L'Iran a convoqué les ambassadeurs d'Allemagne et de France à Téhéran pour protester contre la condamnation ferme, la veille par l'Union européenne et Paris, de l'exécution de l'opposant iranien Rouhollah Zam.
21 ressortissants irakiens condamnés à mort pour terrorisme ont été exécutés dans le pays. Depuis fin 2017, les tribunaux du pays ont ordonné des centaines de peines capitales, y compris contre des ressortissants français.
A la suite du meurtre médiatisé d'une jeune femme à Tunis, le président de la Tunisie, Kais Saied, a pris position pour la fin du moratoire sur la peine de mort dans son pays et expliqué souhaiter que la sentence capitale soit appliquée.
55% des Français seraient favorables au rétablissement de la peine de mort, abolie en 1981, selon une étude publiée le 14 septembre, ce qui représenterait une forte augmentation par rapport à l'année précédente.
Le président américain demande un procès rapide et la peine capitale si les deux policiers gravement blessés par balle par un homme à Compton décèdent. La loi californienne permet cette sanction, même si elle n'a pas été appliquée depuis 2006.
La justice iranienne a suspendu l'exécution de trois jeunes hommes condamnés à mort en novembre 2019. Ils sont reconnus coupable de «collusion en vue d'attenter à la sécurité intérieure» et de «destruction de biens publics».
Le prisonnier fédéral Daniel Lee, âgé de 47 ans, condamné à mort en 1999 pour un triple meurtre, a été exécuté à Terre Haute (Indiana). L’exécution de cet ancien suprémaciste blanc est la première au niveau fédéral depuis 17 ans.
La Cour suprême iranienne a confirmé la peine capitale prononcée à l'encontre de trois individus arrêtés dans la foulée des manifestations de novembre 2019. La défense réclame la tenue d'un nouveau procès.
Reconnu coupable d'avoir vendu des informations sur le programme de missiles iranien à la CIA, Reza Asgari a été exécuté. La mise à mort d'un autre Iranien accusé d'avoir aidé Washington à traquer le général Soleimani sera exécutée prochainement.
L'un des fils du journaliste Jamal Khashoggi a publié ce 22 mai sur Twitter un message de pardon aux tueurs de son père. Cet assassinat avait été attribué aux services secrets saoudiens, lors d'un procès en décembre dernier.
L'Arabie saoudite a supprimé la flagellation de son système pénal, une peine très critiquée comme le bilan en matière de droits de l'Homme de ce pays par les ONG internationales. La peine pourra être remplacée par de la prison ou des amendes.
Le rocambolesque président philippin, Rodrigo Duterte, a une nouvelle fois suscité la polémique. Afin de faire respecter le confinement instauré pour lutter contre le Covid-19, le chef d'Etat a menacé de mort toute personne contrevenant à ses ordres.
Sur le plateau de la télévision i24News, Meyer Habib s'est offusqué du sort de Kobili Traoré, l'assassin de Sarah Halimi. Pour le député franco-israélien, cet homme qui a été déclaré pénalement irresponsable, mérite la peine de mort.
Cinq individus ont été condamnés à mort et trois à 24 ans de prison dans l'affaire du meurtre du journaliste saoudien Jamal Khashoggi en octobre 2018. L'ONU déplore que l'enquête n'ait pas cherché à identifier les «cerveaux» de l'opération.
Le tribunal antiterroriste de Salé a confirmé en appel la peine de mort pour les assassins de deux touristes scandinaves, décapitées en décembre dernier, alors qu'elles campaient dans les montagnes.
La participation du Saoudien Mohammed Al-Issa à une conférence sur le dialogue interreligieux organisée à Paris passe mal. Cet ancien ministre de la Justice est accusé, entre autres, d'être derrière de nombreuses exécutions capitales.
Onze Français arrêtés en Syrie ont été condamnés à mort en Irak pour leur appartenance à Daesh. Le ministre de la Justice Nicole Belloubet a fait savoir qu'une initiative portée par plusieurs pays européen visait à créer un tribunal international.
Bilel Kabaoui et Mourad Delhomme, les deux derniers individus d'un groupe de Français acheminés de Syrie pour leur procès, ont été jugés et condamnés en Irak à la peine capitale pour avoir fait allégeance à l'Etat islamique.
Deux Français ont été condamnés à mort par un tribunal antiterroriste de Bagdad le 2 juin, pour appartenance au groupe djihadiste Daesh en Irak. Cela porte à 9 le nombre de Français ayant pour l'heure écopé de la peine capitale dans le pays.
La France assure faire le nécessaire pour rappeler à Bagdad son opposition à la peine de mort, alors que des ressortissants français détenus en Irak ont été condamnés dans ce pays à la peine capitale.