BRAS DE FER

A l'occasion de la semaine des Bassidji, le Guide suprême iranien, Ali Khamenei, a dénoncé l'attitude des Américains et de leurs alliés concernant les manifestations en Iran. Il a aussi expliqué qu'une négociation avec les Etats-Unis serait inutile.
Le guide suprême iranien a estimé que l'opération militaire russe en Ukraine avait avorté une guerre, que l'Alliance atlantique aurait été sur le point de provoquer. L'Iran dénonce depuis février le rôle présumé de l'OTAN dans la crise ukrainienne.
A l'occasion de la «Journée de Jérusalem», l'ayatollah Khamenei a de nouveau tenu des propos véhéments à l'encontre d'Israël et condamné les récentes normalisations des relations entre ce pays et plusieurs Etats arabes
L'Ayatollah Khamenei affirme que l'Iran pourrait enrichir de l'uranium à 60% en cas de besoin, un taux loin des 3,67% prévus par l'accord signé en 2015 mais remis en cause par le retrait des Etats-Unis et la limitation des inspections par l'Iran.
Dans un message adressé à Washington, l'Iran a fait savoir qu'il était prêt à respecter à nouveau les conditions fixées par l'accord sur le nucléaire de 2015, dont les Etats-Unis se sont retirés, à condition que toutes les sanctions soient levées.
Un compte Twitter lié à l'ayatollah Ali Khamenei a été suspendu après une publication réclamant la vengeance du général Soleimani et menaçant Donald Trump, commanditaire de son assassinat.
Ali Khamenei s'est exprimé à propos de la présidentielle américaine sur les réseaux sociaux. L'ayatollah a évoqué un «spectacle» alors que le scrutin n'a toujours pas livré son verdict.
Le guide suprême d'Iran, Ali Khamenei, a catégoriquement rejeté l'idée de discuter de ses programmes balistique et nucléaire avec Washington pour ouvrir d'éventuelles négociations : «il n'est pas logique de se soumettre aux demandes de l'agresseur.»
40 ans après la fin de leurs relations diplomatiques, l'Iran et les Etats-Unis entretiennent leur rivalité. Cependant, en pleine épidémie de coronavirus, les mesures de rétorsions économiques appliquées contre la République islamique sont contestées.
Ali Khamenei a tenu à la mosquée Mosalla un discours dans lequel il est revenu sur l'assassinat du général Soleimani par les Etats-Unis. Il a également abordé le cas du crash du Boeing ukrainien et les négociations avec l'Europe sur le nucléaire.
Mahnaz Shirali, sociologue, répond dans La Grosse Question.
Dans une allocution à Washington, Donald Trump a annoncé qu'aucun Américain ni Irakien n'avait été touché par les attaques iraniennes contre deux bases militaires en Irak. Selon lui, l'Iran «semble reculer».
Répondant à Donald Trump, qui a accusé l'Iran d'être derrière les récents événements antiaméricains en Irak, le Guide suprême iranien a conseillé à Washington de chercher la source de la contestation dans ses propres «crimes».
Contrairement aux années précédentes, Emmanuel Macron n’a pas adressé ses vœux de Noël aux Français. Rompant avec la tradition, le président de la République a été la cible de nombreuses critiques.
Hassan Rohani et Ali Khamenei ont qualifié les manifestations qu'a connues l'Iran ces derniers jours de «complot» diligenté par Israël et les Etats-Unis. Des sympathisants du gouvernement ont entamé des rassemblements à travers le pays.
Ali Khamenei a expliqué lors d'un discours à Téhéran que les appels à la «disparition d'Israël» ne visaient pas le «peuple juif» mais bien le pouvoir israélien. Et ce afin de soutenir les Palestiniens dans leur lutte pour l'indépendance.
La récente tentative de médiation d’Emmanuel Macron pour résoudre le dossier du nucléaire iranien ne recueille pas l’assentiment de l’ayatollah Khamenei. Abordant le sujet le 3 novembre, il a notamment qualifié de «naïf» le chef de l’Etat français.
Le président américain a annoncé ce 24 juin de nouvelles sanctions contre l'Iran qui pourraient durer «des années». Ces dernières, essentiellement d'ordre financière, visent notamment le guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei.
Le tension continue de monter dans le golfe Persique après un raid de la coalition saoudienne mené sur Sanaa, qui a fait au moins six morts, en réponse à l'attaque de deux stations de pompage par les Houthis. L'Iran tente elle de calmer le jeu.
Malgré les lourdes sanctions américaines, ce géant chiite du Moyen-Orient s’obstine et mène une lutte active pour conserver son influence dans la région. Sous une pression internationale, l’Iran est-elle en mesure de résister ?