RIPOSTE

Lors d'un déplacement à Bahreïn, le souverain pontife a rencontré des responsables politiques et religieux sunnites et des membres de la communauté chrétienne. Fidèle à son discours œcuménique, le pape François a prôné un dialogue interreligieux.
Il y a 10 ans, au Moyen-Orient naissait un mouvement de contestation qui s’est propagé à une vitesse phénoménale et dont les conséquences ont modifié le paysage géopolitique d’une région toute entière. Que reste-t-il aujourd’hui du printemps arabe ?
Téhéran n'a guère apprécié que le président français utilise, dans un tweet, le terme «Golfe arabo-persique». «Le Golfe se trouvant au sud [de l']Iran, n’a qu’un seul nom : le Golfe Persique», a réagi le porte-parole de la diplomatie iranienne.
Moscou, Pékin et Téhéran déploient des navires de guerre à proximité du Golfe persique pour quatre jours d’exercices communs. Les Etats-Unis et la France tentent de leur côté d’organiser des coalitions navales dans la région.
Dénonçant la présence de «forces étrangères» dans le Golfe, l'Iran a annoncé la présentation à l'ONU d'un plan de coopération régionale, en tendant «la main de l'amitié et de la fraternité» aux autres pays de la région.
Le réseau social a décidé de bloquer les comptes du plusieurs personnalités et médias de langue farsi. Twitter invoque pour se justifier «le harcèlement coordonné [...] de la communauté bahaïe», mais les médias incriminés ne sont pas convaincus.
Selon CNN, le Pentagone s’apprêterait à déployer 500 soldats supplémentaires en Arabie Saoudite pour contrer la menace iranienne. Une annonce non confirmée par l’exécutif américain alors que la monarchie dérange de plus en plus outre-Atlantique.
Les Pasdaran ont indiqué avoir «confisqué» un pétrolier britannique, le Stena Impero, dans le détroit d'Ormuz pour «non respect du code maritime international». Le Royaule-Uni a immédiatement réagi, parlant d'une «saisie inacceptable».
Au cours d'un entretien téléphonique en amont du G20, le président iranien a tenu à rassurer son homologue français : Téhéran ne cherche aucunement la confrontation avec Washington, mais sera intransigeant sur son intégrité territoriale.
Alors que l'Iran a abattu un drone de la Marine américaine et que le président des Etats-Unis aurait ordonné des frappes de rétorsion sur des cibles stratégiques iraniennes avant de se rétracter, la situation dans le golfe d'Oman demeure instable.
La cinquième flotte américaine a reçu des appels de détresse après que deux pétroliers auraient été attaqués dans le Golfe d'Oman. Les deux navires auraient été évacués. Les prix du pétrole ont bondi à la suite de cette annonce.
Sans grande surprise, la deuxième édition du Congrès de Versailles voulue par le président ne suscite pas plus d'enthousiasme chez ses opposants que la première. Les Insoumis prévoient une «manif en ligne» et des élus LR bouderont «le souper du roi.»
Il y a un an éclatait une crise diplomatique d'envergure entre le Qatar et ses voisins du Golfe avec à leur tête l'Arabie saoudite. Aujourd'hui, ces tensions restent à leur paroxysme et rien ne présage un réchauffement des relations.
Le nouveau chef de la diplomatie américaine a affiché en Arabie saoudite et en Israël la ligne dure de son pays vis-à-vis de Téhéran. Pendant ce temps, Paris, Londres et Berlin se sont entendus pour apporter leur soutien à l'accord sur le nucléaire.
Dans une interview au magazine américain The Atlantic le 2 avril, le prince héritier saoudien Mohamed ben Salmane a confié qu'Ali Khamenei était pire qu'Hitler et que l'Arabie saoudite «essayait d'aider le peuple yéménite».
Une tempête du désert a fait trembler l’Arabie saoudite : la purge anti-corruption opérée en novembre par le prince héritier Mohammed ben Salmane. Le jeune réformateur réussira-t-il à refaçonner le royaume ultraconservateur selon sa vision ?
Alors que les relations diplomatiques entre Doha et Abou Dhabi sont au plus mal, les Emirats arabes unis accusent le Qatar d'avoir envoyé des avions de chasse intercepter l'un de leurs avions de ligne. Doha dément l'information.
Si Israël n'a pas de relations diplomatiques officielles avec les pays arabes, Benyamin Netanyahou assure qu'ils entretiennent une «coopération secrète». Une confession qui s'inscrit dans le combat de l'Etat hébreu pour contrer l'influence de l'Iran.
Dans un contexte de tensions régionales, la chaîne saoudienne Al Arabiya a diffusé une modélisation représentant des scénarios de violation de l'espace aérien de Riyad. Et le sort réservé à un avion qatari transportant des civils a de quoi inquiéter.
Francis Matthew, journaliste reconnu dans le golfe persique, a avoué lors de son interrogatoire avoir lancé un marteau à la tête de sa femme, provoquant sa mort. Il assure pourtant n'avoir pas eu l'intention de la tuer.