Le suspect de l'attaque à l'arme blanche gare du Nord placé en garde à vue

- Avec AFP

Cliché pris à Paris, le 11 janvier 2023 (image d'illustration).© JULIEN DE ROSA Source: AFP
Cliché pris à Paris, le 11 janvier 2023 (image d'illustration).
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L'individu suspecté d'avoir agressé plusieurs personnes à l'arme blanche, en blessant six individus, le 11 janvier à la gare du Nord a été placé en garde à vue après avoir été blessé par balles lors de son interpellation.

L'homme qui a blessé six personnes dans la matinée du 11 janvier à la gare du Nord à Paris a été placé dans la soirée en garde à vue pour tentative d'assassinat, a indiqué le lendemain le parquet de Paris.

L'état de santé de l'agresseur, blessé par balles par des policiers, a été jugé compatible par le parquet avec une garde vue au sortir de son hospitalisation. Il avait été touché au thorax et au bras par les tirs d'un policier de la police aux frontières (PAF), en uniforme et en service, et d'un membre de la brigade des réseaux franciliens (BRF), en civil et hors service, qui se trouvaient sur les lieux au moment des faits.

Dans un communiqué publié le 11 janvier en fin de journée, la procureur de Paris Laure Beccuau a indiqué que cet homme d'une vingtaine d'années s'était «soudainement mis, sans raison apparente à ce stade, à frapper une première victime avec son arme, victime à laquelle il a asséné une vingtaine de coups» avec un «crochet métallique».

Au total, six personnes ont été blessées : deux hommes de 41 ans et 36 ans, un policier de 46 ans affecté à la PAF de la gare du Nord, et trois femmes de 40, 47, et 53 ans.

Selon le parquet le 12 janvier, l'identité de l'agresseur fait encore l'objet de vérifications. Il est en effet «enregistré sous plusieurs identités dans le fichier automatisé des empreintes digitales alimenté par ses déclarations au cours de précédentes procédures dont il a fait l'objet», avait indiqué Laure Beccuau le 11 janvier, qui avait précisé qu'il «pourrait» être né en Algérie ou en Libye.

Une source policière a pour sa part affirmé qu'il s'agissait d'un Libyen né en 2000 sous le coup d'une obligation de quitter le territoire français (OQTF), qui ne pouvait être mise en œuvre en raison de l'instabilité qui règne en Libye.

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