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L'Iran s'est réjoui de l'avancée des négociations concernant son programme nucléaire. Téhéran considère que les récentes décisions américaines concernant les sanctions sont «bonnes mais pas suffisantes», alors que les pourparlers se poursuivent.
Dans LA GRANDE INTERVIEW, Ebrahim Raïssi, Président iranien élu, accorde à RT sa première interview à la presse internationale.
Des incidents ont éclaté à la frontière entre l'Iran et l'Afghanistan avec des échanges de tirs du fait d'un «malentendu». L'incident a été rapidement stoppé et serait dû à des «différends entre les habitants», selon les autorités iraniennes.
L'Iran est devenu le premier pays du Moyen-Orient à fabriquer le Spoutnik V sur son territoire, avec la production de doses du sérum russe par l'une des principales sociétés pharmaceutiques. Ce vaccin est déjà administré dans le pays depuis février.
Le vainqueur de la présidentielle iranienne Ebrahim Raïssi souhaite obtenir la levée des sanctions imposées par les Etats-Unis à l'Iran, pour relancer une économie en berne. Mais il refuse de rencontrer Joe Biden.
Mahmoud Ahmadinejad a officiellement déposé sa candidature pour le scrutin présidentiel à venir. Déjà refoulé par le Conseil des gardiens de la Constitution en 2017, il a annoncé qu'il boycotterait l'élection si sa démarche n'était pas acceptée.
Pris en étau entre ses deux puissants partenaires, les Etats-Unis et l’Iran, l'Irak cherche à diversifier ses alliances dans la région sur fond de fortes turbulences internes. A quoi ressemble la vie politique en Irak aujourd’hui ?
L'Arabie Saoudite a exigé d'être «consultée» avant les possibles négociations entre les Etats-Unis et l'Iran concernant le programme nucléaire iranien. Une demande qui a provoqué la colère du porte-parole des Affaires étrangères iraniennes.
Pour rétablir «pratiquement toutes» les sanctions contre l'Iran, Donald Trump veut utiliser le «snapback», un mécanisme prévu par l'accord de 2015 sur le nucléaire iranien. Alors même les Etats-Unis ont quitté unilatéralement cet accord.
Après l'annonce de l'accord de normalisation des relations entre les Emirats arabes unis et Israël – sous l'égide des Etats-Unis – plusieurs pays se sont faits entendre. Le report de l'annexion de la Cisjordanie semble servir de justification.
Elliott Abrams, déjà émissaire de Washington au Venezuela, vient d'être nommé représentant des Etats-Unis pour l'Iran. Téhéran a réagi avec indifférence à cette nomination, estimant que les émissaires américains étaient tous les mêmes.
Le guide suprême d'Iran, Ali Khamenei, a catégoriquement rejeté l'idée de discuter de ses programmes balistique et nucléaire avec Washington pour ouvrir d'éventuelles négociations : «il n'est pas logique de se soumettre aux demandes de l'agresseur.»
L'Iran, la Russie et la Turquie, qui soutiennent des camps opposés dans la guerre qui ravage la Syrie, sont convenus le 1er juillet d'intensifier leurs efforts de coordination en vue de faire baisser les tensions dans ce pays.
Le procureur de Téhéran Ali Alqasimehr a annoncé que son pays avait émis des mandats d'arrêt à l'encontre de 36 personnes, dont le président des Etats-Unis Donald Trump, pour l'assassinat du général Qassem Soleimani.
Mike Pompeo a annoncé des sanctions contre les capitaines des navires iraniens qui ont livré le Venezuela en essence et produits pétroliers fin mai. Il a évoqué des conséquences néfastes sur leurs avoirs et leur carrière.
Habitués aux piques américaines visant leur situation intérieure, l'Iran, la Chine et le Venezuela n'ont pas mâché leurs mots sur la situation aux Etats-Unis, dans un contexte de manifestations et d'émeutes consécutives à la mort de George Floyd.
Le président Rohani a décidé la levée imminente du confinement avec la réouverture des commerces «à bas risque» pour maintenir une économie menacée d'effondrement. Les sanctions américaines ne permettent pas une gestion sereine de la crise en Iran.
La mise en garde de Washington contre une attaque iranienne visant les troupes américaines en Irak, ainsi que la réponse du chef de la diplomatie iranienne, traduisent un regain de tensions entre les deux pays, malgré la crise du coronavirus.
L'Allemagne a annoncé avoir avec la France et le Royaume-Uni utilisé pour la première fois le système de troc Instex pour livrer à l'Iran du matériel sans toutefois s'exposer aux sanctions américaines.
Mahnaz Shirali, sociologue, répond dans La Grosse Question.