SIDERANT

A l'issue du recomptage des voix de l'élection présidentielle américaine dans le Wisconsin, remporté par le président-élu Donald Trump, l'issue du scrutin dans cet Etat clé reste inchangé. Le Républicain creuse même son écart avec Hillary Clinton.
La leader du parti Vert américain a fait savoir qu'elle abandonnait l'idée de demander un recomptage des voix de la présidentielle américaine en Pennsylvanie, un Etat remporté par Donald Trump, en raison du coût extrêmement élevé de cette opération.
L'accession à la présidence ne semble pas apaiser Donald Trump. Les médias dominants, notamment en raison de l'écho donné à l'initiative de recomptage des voix dans trois Etats, l'ont fait sortir de ses gonds et incendier la presse. Sur Twitter.
Pour s'assurer que les élections n'ont pas été entachées de fraudes, Hillary Clinton et Jill Stein se sont engagées dans un recomptage des voix dans certains Etats. Mais c’est au tour du républicain de «se défendre».
L'équipe de l'ex-candidate américaine a annoncé qu'elle participerait au nouveau décompte des voix dans le Wisconsin tout en soulignant n'avoir pas encore constaté d'irrégularités lors du scrutin remporté par son rival Donald Trump.
Une ex-candidate indépendante à la Maison Blanche, l'écologiste Jill Stein, a officiellement soumis une demande de recomptage des voix de l'élection présidentielle américaine dans le Wisconsin. Une opération qui pourrait débuter la semaine prochaine.
Des écologistes américains ont recueilli plus de 2 millions de dollars pour pouvoir recompter les résultats par vote électronique dans trois Etats disputés. La candidate Jill Stein se défend d'aider Hillary Clinton à contester les résultats.
Susan Sarandon a annoncé qu'elle ne voterait pas par solidarité féminine pour Hillary Clinton, même pour empêcher la victoire de Donald Trump. «Clinton gagnera : elle a le soutien des néoconservateurs, de la presse et des réseaux», a-t-elle déploré.
D'après les sondages beaucoup d'Américains serairent «à la recherche d'une option autre que Trump et Clinton», alors que, selon la journaliste Danielle Ryan, «les grands partis ne veulent vraiment reconnaître qu'il existe des alternatives viables».
«Dans les deux camps, les gens rejettent le leadership de leur parti» estime Jill Stein, la candidate des Verts américains.
«Il y a une rébellion en cours aux Etats-Unis» a déclaré Jill Stein, la candidate des Verts américains, pour qui ni Clinton ni Trump ne constituent un bon candidat à la présidence des Etats-Unis, car ils ont «énormément de choses en commun».