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La victoire de la coalition des droites emmenée par Giorgia Meloni a été saluée par la droite, tandis que la gauche s'est inquiétée de l'arrivée au pouvoir d'«héritiers de Mussolini». Le gouvernement a indiqué partager ces inquiétudes.
Alors que l'Italie s'apprête à se rendre aux urnes le 25 septembre, Ursula von der Leyen a évoqué de possibles mesures contre Rome «si les choses vont dans une direction difficile», irritant l'ensemble du spectre politique italien.
La coalition des droites italiennes, menée par le parti conservateur Fratelli d'Italia, a publié un programme de gouvernement en vue des élections de septembre 2022. Bien qu'eurosceptique, il garantit les engagements de la péninsule envers l'UE.
Silvio Berlusconi compte faire son retour au Sénat lors des élections anticipées du 25 septembre, bien qu'étant au centre de plusieurs affaires. Il avait quitté la Chambre haute en raison d'une condamnation pour fraude fiscale en 2013.
Le président italien Sergio Mattarella a été réélu au cours d'un vote qui a mis à jour les grandes divisions politique italiennes. L'intéressé avait pourtant rejeté une telle éventualité.
Inquiet pour la liberté de pensée des croyants, le Vatican est intervenu auprès de l'ambassade d'Italie qui lui est attachée afin de demander au gouvernement de modifier un projet de loi sur l'homophobie débattu au Parlement.
Silvio Berlusconi a fait la proposition le 15 juin de créer un parti de centre-droit unique en Italie, qui comprendrait son parti Forza Italia et celui de ses alliés. Mais ces derniers lui ont opposé une fin de non-recevoir.
La nièce de Marine Le Pen s'est livré à un discours très théorique lors d'un colloque sur le sujet du «national-conservatisme», organisé par un intellectuel israélien, en présence notamment du dirigeant hongrois Viktor Orban.
Une alliance de droite menée par Matteo Salvini a remporté haut la main des élections régionales en Ombrie, délogeant au passage la gauche dont c'était un fief historique et infligeant un grave revers à la coalition au pouvoir en Italie.
Après l'éclatement de la coalition en Italie entre le M5S et la Ligue, déclenché par Matteo Salvini, l’ancien président du Conseil des ministres italien Matteo Renzi est sorti du bois. Objectif : éviter coûte que coûte des élections anticipées.
Berlusconi ayant ouvert la voie à une alliance entre le M5S et la Ligue, le rédacteur en chef du mensuel Ruptures Pierre Levy estime que c'est là le cauchemar de Bruxelles – un gouvernement «anti-système» – qui se précise en Italie.
Alors que Silvio Berlusconi a laissé le champ libre pour une alliance entre la Ligue et le Mouvement 5 étoiles pour former une coalition gouvernementale en italie, Ludmila Acone assure que «les deux partis sont très différents».
Silvio Berlusconi a donné son feu vert le 9 mai à un éventuel accord gouvernemental entre son alliée la Ligue (droite anti-immigration) et le Mouvement 5 étoiles (M5S, antisystème), une démarche susceptible de mettre fin au blocage politique.
Plus d'un mois après des élections désastreuses pour les partis traditionnels, ne réussissant pas à s'entendre avec la Ligue, le Mouvement 5 étoiles envisage désormais de proposer un accord au Parti démocrate, pourtant grand perdant des élections.
Le 24 mars, un accord entre le Mouvement 5 étoiles et la coalition de droite a été signé pour les présidences de la Chambre des députés et le Sénat en Italie. La signature prochaine d'un accord gouvernemental s'annonce en revanche plus compliquée.
L'ancien chef du gouvernement italien poursuit son retour en politique, optant la fermeté sur la question migratoire dans l'intention de recueillir le plus de voix possible aux législatives de mars. Il promet l'expulsion de 600 000 migrants.
L'ancien chef du gouvernement italien a salué la tribune co-signée par Catherine Deneuve, qui prône pour les hommes la «liberté d’importuner» les femmes. Une tribune qui prend le contre-pied des campagnes #MeToo ou #BalanceTonPorc.
L'ancien président du Conseil italien, Silvio Berlusconi, fait l'objet d'une enquête. Il est soupçonné d'être lié à trois attentats perpétrés par la mafia au début des années 1990 et ayant fait six morts.
La Lombardie et la Vénitie organisent le 22 octobre un référendum pour réclamer à Rome davantage d'autonomie : longtemps passé inaperçu, ce scrutin prend une teinte particulière avec le contexte en Catalogne.
Un candidat au poste de maire de Rome a gagné les cœurs des amoureux des chats, en promettant d’amener 500 000 matous pour débarrasser la ville des rats. Il lui reste une petite chose à faire : gagner le scrutin et ne pas oublier ses promesses.