HISTOIRE

Le retournement global de conjoncture, dû à la hausse des coûts de l’énergie et son corolaire, l’inflation, a eu raison de la croissance de ces deux pays scandinaves très dépendants des exportations.
Des dizaines de personnes ont protesté devant l'ambassade de Suède à Londres le 28 janvier, en réaction à l'action d'un militant de droite radicale qui avait brûlé un Coran devant l'ambassade de Turquie à Stockholm.
Le président turc Recep Tayyip Erdogan a affirmé que la Suède, candidate à l'Otan, ne pouvait plus compter sur le « soutien» de la Turquie après l'autorisation accordée à la tenue d'une manifestation anti-turque le 21 janvier à Stockholm.
Le militant de droite radicale Rasmus Paludan a organisé le 21 janvier une manifestation devant l'ambassade de Turquie à Stockholm, et brûlé le Coran pour faire valoir son opposition au pays dirigé par Recep Tayyip Erdogan.
Le militant de droite radicale Rasmus Paludan organise une manifestation devant l'ambassade de Turquie en Suède, à Stockholm, pour faire valoir son opposition au pays dirigé par Recep Tayyip Erdogan. Il a annoncé vouloir y «brûler le Coran».
Le ministre turc de la Défense a annoncé que la visite de son homologue suédois, prévue le 27 janvier, était annulée alors qu'une manifestation anti-turque doit se tenir le 21 janvier à Stockholm, suscitant l'ire d'Ankara.
L'ambassadeur de Suède en Turquie a été de nouveau convoqué ce 20 janvier par le ministre turc des Affaires étrangères à la veille d'une manifestation antiturque prévue à Stockholm où un exemplaire du Coran pourrait être brûlé.
Après des provocations de partisans du PKK en Suède, Ankara a annoncé qu’elle n’entérinerait pas la ratification de l’adhésion du royaume scandinave à l'OTAN. Depuis plusieurs mois, Ankara réclame à Stockholm l’extradition de membres du PKK.
Dans un contexte où la Turquie joue un rôle majeur dans l'adhésion de la Suède à l'OTAN, Ankara a dénoncé la décision de la justice suédoise de refuser une extradition réclamée par le président Recep Erdogan en personne.
La haute juridiction suédoise s'est opposée à la demande d'extradition de Bülent Kenes formulée par Ankara, estimant que celui-ci risquait des persécutions en Turquie où il est accusé d'avoir été complice du coup d'Etat de 2016.
Alors que la Commission européenne menace de geler des milliards d’euros de fonds communautaires, Budapest a annoncé son report de la ratification de l’adhésion à l’OTAN de la Suède et de la Finlande. L’opposition pro-Bruxelles crie au «chantage».
Alors que l'enquête suédoise a dit confirmer la piste d'un sabotage des gazoducs Nord Stream 1 et 2 qui ont été endommagés en septembre, Moscou ne souhaite pas s'arrêter là. Le porte-parole du Kremlin demande l'identification des responsables.
Après l'attentat d'Istanbul, qui a fait six morts et des dizaines de blessés, le ministre de l'Intérieur turc pointe du doigt la responsabilité du PKK, qui dément totalement. Ankara considère l'organisation kurde comme terroriste.
Les trois partis de la droite suédoise se sont mis d'accord pour former un gouvernement, avec l'appui inédit des Démocrates de Suède (droite nationaliste) au Parlement, a annoncé le Premier ministre pressenti Ulf Kristersson.
Le vice-Premier ministre du gouvernement de la Fédération de Russie a jugé qu'une remise en état des deux gazoducs était possible sur le plan technique. Mais sur le plan politique, le Kremlin souhaite d'abord faire la lumière sur ce sabotage.
L'Allemagne va former une équipe commune avec le Danemark et la Suède pour enquêter sur les fuites touchant les gazoducs Nord Stream, selon la ministre allemande de l'Intérieur Nancy Faeser. Celle-ci évoque «un acte de sabotage».
Le président turc Recep Tayyip Erdogan a brandi une nouvelle fois la menace de bloquer l'adhésion de la Finlande et de la Suède à l'OTAN, «tant que les promesses faites» à la Turquie n'auront pas été satisfaites, à savoir des demandes d'extradition.
Des fuites ont été constatées sur les deux gazoducs Nord Stream 1 et 2 au large du Danemark et de la Suède. Des sources dans la presse allemande évoquent une possible «attaque ciblée». Le Kremlin n’exclut aucune hypothèse.
Le chef du gouvernement suédois Magdalena Andersson a reconnu ce 14 septembre la défaite aux législatives de la gauche et la victoire du bloc formé par la droite et les nationalistes anti-immigration.
Le parti anti-immigration des Démocrates de Suède a obtenu un score historiquement élevé lors des élections législatives. Selon le politologue Joakim Palme, les enjeux de sécurité et d'immigration qui ont dominé la campagne expliquent ce succès.