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Le remaniement gouvernemental est intervenu ce 4 juillet avec notamment le remplacement des ministres défaits lors des élections législatives et le départ de Damien Abad, accusé de violences sexuelles. Un conseil des ministres est prévu à 16 heures.
Prenant acte de la remontée des taux et de l’alourdissement de la dette, le ministre de l’Economie et des Finances a estimé que la «cote d'alerte» était atteinte, au moment où le gouvernement prépare un projet de loi sur le pouvoir d'achat.
Face à l'inflation et son corollaire, la baisse du pouvoir d’achat, le ministre de l'Economie Bruno Le Maire, recevant les organisations patronales à Bercy, a appelé les entreprises qui le peuvent à augmenter les salaires.
Trois partis macronistes vont se réunir pour les législatives dans un même mouvement, se répartissant les circonscriptions. La République en marche se rebaptise et devient Renaissance. Plusieurs ministres ont déjà annoncé se lancer dans la bataille.
Bien que réticent, le ministre de l’Economie n'a pas totalement exclu le recours à l’article 49, alinéa 3 pour faire passer la réforme des retraites. Au lendemain du premier tour, le président n'avait pas pourtant écarté un référendum sur ce sujet.
Sur la radio Europe 1, le ministre français de l'Economie a estimé qu’après le charbon, il fallait cesser les importations européennes de pétrole de Russie mais Paris peine à vaincre les réticences de plusieurs partenaires européens.
Lors du Conseil européen pour les affaires économiques et financières qui s'est tenu le 5 avril, la Pologne a bloqué un accord permettant d'instaurer la taxe minimale sur les multinationales. Un blocage incompréhensible selon Bruno Le Maire.
Fragilisé par le rapport de la commission d'enquête sénatoriale et attaqué par les oppositions, le gouvernement a organisé une conférence de presse pour déminer l'affaire du recours à des consultants du secteur privé, qui aurait été selon lui limité.
Le ministre français de l'Economie a fait part de sa volonté de geler les avoirs et biens de personnalités russes, tandis que le Premier ministre polonais a évoqué la perspective d'une confiscation des biens et actifs russes dans son pays.
Selon le ministre de l'Economie, les impacts du conflit ukrainien sur les prix des énergies seront d'une ampleur semblable à celle de la crise de 1973. Il a précisé que l'Etat ne serait pas capable de compenser intégralement ce choc pour les ménages.
Alors qu'un embargo sur le secteur énergétique russe est envisagé par l'Occident, le ministre de l'Economie a estimé que la population pourrait être amenée à réduire sa consommation, pour compenser un choc majeur sur les prix.
Sur Franceinfo, le ministre de l’Economie et des Finances annoncé une «guerre économique et financière totale à la Russie». Il a évoqué l’examen d’un nouveau «train de sanctions» et estimé que ces dernières étaient efficaces.
Le ministre de l'Economie et des Finances a affirmé devant la presse que l'UE voulait «isoler financièrement la Russie» et «assécher» ses financements. Il a également affirmé que la France était «peu exposée» à la Russie.
Cruellement mise en lumière par la pandémie, la désindustrialisation du pays a fait l'objet d'une attention renouvelée de la part du gouvernement, qui se targue d'avoir inversé la tendance. Qu'en est-il et que proposent les rivaux d'Emmanuel Macron ?
Le ministre français de l'Economie a jugé que le terme d'«invasion» employé par Joe Biden n'était «pas le mot approprié». Il a par ailleurs admis que la crise en Ukraine pouvait mener à «une augmentation» du prix du gaz en France.
«Aucune option, à partir du moment où on ouvre une nouvelle ère, ne doit être écartée», a affirmé le ministre de l'Economie, alors que l'entreprise est en difficulté et que le président a annoncé la construction de nouveaux réacteurs nucléaires.
Le déficit s'est creusé à à 84,7 milliards d'euros, selon les douanes, représentant le pire déficit commercial de l'histoire de France. Les causes sont liées en partie à la hausse des importations bien que Bruno Le Maire relève des éléments positifs.
Dans un rapport, le Fonds monétaire international invite l'Hexagone à redresser ses finances publiques rapidement. Il propose entre autres de remettre à l'ordre du jour la réforme des retraites pour le quinquennat suivant.
Face à l'augmentation continue des tarifs de l'énergie, le gouvernement multiplie les gestes et les mesures de soutien, en imposant notamment à EDF de revendre plus d'électricité à ses concurrents. Non sans conséquences pour l'avenir ?
Le gouvernement va demander à EDF de vendre davantage d'électricité à bas prix à ses concurrents, afin de tenir sa promesse de limiter la hausse de la facture d'électricité des Français à 4% en 2022, malgré la flambée des cours.