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Face à l'inflation et son corollaire, la baisse du pouvoir d’achat, le ministre de l'Economie Bruno Le Maire, recevant les organisations patronales à Bercy, a appelé les entreprises qui le peuvent à augmenter les salaires.
Geoffroy Roux de Bézieux s’est dit ce 12 mai opposé à la poursuite du «quoi qu’il en coûte ». En revanche, le patron des patrons a proposé des «chèque essence » pour les salariés venant travailler en voiture.
Geoffroy Roux de Bézieux a prévenu que l'économie de l'Hexagone allait subir une «inflation durable». Il a appelé à une baisse des impôts de production et regretté un «environnement que la plupart des chefs d’entreprise n’avaient jamais connu».
L'organisation patronale a dit le 11 avril juger le programme économique et social du président sortant préférable à celui de sa rivale Marine Le Pen. Selon le Medef, l'élection de celle-ci ferait «décrocher» l'économie française.
«Quand vous écoutez les Macron, les Zemmour, les Le Pen, ils sont différents mais ils ont un programme commun [...] : ils écoutent le Medef», a lancé le candidat communiste devant ses partisans à Toulouse.
L'idée d'étendre le pass sanitaire aux entreprises suscite de fortes réticences voire de l'hostilité au sein des organisations patronales et syndicales consultées ce 20 décembre par la ministre du travail Elisabeth Borne.
Dans une interview, le président du Medef évoque les difficultés de recrutement des entreprises et redoute des augmentations salariales généralisées. Il soutient aussi la remise en cause de la politique énergétique européenne.
Face à des chutes importantes du chiffre d'affaires dans les centres commerciaux depuis la mise en place du pass sanitaire, le président du Medef a demandé l'arrêt de celui-ci pour ces espaces qui subissent une baisse majeure de leurs ventes.
Le redémarrage de l’économie française fait craindre au patronat des difficultés de recrutement qui aboutiraient à des hausses de salaire. Et pour le syndicat FO, c’est la principale question de la rentrée sociale.
A la veille de l'université de rentrée du Medef, Bruno Le Maire a demandé aux patrons d'améliorer les rémunérations, en particulier «pour ceux qui ont les revenus les plus faibles», sans toutefois penser exclusivement à une augmentation des salaires.
CCFD Terre Solidaire, Oxfam et Transparency International affirment que le document de position française dans les négociations européennes sur les obligations de transparence des entreprises a été «rédigé en partie» par le mouvement patronal.
Le Medef dénonce les décisions gouvernementales d'un reconfinement de 16 départements, s'inquiétant également d'un retour de la «folie bureaucratique». Le ministre Bruno Le Maire défend pour sa part ce «sur-mesure» pour les commerces.
Le patron des patrons a jugé que la réforme des retraites était condamnée parce que ni les partenaires sociaux ni les citoyens n’y sont prêts selon lui. Il juge toutefois, comme le ministre du Budget, qu’une réforme est toujours nécessaire.
Alors que le scénario d'un troisième confinement fait partie des pistes discutées par l'exécutif, le président du Medef, Geoffroy Roux de Bézieux, appelle à autoriser l'ouverture de tous les commerces afin de ne pas «détruire l'économie».
Geoffroy Roux de Bézieux a vivement réagi au nouveau confinement annoncé par le président de la République. Le patron des patrons parle d’«injustice», d’«erreur» et annonce entre 50 et 75 milliards d’euros de perte de PIB.
Geoffroy Roux de Bézieux a lancé un appel aux entreprises françaises à faire le dos rond face aux appels à boycotter leurs produits dans le monde musulman. Le Quai d’Orsay va tenter de défendre la position de la France.
En cours d'élaboration d'un budget intégrant 100 milliards d'euros pour soutenir la relance, le gouvernement pourrait se servir dans les caisses de l'ex-1% Logement. Une «réforme de fond» à discuter avec les partenaires sociaux est aussi évoquée.
Opposition et syndicats ont réagi au plan de relance gouvernemental présenté ce 3 septembre par Jean Castex. Ils jugent ces annonces trop tardives et réclament des contreparties aux entreprises. Seul le patronat s'est montré satisfait.
Le ministre de l'Economie a assuré que l'Etat allait soutenir les entreprises du bâtiment. Il les a suppliées de limiter au strict minimum le recours aux travailleurs détachés. Marine Le Pen et Florian Philippot ont moqué cette intervention.
Le Premier ministre a donné quelques orientations du futur plan de relance. Il a promis que les entreprises se verraient notamment offrir une baisse d'impôts de production de 10 milliards d'euros. Le Medef a applaudi le chef du gouvernement.