SIDERANT

Le secrétaire général du Parti communiste a été vivement pris à partie lors de la Fête de l'Humanité. Son débat avec Edouard Philippe a été interrompu, Sandrine Rousseau l'a tancé puis il a été conspué par le public.
Le président des Restos du cœur, Patrice Douret, a alerté sur les difficultés auxquelles fait face l’association. Il a trouvé le soutien des oppositions, alors que la ministre des Solidarités, Aurore Bergé, a tenté de rassurer.
Réunis à huis clos à Saint-Denis par le président de la République, le 30 août, les chefs des partis siégeant au Parlement ont échangé avec Emmanuel Macron dans un format inédit. Au sortir de cette rencontre, les avis étaient partagés.
Le soutien du directeur général de la police nationale (DGPN) Frédéric Veaux à ses hommes, lui-même soutenu par le préfet de police de Paris Laurent Nunez, a suscité la colère d'une partie de la gauche et des syndicats de magistrats.
Sur fond de dissensions au sein de la Nupes, une délégation de parlementaires communistes et centristes LIOT s'est rendue à l'Elysée pour déposer un courrier adressé au président, afin de réclamer à nouveau le retrait de la réforme des retraites.
En visite au Salon de l'agriculture, le chef du parti communiste s'est posé en pourfendeur de «l'agri-bashing» de gauche et a regretté avoir été souvent «caricaturé» pour ses propos sur l'alimentation alors qu'il estime être un «flexitarien acharné».
Le secrétaire national du PCF s'en est vivement pris à l'entreprise et à son PDG, les accusant de recourir à des «pratiques mafieuses» au détriment d'EDF et d'amasser ainsi des bénéfices aussi considérables qu'indus.
La coalition de gauche a annoncé le dépôt d'une motion visant à organiser une consultation nationale sur la réforme décriée du gouvernement, estimant qu'il s'agit d'une «obligation démocratique» face à la volonté de la majorité de passer en force.
A l’approche d’une importante journée de mobilisation contre la réforme des retraites, le leader du Parti communiste français s’en est pris aux Insoumis et à leur décision de maintenir leur propre manifestation deux jours après celle des syndicats.
Plusieurs figures de la coalition de gauche ont jugé impossible le retour de Quatennens dans l'hémicycle après les déclarations de son épouse mettant en cause «des violences physiques et morales» sur plusieurs années. LFI en appelle à la justice.
Constatant les difficultés rencontrées pour faire accepter ses propositions à l'Assemblée, et devant l'usage répété du 49.3 par le gouvernement, le communiste Fabien Roussel a déclaré qu'il voulait faire passer des lois «par la rue».
L'élue écologiste a attaqué le secrétaire du PCF, qui a défendu une «gauche du travail» face à une «gauche des allocations». Selon elle, la «valeur travail» serait un marqueur de droite, auquel il faut opposer le droit de «faire des pauses».
Le numéro un du Parti communiste a prôné lors de la Fête de l'Humanité une «gauche du travail et pas des allocs», estimant que la Nupes avait échoué à parler aux classes populaires. Les réactions à gauche ont fusé.
Si les factures d'électricité explosent de manière «inacceptable», le leader du PCF propose aux élus d'arrêter de les payer. Selon lui, les communes «qui n'ont pas accès au tarif réglementé de l'électricité n'ont pas vocation à se faire tondre».
Le secrétaire national du Parti communiste français a expliqué sur Cnews que sa formation ne participerait pas à «un tel gouvernement», clarifiant sa position et dissipant ainsi les doutes émis par LFI et certains membres du PCF ces derniers jours.
Le Premier ministre s'est vu reprocher un manque d'empathie et d'humanité après avoir invité une femme en fauteuil roulant qui lui faisait part de sa situation, à revenir vers l'emploi, au cours d'un échange sur France Bleu.
Les candidatures suédoise et finlandaise à l'OTAN sont justifiées par les deux pays par la possibilité d'être protégés en cas d'attaque de la Russie. Cependant, certains s'inquiètent de l'expansion de l'alliance politico-militaire atlantiste.
Après les critiques déclenchées par sa candidature, le journaliste et militant a finalement annoncé qu'il se retirait de la course en raison d'une «tempête d'attaques sans précédent». Jean-Luc Mélenchon a dénoncé un acharnement à son encontre.
Les négociations entre La France insoumise et le PCF achoppent sur le nombre de candidats communistes et la reprise de propositions programmatiques des différentes formations de gauche en vue d'une large alliance pour les législatives.
L'ancien candidat PCF à la présidentielle Fabien Roussel a invité les Insoumis, les socialistes et les écologistes à se retrouver prochainement, dans «un lieu neutre» pour discuter des législatives et «additionner les forces de gauche».