Pour la huitième soirée consécutive, des centaines de personnes sont descendues dans les rues de Barcelone pour soutenir le rappeur Pablo Hasél. La manifestation a été émaillée d'incidents avec les forces de l'ordre.
La colère suscitée par l'incarcération du rappeur espagnol ne faiblit pas. Les nuits d'affrontements avec la police se poursuivent depuis son arrestation par la police catalane à l'université de Lleida le 16 février. Des interpellations ont eu lieu.
Les manifestations violentes contre l'incarcération du rappeur catalan se sont poursuivies à Barcelone pour la quatrième nuit consécutive. Le Premier ministre Pedro Sanchez et la maire de la capitale catalane se sont exprimés sur la situation.
Le 17 février, à l'occasion d'une visioconférence organisée avec les chefs de partis, le président russe a réagi à la décision ukrainienne de supprimer trois chaînes de télévision. «Un deux poids, deux mesures» pour le chef de l'Etat russe.
Le gouvernement de Boris Johson a annoncé le 16 février un projet de loi pour «garantir la liberté d'expression dans les universités». En cause notamment, la culture de la dénonciation qui empêcherait certains universitaires de s'exprimer librement.
Philosophe et essayiste, Anne-Sophie Chazaud en appelle à la plus grande vigilance citoyenne face à un exécutif qui empile les inepties. L'une des dernières en date, selon elle : la tentative de dissoudre Génération identitaire.
Un sondage commandé par le parti de l'acteur anglais Laurence Fox établit que 49% des Britanniques craignent que la liberté d'expression soit en danger, notamment sur le sujet des transsexuels et de l'immigration.
L'actrice jouant le rôle de la rebelle Cara Dune dans la série décrivant l'univers Star Wars a été congédiée après avoir comparé la situation des sympathisants du parti républicain à celui des Juifs sous le régime nazi.
Un député de la majorité a proposé un amendement afin d'instaurer une obligation pour les chaînes de télévision de rappeler les condamnations de leurs intervenants pour incitation à la haine. Le nom d'Eric Zemmour, pas cité, a été sous-entendu.
L'ancienne journaliste de Charlie Hebdo, Zineb El Rhazoui, fait partie de la liste des nominations pour le prix Nobel de la paix 2021. Engagée contre l'islamisme, la journaliste vit sous protection policière depuis les attentats de janvier 2015.
Le syndicat accuse le Conseil de déontologie journalistique et de médiation (CDJM) de se «comporter de facto en organisme de censure» suite aux accusations portées contre Valeurs actuelles portant sur la saga-fiction mettant en scène Danièle Obono.
Le ministère russe des Affaires étrangères a encouragé la mise en place de règles internationales sur la modération des contenus des réseaux sociaux, afin d'éviter une «censure arbitraire et opaque» de la part de ces derniers.
Arrestations, expulsion, intimidations... En Estonie, Lituanie et Lettonie, les journalistes travaillant pour des médias russes font les frais de diverses mesures hostiles. Moscou y voit une tentative de faire taire les points de vues alternatifs.
Banni des réseaux sociaux, menacé de destitution par le camp démocrate, la fin de mandat de Donald Trump soulève de nombreuses questions sur la liberté d'expression et l'influence politique des Gafam.
Quelle légitimité a Twitter pour juger qui peut s'exprimer ? François Costantini, géopolitologue, et Cédric Dubucq, avocat, réagissent au bannissement de Trump par Twitter.
Frédéric Taddeï reçoit Denis Robert, journaliste, Stéphanie Gibaud, lanceuse d'alerte, Eric Denécé, directeur du Centre Français de Recherche sur le Renseignement, et Drieu Godefridi, philosophe.
Après le blocage de son compte personnel par Twitter, Donald Trump a annoncé, via le compte officiel du président des Etats-Unis, qu'il examinait la possibilité de créer une plateforme de partage de contenus. Twitter a rapidement retiré ces messages.
La «libération immédiate» de la journaliste citoyenne Zhang Zhan, condamnée le 28 décembre à quatre ans de prison, a été demandée par l’Union européenne et les Etats-Unis à la Chine.
Le quai d'Orsay a demandé la «libération rapide» de Loujain al-Hathloul condamnée à cinq ans et huit mois de prison en Arabie Saoudite. La militante des droits de l'Homme a été condamnée pour s'être mobilisée pour obtenir le droit de conduire.
L'organisation internationale ayant pour objectif de défendre les droits de l’homme a exhorté le Sénat à amender la proposition de loi décriée, estimant que son très controversé article 24 portait en l'état «atteinte à la liberté d'expression».