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Journaliste spécialiste de l'Amérique latine, Romain Migus analyse pour RT France les enjeux du «Sommet des Amériques», où le président mexicain ne se rendra pas en raison de l'exclusion par les Etats-Unis de Cuba, du Venezuela et du Nicaragua.
Dénonçant la décision des Etats-Unis de ne pas convier Cuba, le Venezuela et le Nicaragua au «Sommet des Amériques», le président du Mexique Andrés Manuel Lopez Obrador a annoncé ce 6 juin qu'il n'y prendrait pas part.
L'explosion qui a dévasté le 6 mai l'hôtel de luxe Saratoga, situé dans la capitale cubaine, a fait au moins 25 morts dont une ressortissante espagnole, selon un nouveau bilan officiel. Une cinquantaine de blessés est également à déplorer.
Le gouvernement cubain a appelé à trouver une solution diplomatique «sérieuse, constructive et réaliste» afin de résoudre la situation en Ukraine, trois jours après le déclenchement de l'opération militaire russe dans le pays.
Cuba a sévèrement critiqué le 19 février l'«expansion» de l'OTAN aux frontières russes mais aussi l'«hystérie propagandiste» de Washington, alors que le vice-Premier ministre russe, Iouri Borissov, était en visite officielle sur l'île.
«Les Etats-Unis ont une trajectoire néfaste en matière de respect des droits de l'homme, une trajectoire néfaste en matière de droits démocratiques pour leur population», a affirmé le vice-ministre cubain des Affaires étrangères.
Le Mexique a délivré une autorisation pour l'utilisation d'urgence d'Abdala, le vaccin développé par Cuba. Selon les scientifiques de l'île, il est efficace à plus de 90% pour prévenir les cas symptomatiques de Covid-19.
L'administration américaine a annoncé qu'elle maintenait à l'étude la désignation de Cuba comme Etat soutenant le terrorisme. Pour le chef de la diplomatie cubaine, les Etats-Unis ne disposent pas d'«éléments crédibles pour justifier» cette décision.
A Cuba, des opposants comptent organiser une mobilisation le 15 novembre. Le gouvernement cubain considère que ces protestations font partie d'une stratégie soutenue par Washington visant à changer de régime.
L'administration Biden a lancé un appel d'offre pour rendre opérationnel un centre de rétention pour migrants inutilisé depuis 2017 et se trouvant non loin du tristement célèbre camp de Guantanamo, à Cuba.
Asphyxié par l'embargo américain, ce pays voit la crise sanitaire déboucher sur une contestation populaire sans précédent. Une situation explosive qui risque d’accentuer les divisions dans la région. Comment Cuba gère-t-il ces bouleversements ?
Cuba va légaliser et encadrer les paiements en cryptomonnaies sur et à partir de l’île. Un moyen de contourner l’embargo financier imposé par Washington.
27 ans après une manifestation historique de l'opposition, des Cubains se sont rassemblés dans les rues de la capitale pour apporter leur soutien au gouvernement et à la révolution, portant des drapeaux et scandant «Longue vie à Fidel».
Le président américain a décrété de nouvelles sanctions contre la Havane en ajoutant à l'embargo et aux innombrables sanctions contre l'île de nouvelles mesures contre la police cubaine, après les manifestations des 11 et 12 juillet.
L'ambassadeur de Cuba à Paris a réagi sur RT France après l'attaque au cocktail Molotov qui a visé l'ambassade dans la nuit du 26 au 27 juillet. A l'instar du ministre cubain des Affaires étrangères, il dénonce l'attitude de Washington.
L'ambassade de Cuba à Paris a été la cible d'engins incendiaires le 26 juillet. La mission diplomatique a dénoncé une attaque «terroriste» et accusé les Etats-Unis de procéder à des «campagnes incessantes [...] qui encouragent ces comportements».
Deux avions-cargo russes chargés de matériel médical et de denrées alimentaires ont décollé d'un aérodrome de la région de Moscou pour Cuba. L'île est confrontée ces derniers jours à une forte hausse des cas de contaminations liées au Covid.
Six jours après des manifestations contre le gouvernement, des milliers de partisans de la révolution se sont rassemblés dans la capitale. Prenant la parole, le président cubain a dénoncé le «terrorisme médiatique» orchestré depuis Washington.
Les manifestations antigouvernementales inédites qui se sont déroulées à Cuba ont trouvé une résonance spectaculaire sur les réseaux sociaux, et notamment sur Twitter. Un analyste a démontré qu'il s'agissait en grande partie de comptes automatisés.
Joseph Biden – dont le pays impose un embargo à Cuba depuis 1962, condamné à 29 reprises par l'Assemblée générale de l'ONU – veut rétablir internet sur l'île socialiste et y envoyer des vaccins contre le Covid-19, alors que ce pays en produit.