SIDERANT

Les dirigeants iraniens ont rendu hommage à Qassem Soleimani, trois ans après son assassinat par un drone américain. De Gaza à l'Irak en passant par le Liban, des responsables ont également fait honneur au défunt général de la force al-Qods.
A l'occasion de la semaine des Bassidji, le Guide suprême iranien, Ali Khamenei, a dénoncé l'attitude des Américains et de leurs alliés concernant les manifestations en Iran. Il a aussi expliqué qu'une négociation avec les Etats-Unis serait inutile.
Le président syrien a souligné «l'importance de la poursuite de la coopération face aux tentatives des Etats-Unis de susciter l'instabilité dans la région». De son côté, Ali Khamenei a mis en lumière des relations «vitales» entre Téhéran et Damas.
Le 15 janvier, le réseau social a annoncé la fermeture d'un compte qui avait publié une vidéo appelant à la vengeance pour l'assassinat du général Qassem Soleimani. L'ancien président Donald Trump y apparait notamment.
A l'occasion de la «Journée de Jérusalem», l'ayatollah Khamenei a de nouveau tenu des propos véhéments à l'encontre d'Israël et condamné les récentes normalisations des relations entre ce pays et plusieurs Etats arabes
Un compte Twitter lié à l'ayatollah Ali Khamenei a été suspendu après une publication réclamant la vengeance du général Soleimani et menaçant Donald Trump, commanditaire de son assassinat.
Ali Khamenei s'est exprimé à propos de la présidentielle américaine sur les réseaux sociaux. L'ayatollah a évoqué un «spectacle» alors que le scrutin n'a toujours pas livré son verdict.
Ali Khamenei, le guide suprême iranien, a fustigé le comportement des autorités françaises, et d'Emmanuel Macron en particulier, concernant les caricatures du prophète Mahomet. Il s'est en outre félicité de la mobilisation contre celles-ci.
La réédition de caricatures de Mahomet, le prophète de l'islam, par le journal satirique français Charlie Hebdo est un grand péché impardonnable, a jugé le guide suprême d'Iran, Ali Khamenei.
Le guide suprême d'Iran, Ali Khamenei, a catégoriquement rejeté l'idée de discuter de ses programmes balistique et nucléaire avec Washington pour ouvrir d'éventuelles négociations : «il n'est pas logique de se soumettre aux demandes de l'agresseur.»
40 ans après la fin de leurs relations diplomatiques, l'Iran et les Etats-Unis entretiennent leur rivalité. Cependant, en pleine épidémie de coronavirus, les mesures de rétorsions économiques appliquées contre la République islamique sont contestées.
Le président et le guide suprême iraniens ont tous deux rejeté les propositions d'aide humanitaire américaine dans la lutte contre le Covid-19 alors que le pays peine à combattre l'épidémie, notamment en raison des sanctions de Washington.
Téhéran n'a guère apprécié que le président français utilise, dans un tweet, le terme «Golfe arabo-persique». «Le Golfe se trouvant au sud [de l']Iran, n’a qu’un seul nom : le Golfe Persique», a réagi le porte-parole de la diplomatie iranienne.
Ali Khamenei a tenu à la mosquée Mosalla un discours dans lequel il est revenu sur l'assassinat du général Soleimani par les Etats-Unis. Il a également abordé le cas du crash du Boeing ukrainien et les négociations avec l'Europe sur le nucléaire.
Dans une allocution à Washington, Donald Trump a annoncé qu'aucun Américain ni Irakien n'avait été touché par les attaques iraniennes contre deux bases militaires en Irak. Selon lui, l'Iran «semble reculer».
Répondant à Donald Trump, qui a accusé l'Iran d'être derrière les récents événements antiaméricains en Irak, le Guide suprême iranien a conseillé à Washington de chercher la source de la contestation dans ses propres «crimes».
Contrairement aux années précédentes, Emmanuel Macron n’a pas adressé ses vœux de Noël aux Français. Rompant avec la tradition, le président de la République a été la cible de nombreuses critiques.
Hassan Rohani et Ali Khamenei ont qualifié les manifestations qu'a connues l'Iran ces derniers jours de «complot» diligenté par Israël et les Etats-Unis. Des sympathisants du gouvernement ont entamé des rassemblements à travers le pays.
Ali Khamenei a expliqué lors d'un discours à Téhéran que les appels à la «disparition d'Israël» ne visaient pas le «peuple juif» mais bien le pouvoir israélien. Et ce afin de soutenir les Palestiniens dans leur lutte pour l'indépendance.
Le Trésor américain a placé, ce 4 novembre, neuf proches de l'ayatollah Ali Khamenei sur liste noire. Une décision qui intervient alors que l'Iran célèbre le 40e anniversaire de la prise d'otages de l'ambassade américaine à Téhéran.