SIDERANT

La plus haute juridiction financière de l’ordre administratif s’en est prise au nombre de bovins dans ses recommandations. Les impératifs écologiques impliqueraient de réduire le cheptel, ce qui suscite l’inquiétude des éleveurs.
Les agriculteurs multiplient les démonstrations de force à travers la France, à l’approche de leur salon à Paris. Confrontés à une multitude de défis et s'estimant négligés par les autorités, les producteurs s’inquiètent pour leur survie.
Le 17 janvier, des dizaines de tracteurs ont investi le centre de Toulouse pour protester contre la nouvelle Politique agricole commune (PAC), qui modifie la réglementation sur les sols argileux.
Entre 1 500 et 2 000 opposants aux «méga-bassines» ont manifesté contre un projet de réserves d'eau destinées à l'irrigation à Mauzé-sur-le-Mignon. Une mobilisation qui a débuté dans le calme avant de connaître quelques incidents, selon l'AFP.
Plus d'un millier de tracteurs ont manifesté bruyamment à proximité du Parlement européen pour dénoncer la nouvelle PAC qui est en cours de négociation au sein de l'Union européenne. Les agriculteurs entendent bien peser sur les débats.
En tracteur ou à pied, des centaines d'agriculteurs ont afflué à Dijon pour réclamer une juste rémunération de leur travail. Ils ont notamment déversé un amas de fumier devant un bâtiment public, avant d'être dispersés à coups de gaz lacrymogène.
Plusieurs actions coup de poing ont été réalisées à Lyon et à Clermont par des milliers d'agriculteurs. Ils demandent notamment une rémunération plus juste, dénonçant ainsi la loi Egalim. Julien Denormandie les recevra prochainement.
Dans les médias, sur les réseaux sociaux, comme dans les manifestations d’agriculteurs de la FNSEA, on entend ou lit de plus en plus souvent le mot «agribashing». RT France a cherché à comprendre ce qu’il désigne réellement.
Les agriculteurs ont décidé de manifester leur mécontentement ce 27 novembre. Plus de 1 000 tracteurs doivent converger vers Paris. D'autres actions, comme des blocages d'autoroutes, sont prévues partout en France.
A l'appel des syndicats, les agriculteurs déploient ce 22 octobre des bâches devant plusieurs préfectures afin de dénoncer le malaise qui règne dans la profession. Ils exigent des réponses concrètes de la part du chef de l'Etat, sur plusieurs points.
Afin de dénoncer le «malaise» du monde agricole, la FNSEA avait appelé à déclencher des «feux de la colère» sur le tout le territoire. Ils entendent protester contre les zones de non-traitement mais aussi faire connaître le milieu agricole.
Le gouvernement a annoncé la mise en place d’une commission d’experts chargée d’évaluer les effets potentiels d’un accord de libre-échange entre l’Europe et le Mercosur. Il a l’avait déjà fait avec le CETA, sans convaincre les agriculteurs.
Les permanences de députés macronistes ont fait l'objet d'actes de vandalisme dans le Lot-et-Garonne, les Hautes-Pyrénées, la Haute-Saône ou encore dans la Creuse. Des agriculteurs anti-CETA ont revendiqué ces dégradations sur les réseaux sociaux.
Sur Radio classique, le commissaire européen est venu au secours du président de la République pour défendre cet accord de libre-échange dénoncé par les écologistes. Les agriculteurs se préparent à des actions devant les préfectures.
A moins de deux semaines des élections parlementaires européennes, le premier syndicat agricole a invité les candidats des six listes placées en tête par les sondages à présenter leurs programmes et à répondre à leurs questions.
Les agriculteurs bloquent le site de la raffinerie Total de Grandpuits depuis le 10 juin pour protester contre la concurrence de l'huile de palme importée par la compagnie pour produire du biocarburant. Le reporter de RT France les a rencontrés.
Choix des priorités dans les dépenses ou encore durcissement des prérequis pour bénéficier des fonds européens, le nouveau budget proposé par Bruxelles fait débat. Parmi les perdants potentiels : des secteurs économiques et des pays membres !
Les agriculteurs ont mené des opérations de blocage et des actions coup de poing à travers toute la France le 21 février pour protester contre l'accord UE-Mercosur et les prix d'achat proposés par la grande distribution.
Alors que le monde paysan gronde, Emmanuel Macron a invité 1 000 jeunes agriculteurs à une réception à l’Elysée, à la veille du Salon de l'agriculture. Un coup de communication ? De jeunes exploitants ont confié à RT France leur perplexité.
En décidant d'exclure de nombreuses communes des zones défavorisées pour satisfaire aux critères de Bruxelles, le gouvernement a déclenché la colère des agriculteurs. D'abord dans le sud du pays, les blocages se multiplient désormais dans le centre.