Hassan Rohani et Ali Khamenei ont qualifié les manifestations qu'a connues l'Iran ces derniers jours de «complot» diligenté par Israël et les Etats-Unis. Des sympathisants du gouvernement ont entamé des rassemblements à travers le pays.
Ali Khamenei a expliqué lors d'un discours à Téhéran que les appels à la «disparition d'Israël» ne visaient pas le «peuple juif» mais bien le pouvoir israélien. Et ce afin de soutenir les Palestiniens dans leur lutte pour l'indépendance.
La récente tentative de médiation d’Emmanuel Macron pour résoudre le dossier du nucléaire iranien ne recueille pas l’assentiment de l’ayatollah Khamenei. Abordant le sujet le 3 novembre, il a notamment qualifié de «naïf» le chef de l’Etat français.
Le président américain a annoncé ce 24 juin de nouvelles sanctions contre l'Iran qui pourraient durer «des années». Ces dernières, essentiellement d'ordre financière, visent notamment le guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei.
Le tension continue de monter dans le golfe Persique après un raid de la coalition saoudienne mené sur Sanaa, qui a fait au moins six morts, en réponse à l'attaque de deux stations de pompage par les Houthis. L'Iran tente elle de calmer le jeu.
Malgré les lourdes sanctions américaines, ce géant chiite du Moyen-Orient s’obstine et mène une lutte active pour conserver son influence dans la région. Sous une pression internationale, l’Iran est-elle en mesure de résister ?
Alors que les Européens, Emmanuel Macron en tête, militent pour un accord plus large, l'Iran a répliqué en demandant aux signataires de faire des efforts pour compenser le retrait américain et les sanctions qui en ont découlé.
Malgré les menaces que font peser sur ses entreprises les sanctions américaines contre l'Iran et Venezuela, l'Inde a fait savoir qu'elle continuerait à commercer avec ces partenaires, rejetant «la pression d'autres pays » sur sa politique extérieure.
Des milliers de personnes ont manifesté à Téhéran aux cris de «Mort à l'Amérique» pour dénoncer la politique «anti-iranienne» du président Donald Trump, devant l'ex-ambassade des Etats-Unis, à l'occasion de l'anniversaire de son occupation en 1979.
Les attentats commis le 7 juin à Téhéran par l'Etat islamique «ne feront que renforcer la haine» contre Washington et Riyad, a affirmé le 9 juin le guide suprême d'Iran Ali Khamenei à l'occasion des funérailles des victimes.
L'ancien président iranien Mahmoud Ahmadinejad a soumis sa candidature pour la prochaine élection présidentielle qui se tiendra dans le pays en mai prochain. Cette candidature viserait à soutenir celle de son ex-vice président, Hamid Baghaie.
Devant la jeunesse estudiantine de Téhéran, l'ayatollah Khamenei a pointé du doigt les maux qui affligent selon lui les peuples occidentaux, afin de démontrer qu'une société ne peut pas se passer de valeurs religieuses.
Benjamin Netanyahou a mis en garde la République d'Iran qu'elle se mettrait en danger si elle venait à menacer Israël. Sa réaction intervient après les menaces du guide suprême Ali Khamenei sur la possible destruction du «régime sioniste».
Le président iranien a prévenu Donald Trump qu'il ne pourrait pas revenir sur l'accord sur le nucléaire, signé par les membres du conseil de sécurité de l'ONU. De son côté, le Sénat américain a prolongé les sanctions contre l'Iran de dix ans.
L'ayatollah Khamenei a vertement critiqué les Etats-Unis, la Grande-Bretagne et Israël devant l'ensemble des dirigeants du pays et des milliers de personnes rassemblées à Téhéran au mausolée de l'imam Khomeiny, mort en 1989 et auquel il a succédé.
La police iranienne a déjà arrêté plus de 100 personnes qui avaient participé aux violences contre l'ambassade d'Arabie saoudite à Téhéran. Cela confirme la sincérité des condamnations unanimes exprimées par les autorités iraniennes.
L'Iran estime que plus de 450 de ses ressortissants sont morts dans la bousculade survenue le 26 septembre à la Mecque. Sur fond de tensions entre les deux pays, l'Arabie saoudite est aussi accusée de minimiser le nombre de victimes.
L'Ayatollah Ali Khamenei aurait tweeté une image samedi montrant Barack Obama pointant un pistolet sur sa tempe, pour illustrer les conséquences qu'aurait une éventuelle déclaration de guerre des États-Unis à l'Iran.