Dans La Grande Interview, Grégory Petitjean reçoit Pascal Boniface, directeur de l'Institut de Relations Internationales et Stratégiques (IRIS), sur le thème «Diego Maradona, une figure politique derrière le génie sportif».
Un avion chargé d'aide médicale pour Cuba, en provenance de Chine, n'a pas pu atteindre la Havane. Le transporteur américain, responsable de la livraison, craignait l'application de sanctions de son gouvernement. Il a donc refusé de s'exécuter.
Envoyés en Italie et réclamés en France par certains députés, les médecins cubains apportent leur pierre à l'édifice de la lutte contre le coronavirus. RT France revient sur l'histoire de la coopération médicale internationale de Cuba depuis 1963.
Un médicament cubain est utilisé pour combattre les effets du coronavirus chinois. Les progrès biotechnologiques de Cuba ont permis le développement de l'Interferon Alfa 2b qui joue un rôle clé dans le traitement de l'épidémie.
C'est par Cuba que le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a choisi d'entamer sa tournée prévue en Amérique latine. Dès le soir de son arrivée, il s'est recueilli sur la stèle mémorielle de Fidel Castro à Santiago de Cuba.
Le Brésil, le Salvador, l'Equateur et la Bolivie, tous gouvernés par des alliés de Washington, ont décidé d'annuler la coopération avec Cuba en matière de santé. Des conséquences lourdes pour les pauvres de ces pays ainsi que pour l'île socialiste.
L'Assemblée générale de l'ONU a appelé, par une résolution, Washington à lever l'embargo économique imposé à Cuba. Sur 192 pays, seuls trois ont voté contre : les Etats-Unis, Israël et un nouveau cette année : le Brésil de Jair Bolsonaro.
L'ambassadeur de Cuba en France explique pour RT France comment son pays parvient, malgré l'embargo américain, à construire son propre modèle de développement. Au menu : souveraineté, non-ingérence, investissement dans l'humain, coopération.
Lors d'une visite à Cuba, Dimitri Medvedev a réaffirmé au président Miguel Diaz-Canel le soutien russe à son pays. L'île, sous embargo américain depuis 1962, vit une crise énérgétique d'ampleur depuis septembre.
L'Union européenne et Cuba comptent renforcer leurs liens politico-économiques et tout faire pour contrer les effets de la loi américaine Helms-Burton, qui menace les investissements étrangers sur l'île et que Washington veut imposer au monde.
En visite officielle à la Havane, le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov a réaffirmé le soutien de son pays à Cuba dans tous les domaines, pour aider à son développement et pour résister aux sanctions américaines contre l'île socialiste.
Le ministre cubain des Affaires étrangères a dénoncé les nouvelles sanctions américaines à son encontre. Déplorant leurs lourdes conséquences pour l'économie de Cuba, il a appelé la communauté internationale à réagir.
Le gouvernement cubain a répondu à la menace américaine de mettre en application le chapitre III de la loi Helms-Burton qui devrait peser lourdement sur l'économie de l'île. Une tentative de destabilisation qui ne semble pas effrayer les Cubains.
L'UE, premier partenaire commercial de Cuba, menace d'«utiliser tous les moyens à sa disposition» pour protéger ses intérêts. Washington envisage d'ouvrir la porte à des actions en justice contre les sociétés étrangères opérant dans l'île.
Alors que le président du Nicaragua Daniel Ortega s’apprête à ouvrir des négociations avec l'opposition pour mettre fin à la crise, le conseiller américain à la sécurité John Bolton a affirmé que les jours du dirigeant sud-américain étaient comptés.
La Havane célébrait ce 1er janvier les 60 ans de la victoire de la révolution. Ses dirigeants ont dressé un bilan positif des conséquences de cet événement, tout en fustigeant l'hostilité de la politique américaine qui asphyxie l'économie de l'île.
Investi le 1er décembre, Andrés Manuel Lopez Obrador, nouveau président mexicain, a décidé de diviser son salaire par deux, de vendre l'avion présidentiel et de transformer la luxueuse résidence d'Etat en centre culturel ouvert au public.
Le président cubain Miguel Diaz-Canel a rencontré le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un le 4 novembre à Pyongyang. Au menu : le renforcement de la coopération bilatérale entre leurs pays, tous deux dans le viseur de Washington.
Education gratuite, système de santé exemplaire, réduction drastique de la malnutrition. Le féroce embargo de son voisin, causant des milliards de dollars de pertes depuis 56 ans, n'a pas empêché la petite île de préserver ses acquis sociaux.
Après une décennie de forte solidarité entre les pays du sud sous la bannière de l'anti-impérialisme, la donne a changé. Mais si elles ont évolué, les initiatives de coopération visant à tenir tête à l'Oncle Sam n'ont pas disparu pour autant.