SIDERANT

Ce 28 septembre, le président français a défendu l’idée de faire «entrer la Corse dans la Constitution» afin de reconnaître ses spécificités. Une annonce, qui pourrait marquer une étape vers l’autonomie de l'île, dénoncée par les souverainistes.
Le président français a annoncé le 11 juillet, depuis le sommet de l'OTAN à Vilnius, la livraison de missiles longue portée Scalp à l’Ukraine. Un soutien militaire qui n'a suscité que de minces indignations dans l’Hexagone.
L’association de lutte contre la corruption Anticor a perdu son agrément le 24 juin. Ses dirigeants et une partie de la classe politique s’insurgent contre cette décision. D’autres pointent du doigt le manque de transparence de l’ONG.
L'Assemblée nationale a approuvé le recours à la vidéosurveillance dite «intelligente», basée sur des algorithmes, que l'exécutif veut expérimenter avant et pendant les JO-2024 malgré les craintes de dérives sécuritaires de la gauche.
Invité à s'exprimer à l'Assemblée nationale lors de son passage à Paris, le président du Parlement ukrainien, la Rada, a demandé une aide militaire française accrue à destination de Kiev. Perspective dénoncée par le député Nicolas Dupont-Aignan.
Le président de Debout la France Nicolas Dupont-Aignan a déposé une proposition de référendum d'initiative partagée (RIP) pour demander aux Français de se prononcer sur un plafonnement de la retraite à 62 ans.
Les propos du chef de l'Etat selon lesquels l'immigration fait partie intégrante de «l'ADN» de la France ont été fort peu appréciés à droite, entraînant une contestation de cette vision et la mise en avant du caractère récent de ce phénomène.
Plusieurs personnalités se sont émues d'apprendre que les mascottes de l'événement sportif, censées «incarner l'esprit français» selon le comité d'organisation des Jeux, seront produites essentiellement par l'industrie chinoise.
Le laboratoire suscite à nouveau la controverse pour avoir indiqué que son vaccin n'avait pas été testé quant à sa capacité à prévenir la transmission de la maladie avant d'être mis sur le marché, et pour son manque de transparence sur les contrats.
L'appel du chef de l'Etat aux Français afin qu'ils participent aux débats du Conseil national de la refondation n'a pas convaincu ses opposants, échaudés par le précédent du grand débat et sceptiques quant à la «nouvelle méthode» du président.
L'ancien candidat souverainiste à la présidentielle Nicolas Dupont-Aignan a de nouveau appelé à une union des droites et des souverainistes, qui associerait des figures du Rassemblement national, de Reconquête! ou encore des Républicains.
Le candidat de Résistons ! s'en est vivement pris le 7 avril à l'éditorialiste Renaud Dély, qui l'avait qualifié de «complotiste» dans l'une de ses chroniques. La direction de la chaîne d'information a vivement condamné les propos de Jean Lassalle.
Dans un entretien à la presse régionale, le président sortant a affirmé ne jamais avoir été condescendant avec les Français, assurant que les petites phrases qui ont émaillé son quinquennat ont été sorties de leur contexte.
Le président des Patriotes, qui soutient Nicolas Dupont-Aignan pour le premier tour, a annoncé qu’il appellera à voter pour le candidat qui fera face à Emmanuel Macron au second tour, «quelle que soit la personne».
Emmanuel Macron a tenu son seul meeting de campagne le 2 avril, avec pour objectif de valoriser son bilan et d'avancer quelques propositions. L'occasion pour ses adversaires de commenter – et critiquer – ses déclarations.
Le candidat souverainiste a attaqué frontalement le président sortant au sujet de l'affaire McKinsey, estimant le scandale suffisamment grave pour l'empêcher de solliciter un nouveau mandat à la tête de l'Etat.
Le leader de Debout La France appelle les journalistes «soucieux d'éthique [et] de démocratie» à organiser une soirée électorale avant le premier tour du scrutin présidentiel, alors que le président sortant refuse de débattre avec ses concurrents.
Jean Lassalle songe sérieusement à retirer sa candidature. Le candidat de «Résistons !» regrette de ne pas être invité aux débats, faisant perdre tout sens à cette élection, qui selon ses mots, «ne ressemble plus à rien».
Contempteur des restrictions de liberté pour motif sanitaire, le président des Patriotes a officialisé son soutien à Nicolas Dupont-Aignan pour la présidentielle. Il a par ailleurs annoncé un «accord» avec Debout la France en vue des législatives
A nouveau déployé sous le monument parisien à l'occasion du sommet de Versailles, le drapeau de l'Union européenne a déclenché une deuxième vague de critiques contre ce choix d'Emmanuel Macron de la part de candidats et personnalités de droite.