POLEMIQUE

Salah Abdeslam, seul membre du commando des attentats du 13 novembre 2015 encore en vie, a été reconnu coupable de tentative de meurtre à caractère terroriste par la justice belge ce 23 avril et condamné à vingt ans de prison.
Mohamed Abdeslam, frère du djihadiste Salah Abdeslam, suspect clé des attentats du 13 novembre 2015 à Paris, a été inculpé puis écroué dans le cadre d'une enquête sur un braquage commis fin janvier à Molenbeek.
Selon le média belge De Standaard, l'avocat de Salah Abdeslam, Me Sven Mary, a reçu plusieurs menaces de mort par e-mail et sur les réseaux sociaux. Sa famille a également été visée.
Le procès de Salah Abdeslam qui démarre le 5 février au matin à Bruxelles préfigure celui des attentats du 13 novembre 2015 prévu à Paris. D’ores et déjà, le terroriste a fait savoir qu’il ne souhaitait pas répondre aux questions et a invoqué Allah.
D'après un texte retrouvé dans un ordinateur en Belgique et attribué au terroriste Salah Abdeslam, celui-ci évoque sa volonté d'actionner sa ceinture explosive lors des attentats du 13 novembre 2015. Sauf que celle-ci s'est révélée défectueuse.
Affirmant travailler sur un livre visant à mettre un terme aux attentats en France, le polémiste français demande à rencontrer le terroriste du 13 novembre pour comprendre ce qui l'a poussé à agir. Il lui a même adressé un courrier.
Salah Abdeslam, seul survivant des commandos djihadistes qui ont semé la terreur à Paris le 13 novembre 2015, sera remis à la Belgique pour le procès d'une fusillade lors de sa cavale. Paris et Bruxelles discutent des conditions de ce transfert.
Jugé à Bruxelles pour la fusillade de la rue du Dries, en mars 2016, Salah Abdeslam sera escorté quotidiennement jusqu'en Belgique depuis la prison de Fleury-Mérogis à bord d'un hélicoptère.
Les conditions de détention rigoureuses de Salah Abdeslam, seul membre encore en vie des commandos djihadistes du 13 novembre, ont été légèrement assouplies, selon l'AFP qui s’appuie sur une source de l'administration pénitentiaire.
Le terroriste présumé des attentats du 13 novembre 2015 aurait bénéficié de l'aide involontaire d'une organisation humanitaire venant en aide aux migrants, alors qu'il se rendait en Hongrie pour ramener des islamistes en France.
Un extrait d'audition de l'un des complices de Salah Abdeslam, terroriste présumé des attentats de novembre 2015 à Paris, révèle que la cellule à laquelle ils appartenaient avait prévu de perpétrer une attaque à la voiture piégée pendant l'Euro 2016.
Le terroriste présumé reproche au député d'avoir porté atteinte à sa «vie privée» pour avoir décrit avec précision la façon dont il vivait à la prison de Fleury-Mérogis à des journalistes.
Salah Abdeslam, seul membre encore en vie des commandos djihadistes du 13 novembre 2015, a de nouveau refusé de répondre aux questions du juge antiterroriste lors de son quatrième interrogatoire depuis sa mise en examen il y a un an.
En février, les enquêteurs belges ont découvert une conversation entre le chef présumé des attentats de Paris, Abdelhamid Abaaoud, et un de ses kamikazes, Brahim Abdeslam, sur un téléphone portable de ce dernier saisi neuf mois avant les attaques.
Une longue liste d'associations sans but lucratif est dans le collimateur des enquêteurs belges à Molenbeek. La moitié d'entre elles sont suspectées d'entretenir des liens avec le terrorisme ou le radicalisme islamique.
Ahmad Alkhald est parvenu à fuir la France trois jours après l'attaque du 13 novembre à Paris. De Syrie, il est parvenu à organiser avec la cellule terroriste locale l'attentat de l'aéroport de Bruxelles, qui a eu lieu quelques mois plus tard.
Suspecté d’avoir hébergé les terroristes de Paris et placé en isolement depuis un an, Jawad Bendaoud a craqué lors de son procès pour trafic de stupéfiants à Bobigny, où il a multiplié les cris et les insultes contre les policiers qui l'escortaient.
Ce ne sont pas seulement les révélations contenues dans des lettres du seul terroriste survivant des attaques de Paris en novembre 2015 qui choquent les internautes, mais aussi le fait que de «nombreuses femmes» correspondent avec lui.
Salah Abdeslam, seul membre encore en vie des commandos djihadistes du 13 novembre 2015, s'est confié dans une lettre adressée à une femme qui lui envoie des courriers en prison. Lettre dont Libération publie des extraits.
Le secrétaire d’Etat belge à la Migration et à l’Asile a annoncé que le permis de séjour de Salah Abdslam avait été retiré. Il travaille sur une loi prévoyant de priver de droit de séjour des étrangers nés dans le pays ayant commis des crimes graves.