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Le projet des dirigeants du G7 de plafonner les prix du pétrole russe pourrait provoquer une flambée des prix selon le ministre russe de l’Energie. Une analyse partagée par des experts indépendants qui évoquent une «recette pour un désastre».
La Russie a attesté qu'un échange de captifs avec l'Ukraine avait eu lieu le 29 juin, la plupart des personnes libérées étant gravement blessées. Kiev affirme qu'une partie des captifs appartenait au régiment Azov, ce que Moscou n'a pas confirmé.
Le Trésor américain va verser une première tranche de 1,3 milliards de dollars à l’Ukraine sur un total promis de 7,5 milliards. Ils s’ajouteront aux 6 milliards d’aide militaire déjà fournie.
La Défense a fait savoir qu'après avoir «accompli les objectifs fixés sur l'île des Serpents» située en mer Noire, les forces armées russes avaient «retiré leur garnison sur place». L'Ukraine a pour sa part annoncé la «libération» de ce territoire.
Intervenant lors d'une conférence de presse, Vladimir Poutine a commenté les candidatures de la Suède et de la Finlande à l'OTAN, pour lesquelles le véto turc a été levé. Il a souligné que la Russie devrait réagir en cas de menace militaire.
Le président russe est revenu sur l'incendie d'un centre commercial dans cette ville ukrainienne, dont Kiev affirme qu'il a été délibérément visé par un bombardement. Vladimir Poutine a souligné que la frappe visait un entrepôt d'armes occidentales.
En dépit des apparences que ses dirigeants ont tenté de donner, le G7 s'est révélé plus faible que jamais, victime de ses propres mesures contre la Russie qu'il ne parvient pas à isoler et désarmé face à l'émergence des BRICS.
Le président américain a présenté les contours d'une présence militaire renforcée des troupes étatsuniennes en Europe. Le vice-ministre russe des Affaires étrangères a indiqué ne pas être impressionné par l'annonce, sans exclure de réagir.
Selon le chancelier allemand, les investissements considérables décidés par Berlin en réaction au conflit en Ukraine vont permettre de mettre sur pied la plus grande force militaire du continent, confirmant le virage historique décidé fin février.
S'il n'a pas souhaité suivre son homologue ukrainien qui a qualifié la Russie d'«Etat parrain du terrorisme», le président français a réaffirmé qu'il fallait empêcher la victoire de Moscou sur Kiev, y compris au moyen de nouvelles livraisons d'armes.
Accusée par Kiev et le G7 d'avoir bombardé une galerie commerçante à Krementchouk en Ukraine, la Russie affirme avoir frappé un entrepôt d'armes, ce qui aurait causé l'incendie d'un «centre commercial non fonctionnel» à proximité, selon Moscou.
Selon l'Elysée, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a fait une réponse «très claire» aux dirigeants du G7, leur indiquant que Kiev ne comptait pas entamer de négociation avant d'avoir «rétabli une position de force».
Balayant comme «illégitimes» les affirmations selon lesquelles la Russie serait en défaut de paiement, le porte-parole du Kremlin a mis en garde contre toute tentative de s'approprier les réserves financières russes gelées en raison des sanctions.
De hauts représentants des Emirats arabes unis se seraient adressés à la partie russe en leur proposant leur «assistance» pour un échange de prisonniers de guerre entre Moscou et Kiev, selon une source des forces de l'ordre citée par RIA Novosti.
Dans Africonnect, Samantha Ramsamy reçoit Zakaria Fellah, expert en relations internationales, et Adama Gaye, écrivain.
Plusieurs milliers de personnes ont manifesté dans le centre de Madrid pour exiger la dissolution de l'OTAN et réclamer la paix, à deux jours de l'ouverture du prochain sommet de l'Alliance atlantique dans la capitale espagnole.
Les deux présidents se sont mis d'accord sur la nécessité pour la Biélorussie de bénéficier de missiles Iskander-M, qui peuvent transporter des ogives nucléaires, et ce en réponse à «des vols d'entraînement» effectués par des pays de l'OTAN.
Maria Zakharova estime que l'UE se sert de la candidature de l'Ukraine ainsi que celle de la Moldavie pour «contenir» la Russie, imputant à l'Union une stratégie de «conquête» géopolitique active de l'espace de la Communauté des Etats indépendants.
L'armée ukrainienne va se retirer de la ville de Sévérodonetsk, dans le Donbass, face à l'avantage stratégique obtenu par les forces russes et les républiques populaires, selon un responsable ukrainien.
Accusant les Anglo-Saxons de bloquer la reprise des discussions, le ministre russe a estimé qu'il faudrait prendre en compte la réalité du terrain, ainsi que l'avis de la population des «zones libérées», dans le cadre d'éventuelles négociations.