les relations seraient finalement maintenues.
La président vénézuélien a demandé le départ dans les trois jours d'Isabel Brilhante Pedrosa, représentante de l'UE à Caracas. Il a justifié son choix par les récentes sanctions prises par l'UE contre plusieurs citoyens de la république bolivarienne.
Un tribunal londonien, chargé de statuer sur le procès intenté par la Banque centrale vénézuélienne contre celle d'Angleterre pour que le pays latino-américain récupère son or, se trouve dans un dilemme qu'il juge insoluble.
Mike Pompeo a annoncé des sanctions contre les capitaines des navires iraniens qui ont livré le Venezuela en essence et produits pétroliers fin mai. Il a évoqué des conséquences néfastes sur leurs avoirs et leur carrière.
En dépit des multiples mesures punitives décrétées par Washington à l'encontre du Venezuela dans le but revendiqué de faire chavirer l'actuel président élu, celui-ci ne ferme pas la porte à une potentielle rencontre avec Donald Trump. Explications.