SIDERANT

En présence de la maire Anne Hidalgo et de l'ambassadeur d'Algérie en France Abdelkader Mesdoua, des dizaines de personnes ont rendu hommage aux victimes de la répression du 17 octobre 1961, épisode sanglant de la guerre d'Algérie.
La sortie de l’ancien patron de la DGSE Bernard Bajolet sur la santé chancelante du président algérien a attisé le courroux d’Alger. Le ministre algérien des Moudjahidines (anciens combattants) l'a appelé à respecter «son devoir de réserve».
L’écrivain Akli Tadjer a posté sur son compte Facebook l'e-mail d’une enseignante d’un lycée de la Somme dans lequel elle explique que certains élèves refusent catégoriquement d’étudier l’une de ses œuvres portant sur la guerre d’Algérie.
Le chef de l'Etat devrait se rendre au domicile de la veuve du mathématicien communiste et militant pour l'indépendance de l'Algérie Maurice Audin, disparu en 1957. Le député LREM Cédric Villani a salué un «moment historique».
Alors qu’il dénonçait au cours d’un discours la situation sécuritaire au Proche-Orient, le président turc a étayé son propos avec une référence historique douteuse, accusant la France d'avoir massacré cinq millions de musulmans en Algérie.
Après une question prioritaire de constitutionnalité (QPC), le Conseil constitutionnel a retoqué une loi disposant que seules les victimes françaises de violences pendant la guerre d’Algérie pouvaient bénéficier d’une pension.
Alors qu’il est en voyage dans le Maghreb pour tenter de relancer les négociations sur le conflit du Sahara occidental, le secrétaire général de l’Organisation des Nations unies (ONU) s'est recueilli en mémoire des combattants de la guerre d’Algérie.