POLÉMIQUE

Le discours d'Emmanuel Macron devant le Parlement européen de Strasbourg a suscité l'enthousiasme non dissimulé du président de la Commission Jean-Claude Juncker. L'opposition française, elle, réagit et dénonce «un agrégat de poncifs creux».
Interrogé par RT France sur les tensions en Syrie, menacée d'attaques militaires, Damien Lempereur, de Debout la France, estime qu'à suivre la position américaine dans les éventuelles frappes, Emmanuel Macron commet «une faute politique».
Interdiction du salafisme, détention des fichés S et lutte contre l'islamisme : le débat fait rage au lendemain des attaques de l'Aude. L'ancien Premier ministre de François Hollande se rapproche sur ces questions de LR et du FN.
Nicolas Dupont-Aignan a exprimé le 4 février sa position sur la politique migratoire menée actuellement par la France. Alors qu'un journaliste lui demandait quelle serait sa réaction face à un migrant en danger, le député ne s'est pas défilé.
Nicolas Dupont-Aignan (DLF) est offensif sur la réforme de la fonction publique, souhaitée par le gouvernement. Si, pour le député de l'Essonne, dans certains secteurs il faut «redéployer», il assure qu'il ne faut pas «supprimer de fonctionnaires».
Moins de deux mois après avoir établi sa liste des paradis fiscaux, l'Union européenne l'a déjà réduite. Elle devait pourtant marquer une réponse «consistante et à la hauteur» après la publication des Panama et des Paradise Papers.
Le leader des Patriotes engage Emmanuel Macron à supprimer la chambre haute, alors que le président de la République envisage une révision constitutionnelle prévoyant notamment la réduction du nombre de membres de l'Assemblée et du Sénat.
France 3 a organisé un débat dans le cadre d'une élection législative partielle en Bourgogne-Franche-Comté, sans convier les candidats de l'UPR et de Debout la France. Dénonçant un traitement inéquitable, les deux partis politiques ont saisi le CSA.
Le 2 janvier, Le Monde annonçait que le ministère de la Justice prévoyait d'installer des téléphones fixes dans les cellules des détenus. Une action qui a fait vivement réagir certains politiques, dont le président de Debout la France.
«Se montrer plus conciliant envers le chef de l'Etat» : voilà une bonne résolution 2018 qui ne figure pas sur la liste des membres de l'opposition. Du FN aux insoumis, les critiques ont fusé après l'adresse du président à ses «concitoyens européens».
Après 2017, le calendrier électoral s'est considérablement éclairci, avec en ligne de mire les européennes de 2019, prochain test pour Emmanuel Macron. Défaits à la présidentielle, les souverainistes chercheraient à se mettre en ordre de bataille.
UE, agriculture mais aussi politique internationale : invité du journal télévisé de RT France, le président de Debout la France s'est exprimé sur l'actualité, depuis sa vision de la relation franco-russe jusqu'aux débats autour du glyphosate.
La comédienne, qui a fait les belles heures de TF1, a dénoncé sur Twitter la référence de Nicolas Dupont-Aignan à un épisode de la série Joséphine, ange gardien. Le député saluait un épisode traitant, selon lui, de la souffrance des mères porteuses.
Réunis en Eurogroupe, les ministres des Finances des 28 pays de l'Union européenne ont publié la liste de 17 pays coupables selon eux de profiter de l'évasion fiscale. Des voix s'élèvent pour dénoncer l'absence de pays européens dans la liste.
Trois élues FN du Conseil régional d'Ile-de-France claquent la porte du groupe de leur parti, déplorant «le virage à gauche du Front national». Elles pourraient se tourner vers un nouveau mouvement : Les amoureux de la France.
Souhaitant «élargir la notion de martyr», deux artistes exposent une œuvre où se côtoient des personnalités mortes pour leurs convictions. Des terroristes, dont Ismaël Omar Mostefaï, y figurent aux côté de Socrate ou Martin Luther King...
Affirmant qu'Emmanuel Macron avait «réussi à faire de la propagande» pour faire passer la réforme du Code du travail, le président de Debout la France a estimé que les ordonnances voulues par le gouvernement étaient une «prime au licenciement».
Ce 17 novembre, Nicolas Dupont-Aignan s'est dit «indigné» par une décision de justice permettant à HSBC d'échapper à un procès en versant 300 millions d'euros. Le député annonce proposer une loi pour encadrer ces transactions.
Favori pour prendre la présidence des Républicains, Laurent Wauquiez assure vouloir faire bouger la ligne du parti sur l'Europe. Nicolas Dupont-Aignan s'agace que Laurent Wauquiez reprenne ses idées tout en refusant une alliance avec lui.
Certains médias se sont-ils pris les pieds dans le tapis, en évoquant des élus qui «perturbent» une prière de rue, le 10 novembre à Clichy ? Des internautes, ainsi que quelques politiques et journalistes, se sont indignés de cette formulation.